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Chers amis de l'astrologie, bienvenue sur ce blog dont le titre ci-dessus est aussi celui basique de potentielles conférences, cette page accueil faisant office de plan global d'animation pour celles-ci, et c'est ainsi que chaque paragraphe à suivre est très concis : 1 titre, 1 texte, 2 à 5 images.

Indice perso de crédibilité et d'intérêt sur le sujet : Prévisions 24% - Caractères 51% - Structures 75%, avec une devise : aller au fond des choses...dans la réalité tangible !
Certains paragraphes ont une page correspondante (en N°) à développer leur article.

De fait et de faîte l'humanité perçoit les phénomènes célestes depuis la nuit des temps, et en a déduit des repères fonda-mentaux structurant la psyché collective tant en Genre qu'en N'ombre

Des perceptions phénoménologiques qui plus ou moins ordinaires sont devenues pragmatiquement norm-atives :

- 1°) basiques : Soleil luminaire du jour et Lune luminaire de la Nuit, et avec l'approche nord-sud l'idée de tropiques. Prémices du sujet, quelques vidéos d'archéoastronomie à disposition : 🎬 Archéo 1 🎬 Archéo 2 🎬 Archéo 3 .

- 2°) élaborées : Phases de la Lune (dont principalement NL et PL), marche directe ou rétrograde (arrière) des planètes.

- 3°) particulières ou exceptionnelles : Eclipse de Soleil ou de Lune, Super Lune (ou Pleine Lune de Périgée), voire les deux ensemble, au gré des interférences cycliques.

- 4°) intellectuellement abordées et répertoriées : Cadran solaire analemmatique, schémas arbitraires fondamentaux constituant constellations sur la voûte céleste, écliptique, zodiaque.

Fondements avec toute la portée suggestivement symbolique à processus d'identification et autres assimilations possibles à y greffer outre les phénomènes eux-mêmes sur cet ordonnateur-ordinateur antique que fut la voûte céleste depuis la plus haute antiquité (ex. binaire basique : jour-nuit pour masculin-féminin, soleil-lune, autant que pour singulier et pluriel, même disposition).

Carte de la voûte céleste de l'hémisphère nord (image en haut à droite) vers le centre les étoiles visibles toute la nuit, dites impérissables, et les autres plus à l'extérieur dites passantes (plus à l'horizon), ces dernière incluant les constellations du zodiaque. L'ensemble comprenant une bonne cinquantaine de constellations (52 ?), celles de l'hémisphère sud seront désignées avec les grandes découvertes, comme repères indispensables à la navigation. Le phénomène des marées est d'ailleurs typiquement astrologique et relève d'une assitance gravitationnelle en fonction des modélisations astrales du moment.

Ces observations célestes ancestrales vont donner lieu à quelques raisonnements primitifs, qui vont ériger l'astrologie en première discipline intellectuelle de l'humanité, empiriquement, avec ses conjectures admises et répertoriées. D'autant que des perceptions célestes pouvaient être mises en corrélation avec des événements palpables (sur la matière inerte, sur les végétaux, sur les animaux, sur les humains), à en induire un lien de causalité, voire une signification, traduite initialement d'un graphisme de groupes d'étoiles dévolues en constellations :
"ils" se sont fiés aux astres parce qu'il n'y avait rien d'autre pour essayer de capter le mode de fonctionnement du monde et de s'y adapter !
"Il y a plus de trente mille ans, au paléolithique, les premiers hommes ont cherché à modéliser leur relation au temps. Prévoir les saisons..." (Chantal Jègues-Wolkiewiez, et voir aussi quelques-autres de ses citations).
Ce qui fait qu'un thème astral est issu d'une expérience multimillénaire, variable suivant les civilisations. Le ciel précis de ce soir en cliquant ici.
- 1°) Basique septenaire : 2 luminaires et 5 planètes perceptibles, simplicité d'un minimalisme antique et médiéval oblige : "faire avec le présen-tiel ambiant", lequel Fit bonne assise à Pythagore comme à un biKini, notre psyché collective est pour l'essentiel fondamentalement basée sur l'astrologie


En Chaldée (croissant fertile, moyen-orient), schéma ici à droite : une étoile figurative à 7 branches destinée à ordrer les jours de la semaine : Lune - Lundi, Mars - Mardi, Mercure - Mercredi, Jupiter - Jeudi, Vénus - Vendredi, Saturne - Samedi, Soleil - Dimanche (resté Sunday en anglais et Sonntag en allemand).

Ont été ajoutés ici autour les numéros d'ordre des planètes datant à priori de l'An Mil (ou réputé comme tel avec Gerbert d'Aurillac). Cet ordonnancement donnera lieu à une numérologie à retrouver pour l'essentiel (l'essence ciel) dans les carrés dits planétaires ou magiques. Noter déjà en bas de l'image les chiffres 3 & 9 (pour 3² et pour 39) et le 6 au sommet (pour Soleil 6 et Lune 9) avec un nombre 369 lunaire (vs 111 solaire) à découvrir par la suite.

Les astres lents, dits générationnels (Uranus, Neptune et Pluton) ne seront officiellement découverts respectivement qu'à fin XVIII°, première moitié XIX° et début XX° siècle avec les progrès des lunettes astronomiques. Ils interfèrent assez peu dans un thème natal individuel (avis perso).

Les 2 luminaires (Soleil et Lune) vont s'ériger en code binaire qui dans l'esprit humain va devenir un fondement symbolique tangible par excellence, spécialement de création-fécondation quand alliance des deux (Nouvelle Lune) et de différentiation sexuée quand en opposition (Pleine Lune), ceci dans le cycle calendaire de 29,5 jours, soit x 12 = 354 de référence pythagoricienne opportune, manque 11 j. d'intercalation pour 365 jours annuels, ce 11 s'érige alors en possibilité de représentation binaire polyvalente suivant le contexte (dualité, complémentarité, parallèle, symétrie, tête-bêche).
Le II (2) est acceptation d'une approche unitaire de la dualité, et le 11 permet une pertinence de relation d'opposition différentielle pluraliste.
A droite L'être M, formée de deux 1 mis en miroir, comme S & L pour Soleil & Lune. Option I pour chacun des 2 luminaires et V pour les 5 planèes. Ne pas oublier que 11 = 5 + 6 ou 6 + 5, 7 + 4, 8 + 3, 9 + 2, 10 + 1 dans nos chiffres "modernes". Et 11, c'est aussi deux marqueurs de triangles à découvrir plus l'oint, tels deux L à valeur (numérique romaine) 50, total 100 (et sa consonnance), autant que deux L peuvent indiquer Longueur et Largeur d'un rectangle, ou même former le parallélogramme de la constellation de la Lyre (image plus haut au-dessus du M). - 1 Bis°) Le concept du géocentrisme, où la Terre est subjectivement le centre du monde

Les perceptions phénoménologiques des différents astres étaient perçus de visu comme tournant autour de la Terre, et d'évidence : c'est bien là où l'humain demeure.

A Stonehenge : 5 trilites disposés en fer à cheval pour "accueillir" les deux luminaires Soleil et Lune (lesquels sont toujours en marche directe) en sublimant le solstice d'été. Stonehenge, cette merveille d'intelligence du néolithique compte aussi un cercle plus grand au sol avec les 56 trous d'Aubrey pour les relations Soleil-Lune (éclipses essentiellement).🎬*** Voir aussi page 2.

Le concept des sphères, célébrant le géocentrisme, atteindra son apogée avec l'élaboration de la sphère armillaire (fin du moyen-âge).
L'Héliocentrisme s'imposera dès la seconde partie du XVII° siècle, surtout avec les sciences et l'observatoire de Paris (voir archive 2 bas de page accueil). Le ressenti terrestre restant cependant de type géocentrique, et le rapport Terre-Lune l'étant par nature, lui.
- 1 Ter°) Bélier et point vernal : équinoxe de printemps et son déplacement inexorable sur toile de fond céleste

Au début de notre ère des Poissons (en l'An Zéro), le point vernal (sortie de l'hiver) et marquant donc l'équinoxe de printemps se trouvait à la fois au tout début de la constellation du Bélier et du signe du Bélier et donc tout à la fin des constellation et signe des Poissons.

Ce point vernal n'est pas fixe du fait du phénomène de précession et il emmène le zodiaque des signes dans une course rétrograde (i.e. en marche arrière) sur les constellations à concurrence de 1° tous les 72 ans environ. Actuellement le point vernal est donc toujours en début de signe du Bélier puisque concomitant à sa définition astro mais a remonté presque entièrement la constellation des Poissons sur 29°30' environ, il se trouve donc en début de la constellation des Poissons à 0°30', conformément à l'appellation de l'ère encore en cours actuellement et qu'il faille envisager bientôt l'ère du Verseau pour la suite des événements (Voir schéma § 2 à suivre).
Le Bélier à gauche dans un thème indique l'équinoxe de printemps, l'analogie avec l'ascendant théorique (lever de soleil), soit l'Est par projection de la voûte céleste au sol quand on regarde au sud (tropique sud devant soi et projeté au sol, donc en haut du zodiaque pour une carte du ciel posé sur une table).

- 2°) Concept assumé d'un décalage signes-constellations avec l'aYanamsa

Repère N° 1 : les constellations, repère N° 2 : les signes, et tercio un écart (progressif) entre les deux : l'ayanamsa. Les signes reprennent les noms des constellations mais pas leur aspect inégal, chaque signe = 30°. Ayanamsa = écart 0° en l'An 0, écart 2023 ans depuis l'An 0 = 29° 30' d'arc zodiaque, soit presque un signe entier.
L'avancement de ce décalage rétrograde est de 1° tous les 72 ans, et pour 360° ou un tour complet du zodiaque en 26.000 ans.

Schéma à droite : En fait actuellement les repères spatiaux par exemple pour la saison du printemps (quart de cercle en bas à gauche) sont les constellations des Poissons, Bélier, Taureau (ici sur cercle extérieur) pour des repères temporels par les signes des Bélier, Taureau, Gémeaux (cercle intérieur).

Cet écart qui se creuse lentement est dû à une synergie des deux axes karmiques dans la mécanique céleste soleil - lune et à renconter dans un paragraphe suivant, axe nodal (nœuds lunaires) et grand axe (apogée-périgée) en rotations inverses, le premier de l'ordre de 18 ans (+), antihoraire, l'axe A-P de l'ordre de 9 ans (-). L'interférence des deux progresse environ d'un décan tous les 18 ans (dans le sens normal du zodiaque : anti-horaire).










- 2 Bis°) Deux axes dits "Karmiques" aux réalités essence-ciel bien palpables, ou quand 1 & 1 font 2 et fondent par-foi(s) 11 (comme SchrÖdinger), voire M
Orbite de la Lune coupant l'écliptique solaire : éclipses
(Axe des nœuds lunaires ou Axe Nodal)
Lune près ou loin de la Terre :
Périgée-Apogée (Grand Axe)
(façon Kepler 1 périhélie-aphélie)
La LuNe transite entre 2 et 3 jours dans un signe (noter 2 & 3), suivant périgée ou apogée, soit une moyenne de 2,5 jours (à peine : 2,5 x 12 = 30, sup à 29,5 durée de lunaison calendaire).
Les éclipses de Soleil ont lieu lors d'une Nouvelle Lune et les éclipses de Lune lors d'une Pleine Lune, elles peuvent être annulaires ou totales suivant l'éloignement de la Lune, les éclipses partielles sont dues à des nœuds lunaires approximatifs.
Ces deux axes sont à ajouter au septenaire pour un total de neuf éléments à considérer d'entrée dans un thème astral, ils sont notés sous forme de Lune Noire (⚸) et de Nœud Nord (☊), ils correspondent à deux des cycles lunaires à rencontrer au paragraphe § 3, mais déjà à évoquer avec les cornes du Taureau au § qui suit.
- 2 Ter°) Le Taureau, 2 cornes, 2 axes, 2° signe

Les cornes impressionnantes de l'animal font envisager deux schémas : l'un solaire avec l'écartement allant grandissant entre les points de lever et de coucher de soleil au printemps, l'autre lunaire avec la forme en croissant qu'elles constituent.
Ne pas oublier le Taureau de Luc, un des quatre vivants cités du tétramorphe.

La constellation du Taureau n'est pas plus impressionnante que celle du Bélier mais elle dispose d'une étoile de référence de saison : Aldébaran, de plus elle est associé à la constellation de l'amas des Pléiades (à la phonologie intéressante : l'épélé IAD).

Cependant elle a globalement une forme de Y (image à droite) en fonction des deux cornes de l'animal en V dont une est située au-dessus de l'écliptique (course apparente du Soleil) et l'autre en dessous, attitude d'aptitude à viser l'étoile principale du Lion : Régulus, située juste sur l'écliptique et vers laquelle elles sont dirigées, outre Castor des Gémeaux (case tord ?), avec amalgame envisageable des deux axes cités ci-dessus autour de l'écliptique, tel un Caducée.

A gauche un joug à boeufs pour évoquer l'utilité des bovins dans les sociétés agraires d'autrefois (qui sont à retrouver § 6).

Autrefois (Travaux d'Héraclès) il était question du Taureau de Crète et du Lion de Némée (actuels 2° et 5° signes, voire les 1° et 4° d'une ère précédente), les deux seuls animaux à retrouver dans le bestaire du zodiaque actuel et en bas de l'arcane XXI du Tarot (voir interlude 7 à 10 à suivre) : Le Monde (cliquer ici pour le tarot des Avenières).
- Interlude 2° à 3°) Poussé à l'index pointé à un bras d'LN 2-3 tout en puissance de cinabre exposant carré-cube autant que de s'y-métr-ie

Depuis le temps que le pouce a 2 phalanges et les autres doigts 3, et sans écarter l'épate en coin du Sulfure de Mercure (VII-Chariot Tarot ?) :

A gauche une main avec 2 doigts formant angle droit en option et 3 autres collés entre eux, image à droite aussi 2 et 3 doigts mais pas les mêmes parmi les 5 de la main.
Il arrive comme ici que pouce et index dessinent un L au dessein d'LN.

Le N pouvant se situer dans les autres doigts avec l'ambiguïté de l'annulaire qui ne choisit pas l'inclinaison de la barre transversale du N (normale ou inversée, tel un V). Ces trois autres doigts formant en fait trois barres comme un 111 (constante du soleil, voir § 7 Ter) c'est LN 2 doigts-3 barres (Hélène-Hêlios). LN comme Lune Noire (apogée) et NL comme Nouvelle Lune.
La lettre L est constituée de 2 bâtons (Longueur 3, Largeur 2 avec un L d'initiales comme Lyre, une constellation), la lettre N de 3 bâtons (et d'une consonnance accompagnée d'une forme, à découvrir en § 5).
2² + 3² = 4 + 9 = 13, ici carré d'une hypoténuse dont la dimension est donc √13 =3,6055512, et le zodiaque comme le cercle font 360°.
Et 2² & 3² = 4 & 9 ? 49 nombre de cases du carré de Vénus (7²), 4+9 = 13, case centrale du carré de Mars lié aussi à la Lune, et 9 -4 = 5 = V romain, tout ceci à découvrir plus loin et plus l'oint, autant que 111 est la constante du Soleil.
Image de gauche, remarquer les épaisseurs des barre du T : 2 en vertical et 3 à l'horizontale pour une mise du T en oblique, également 2° pour Taureau, 5° pour Lion, 8° pour Scorpion en situant le point vernal en bas à gauche.

C'est aussi que largeur 2 et longueur 3 siéent bien au triangle d'éTé, respectivement Véga-Deneb (Lyre-Cygne) et Véga-Altaïr (Lyre-Aigle), ainsi déjà une première numérologie associée à Deneb-Véga-Altaïr.
LèNe ? C'est surtout que NL sont les initiales de Nouvelle Lune et LN (2 & 3 bâtons) celle de Lune Noire (revoir § 2), que NL (3 & 2 bâtons) forment les initiales de Nœuds Lunaires (2LN + 1NL) mais également Hélène est la mère de l'empereur Constantin, et enfin Hélène du Cygne avec Léda : la jumelle immortelle de Pollux dans la mythologie (un des Gémeaux).
- 3°) Les 3 cycles LuNaires, à assumer du genré kifFé mine un

1) Sidéral : 28 jours et la Lune fait le tour de la Terre et du zodiaque, dans son contexte mensuel (et surtout menstruel) et celui de deux autres :

2) Anomalistique : 8 ans et 6 mois pour l'apogée-périgée lunaire. Parcourt 1 signe en 9 mois environ.
(Voir Grand Axe, à Gauche § 2 Ter)

3) Draconitique : 18 ans et 6 mois pour les nœuds lunaires, où la course de la Lune "coupe" l'écliptique. Parcourt 1 signe en 1 an et 1/2 environ mais en sens inverse des autres : rétrograde.
(Voir Axe Nodal, à Droite § 2 Ter)

D & A = 4° & 1° Lettres de l'alphabet (et 41 case centrale Lune, à découvrir plus loin)
DiAble de tasse manie le cas fait Croissant d'apparence hanTée aux appâts rances du p'tit matin à l'aube, car c'est bien le Soleil qui "éclaire" la Lune, laquelle ne fait que renvoyer par reflet une partie de cette luminosité pendant la nuit (1%) vers la planète Terre et qu'à ce titre éminemment solaire (et pas en option ?) le cycle sidéral (1°) de la Lune (seule) a vocation évidente à devenir synodique "par destination" avec et par le soleil (Hélène-Hêlios) à former un troisième axe (celui des Pleines Lunes), phénomène dont la représentation s'accorde bien d'une pendule avec ses 2 aiguilles axées au centre : la petite pour le Soleil, la grande pour la Lune, au centre du cadran étant la Terre, dans une tripartite relation astrale et calendaire.

Car ce "Moi" synodique Soleil + Lune marque bien la lunaison du calendrier : 29,5 jours pendant lesquels la Lune parcourt 13 signes du zodiaque (12+1, le même qu'au départ) pendant que le Soleil en parcourt 1, et 29,5 x 12 = 354 (isiaque) avec cette différence-intercalation de 11 j pour obtenir 365 (11 un nombre gémellaire à retouver tout au long de ce blog pour diverses raisons culturelles ayant trait fondamentalement à l'astrologie). Ce Moi (Soleil + Lune) induira la notion de Mois en divisant l'année solaire par douze (mois) et autant de signes en un référentiel soli-lunaire "ajusté", le treizième mois de 11 jours n'existant pas en Occident, il est donc "absorbé" par prolongations de ces 29,5 j synodiques à 30 ou 31 j (outre 28 et 29) mensuels, en toute commodité, et c'est paradoxalement avec cette notion de 11 qu'apparaîtra le 13° signe à lyre (!) à l'intérieur du zodiaque. Si 11 c'est deux "1", trois "1" c'est 111 et la constante du soleil (à découvrir plus loin), 11x11 c'est 121 avec 12 et 21 au tarot et X de + que 111. Alors 11 à 111, des jumeaux-gémeaux aux triplés : LN 2-3 ?. Bien noter que la lettre C (en forme de croissant de Lune) est la troisième de notre alphabet. (Et A & D sont incluses dans Aldébaran, aussi bien que dans Arche D'alliance).

Le cycle sidéral de 28 jours (27,32 exactement) est dit cycle féminin, il inclut les perspectives bien réelles de lune montante (jusqu'au signe du Cancer, tropique nord) et descendante (jusqu'au signe du Capricorne, tropique sud), le cycle synodique de 29,5 j (base mois et moi conçu) est en fait un rouage de fécondation luni-solaire et calendaire (la notion de Rebis).
Et ce sont 28 jours retenus en sidéral au lieu de 27,32 par convenance de divisibilité hebdomadaire : 4x7, mais serait retenu en Inde la formule 27 jours = 3x9. Ce cycle sidéral de 28 jours est de fait inclus dans celui synodique de 29,5 jours, le premier correspond à une heure sur une pendule (12 x 5 mn), le second correspond à l'espace de temps d'une rencontre à une autre des deux aiguilles (13 x 5 mn). Ainsi par ex. à midi les deux aiguilles sont jointes, et de 12 à 13 h : un cycle sidéral, qui poussé à 13 h 05 en conjonction des 2 aiguilles devient synodique.
Ci-dessous : A & D de part et d'autre du losange sur arbre gêné à logique.
Triphasé lunaire à Saint-Genis
et noter les 3 vs 1 en bordure
Mercuriel Design
L'anti-Caducée ou caducée fermé
Alchimie mercurielle à Chambord
- 3 Bis°) Tresser sans stress un CAs pris corne vrillé qui sous l'égide des cycles serait unicorne

Le donjon du château de Chambord est constitué d'un puits central entouré par un escalier à double révolution, l'ensemble tel le caducée de Mercure, apte à schématiser les deux axes liés aux deux derniers cycles du paragraphe 3 (anomalistique et draconitique) entourant le premier cycle dans sa virtualité à passer de sidéral à synodique.

Rien de mieux alors pour évoquer une licorne, sauf que celle-ci, conique, n'aurait pas l'ouverture nécessaire au sommet, contrairement au lieu évoqué ci-dessus.

Case tord ou case tort, en façon d'envisager un Pôle lux ?

La constellation du Petit Cheval est située juste au-dessus de celle du Capricorne.

Et celle de la Licorne sous le Cancer et les Gémeaux près Orion, entre Sirius et Procyon.
Quand OriOn ressemble à une cafetière moka
- Interlude à capter des chiffres du nombre d'or, d'écart 3 ascètes 2 et 5 allANt vers 52 semaines

- Septenaire : 2 luminaires et 5 planètes.
- Cycle Anomalistique : 8 ans et 6 mois pour l'apogée-périgée lunaire.
- Cycle Draconique : 18 ans et 6 mois pour les nœuds lunaires.
- Deux axes : 1 et 1, avec insinuation du 11 autour d'un 6, et donc à la 11° lettre (K), ainsi qu'aux Gémeaux et au Caducée de Mercure ou encore 1+1 = 2 qui allié au 8 rejoint l'idée du cycle lunaire sidéral de 28 jours.
- Accessoirement et à découvrir par la suite : 16 est le nombre de cases du carré de Jupiter et 34 sa constante, également somme de 16 + 18.
- Ne pas oublier le 0 avec sa forme en œuf, entouré par 3 et 1+8 pour 9. Sans oublier que 3,1416 (π) y figure autour de 8 et 0.

Et 1681 = 41², 41 case centrale du carré de la Lune (à voir plus loin § 4-Q).

Mais dans la formule du nombre d'or, 1,2 et √5 doivent interpeller le cavalier d'échecs de façon isiaque puisque 1² + 2² = 5 ou V romain. La marche du cavalier trouve son origine dans les dimensions du triangle aurigène (au nom sans équivoque). On se souviendra de la constellation de Pégase (avec son carré) située en haut du vase constitué par la constellation des Poissons. De plus 1,2,5 sont aussi les chiffres de 52 semaines pour 1 an (semaine, calembour sème aiNe).
Carré de Pégase entre Ichthus x 2, ensemble tel 11 ou 101 ?
Sur sphère au musée du Vatican
Les Gémeaux dans leur
environnement céleste
- 3 Ter°) Les Gémeaux et l'indivi-dualité

3° signe, ils sont à retouver sur plusieurs paragraphes de ce blog où il sera largement question de gémellité. Ce 1 & 1 qui fait à la fois 2 ou 11 n'y est pas étranger, d'ailleurs II est le 2 romain.

La constellation des Gémeaux se situe tout en bout de la diagonale d'Orion (de Rigel à Bételgeuse), et au-dessus de Sirius et Procyon (respectivement des constellations des grand et petit chiens, séparées par celle de la licorne).
Cette constellation d'Orion, même si elle ne s'inscrit pas sur l'écliptique a son importance dans la nomenclature astrologique.
Les pieds des Gémeaux sont situés sur la Voie Lactée, qui les sépare de la constellation du Taureau en se prolongeant vers celle de la Licorne à l'horizon.
La constellation des Gémeaux sépare celles du Taureau et du Cancer, cette dernière est en forme de K (11° lettre), et l'un des Gémeaux est Castor.

Noter que sur l'arcane 19 au Tarot : le Soleil brille (et avec ses 16 rayons : 2 bleus, 2 blancs, 3 verts, 4 jaunes, 5 rouges) apparemment pour deux, un peu comme la Louve de Rome avec Rémus et Romulus ?

Cependant que de gémellité planent toujours les ombres de ces deux axes : l'axe nodal (nœuds lunaires) et le grand axe (apogée-périgée), tels 2 éléments autour d'un troisième : l'écliptique passant par Régulus (son référentiel), le tout bien visible sur l'image de droite.
Les Gémeaux sont également pointés par la diagonale d'Orion : Rigel-Bételgeuse, autant qu'il sont également au nord de Sirius et Procyon (grand et petit chien).
- 4°) Quatre saisons, entre solstices et tropiques, et signes cadrés à une réalité de durée jour VS nuit, le mode dé-contraSté s'impose au "S" harmonique binaire

Images, en haut : petit rond blanc dans grand encadrement noir = solstice d'hiver, point où la durée du jour est la plus courte. En bas c'est l'inverse qui se produit au solstice d'été, point où la durée de la nuit est la plus courte. C'est l'alternance semestrielle de dominance jour-nuit en matière de durée. Moyens d'équateur (équinoxes) pour extrêmes de tropiques (solstices) : croissance et dominance respective, c'est ci-dessous et sur l'image bien explicite :
Sur les côtés : à gauche et en descendant c'est la croissance de la durée du jour entre le solstice d'hiver et le solstice d'été, à droite et en montant c'est la croissance de la durée de la nuit entre le solstice d'été et le solstice d'hiver. L'accession de la croissance à la dominance se fait à partir de chaque équinoxe.
Ainsi se produit une pertinence de relation d'opposition différentielle dans le rapport de durée jour-nuit d'une année solaire complète, ce qu'exprime à merveille le sigle du Tao inclus à l'intérieur du zodiaque (et siège du 13° signe en occident) : le Tao, binaire harmonique.
Sur l'image en haut à droite est mis en évidence chaque signe dit fixe de saison (en A, comme Action avec couleur d'élément correspondante) parmi les quatre quarts (C,A,R, pour Création, Action, Réaction) du cercle zodiacal d'origine écliptique. Voir également le § 4 Bis en méthode d'optimisation des couleurs. Le fait que les saisons soient bien marquées en occident justifie la croix cardinale formée par les solstices et les équinoxes.
- 4 Bis°) Les quatre éléments et leurs couleurs respectives, à 2 codes de triade : 3 G+1 ou 3 V+1 où la Vacation-Vocation de la fécondation reVerdit comme une alchimie de verre en verVe du dévers

3 couleurs primaires, les 3 G en teinture à l'ancienne Gaude, Guède, Garance, ou Bleu, Jaune, Rouge (façon drapeau Andorran), attribués respectivement aux éléments Air, Terre, Feu.
1 couleur secondaire, autrefois Prasine devenue Sinople (anagramme : Epsilon) : le vert (phonologie : vair), qui peut-être obtenu aussi à partir de deux des couleurs primaires parmi les teintes ci-dessus : Bleu + Jaune (Ara-mis ?).

Les 3 V (comme LN-2-3 ?) : bleu + jaune ayant option à devenir à deux vert par destination, à la façon de celui existant déjà constituent ensemble les trois signes de l'hiver (précisement) dont le verseau au centre ("ligne du haut" sur l'image), qui fait face à l'été et à la quatrième couleur (en-dessous) d'Art stagnant, saignant et seyant : le rouge, le Feu du Lion, les quatre couleurs étant disposées en T (dont évocation du Yin et du Yang, à 3 et 4 lettres), à retrouver en T inversé § 10. En effet, cette forme de "conflit d'intérêts" entre les 3 G et 3 V trouve sa résolution (à quatre) dans le "synodique" puisqu'à ce jeu-là c'est le concept 3 V qui gagne in fine par nécessité d'une logique de genre : 3 au féminin (fait mine un) et 1 (phallique) au masculin = 13 ou 11.

Pour l'anecdote (?), en terme de marine : bâ-bord rouge, tri-bord vert (tri préfixe pour trois...façon trèfle), à la façon du masculin-féminin à 1 vs 3 qui insinue le nombre 13 comme proposé par la constellation du Scorpion (ci-dessus à gauche). Autre chose et pas des moindres : le terme de sinople désignait autrefois une couleur rouge (initialement teinte de terre de Sinope (en actuelle Turquie), au bord de la Mer Noire, dont...Diogène !) et à partir de la fin du XIV°s. indiquera une couleur verte en remplacement du terme Prasine (vert poireau). La consonnance de la syllabe "ver" est sans doute la plus riche de la langue française (vert, ver, vair, vers...), ainsi qu'en préfixes et suffixes, tout autant que cette expression très colorée intéressante : "au dia-ble(u) vau(t)-vert" (d-i-a déjà aperçu dans Pléiades et à découvrir dans diagonales, outre D et A, avec Vauvert situé en Camargue), et une autre de même acabit mais à recontextualiser : Et in arc à DiA eg(g)-O pour et in arcadia ego (une page y sera consacrée ultérieurement). Ci-dessous : le sable y est parmi les 8 "couleurs gravées" en héraldique, où un composition Pourpre + Sinople réaliserait des losanges et des lambdas.
CA-rapace ?
Lettre K, entre
Lion et Gémeaux


Tête-Bêche
- 4 Ter°) Quatrième signe : le Cancer

Il se définit comme celui qui fait entrer le soleil dans la saison d'été juste après le solstice éponyne. C'est le début de la croissance de la durée de la nuit (1° phase) dans la 4° phase de dominance du jour acquise au début en point vernal.
Il est considéré iniitalement comme le seul vrai domicile de la Lune. Dans le ciel la constellation du Cancer a la forme d'un K (une lettre -la 11°- à retrouver par la suite).
A noter que le crabe, son représentant animal, possède huit pattes, deux pinces et une carapace.
Son logo, lui, se présente sous forme d'un 6 et d'un 9 allongés. Total 15 constante de Saturne, le Cancer ainsi que le Lion font face aux signes saturniens.

N.B.: C'est dans le signe du Cancer que la Lune est la plus haute dans le ciel et qu'elle commence à redescendre. Elle est alors en effet plus ou moins tangentielle au tropique nord, suivant le positionnement les nœuds lunaires. Cette montée et descente de la Lune s'insère dans le cycle sidéral de la Lune (§3) d'une durée de 28 jours (27,32 exactement).
K SPécifique, L = 50 en chiffres romains
et 2 L = 100 à Lyre, ou C ?
- Interlude de 4) IV = 3 + 1 comme C & A ou 1 + 3 très enrobé-enrôlé au treize, tel le berger Pâris et son jugement au mont IDA

CArrés, CAstor (CAse tort ou tord) un des Gémeaux, CAncer-CApricorne, Karma, Cygne et Aigle (constellations)...

Image à droite : tradition dans le Vallespir (66) à 1/4 vs 3/4, soit 3 vs 9 (mois).

Image à gauche : 3 axes horizontaux pour 1 axe vertical (à Chambord), le tout sur deux "hémisphères" formant un 8, apparaissant 32 fois à Chambord.

Comme en fait vrillé de licorne (ou pas) sur 4 ans, c'est 3 x 28 pour 1 seul 29, ce dernier en année bissextile.

Mais aussi x 3 + 1 dans la Conjecture de Syracuse, un peu comme 1 & 3 font 13 et x & + font octogone en r'ose d'évent.

- 4 Quater°) Carrés astrologiques médiévaux d'ordre 3 à 9 ensablés d'identités graphiques à rebondissements : interférences et conjectures pour opportunismes suggestifs en numérologie.

Ces notions ne sont pas indispensables en astrologie des prévisions et des caractères, là où un carré ne représente qu'une angularité de 90° dans un thème, du type solstice vs équinoxe.
Mais elles sont très importantes en astrologie des structures dans la mesure où elles gèrent l'inconscient collectif issu d'une longue tradition astro.

Ces carrés (à double formulation : naturelle et ordonnancée) sont apparus officiellement aux XV° et XVI° siècles sous l'appellation pompeuse de "carrés magiques", en fait ils étaient connus bien avant par l'oligarchie médiévale et mis en place en Occident par le Pape de l'An Mil (savant de l'époque, mathématicien et astrologue) en adoptant les chiffres indo-arabes avec notamment l'usage du zéro, remplaçant en cela les chiffres romains (basés en fait sur des lettres-bâtons), avec qui ils vont pourtant cohabiter, et pour le plus grand bonheur des alchimistes.

Ces carrés existent en fait depuis la plus haute antiquité mais sans qu'il soit possible de leur accorder cette actuelle numérotation des cases. Ils vont se distinguer entre eux par carrés impairs à case centrale et pair sans, par le numéro de la case centrale réelle (ou donc fictive), par les diagonales indiquant d'entrée sur le carré naturel la constante du carré, voire plus sur les carrés d'ordre impair, et bien sûr chacun pouvant avoir sa propre spécificité. Tous cependant induisent nécessairement la notion d'octogone et de symétrie. Si un thème de naissance consiste à mettre une indivi-dualité en une sorte d'équation, ici ce sont les carrés astrologiques qui peuvent mettre en scène comportements collectifs et archétypes (voir aussi § 7 Ter).
- Astrologie, Numérologie et Tarologie sont très liées, même ici la numérotation de tous les paragraphes a été choisie en conséquence, et fonction de spécifités numériques à y développer opportunément, ou autres amalgames équivoques entre chiffres romains et lettres et c'est aussi que chaque forme suggérée ainsi aura son importance...
(I = 1, V = 5, X = 10, L = 50, C = 100, D = 500 et M = 1000),
et toujours avoir à l'esprit à la foi(s) Pythagore (*) et Fibonacci (*).
Emissions de formes et Théorie des Signatures également présentes


Faire le point entre Soleil et Lune et Soli-Lunaire, où sont recherchés les nombres entiers :

Année solaire 1 tour : 365 jours
Année lunaire 13 tours de 28 jours = 364 jours (en réalité 27,32 x 13 = 355,16, différtence 9), mais 28 est un entier divisible par 4, contrairement à 27,32 (en Inde serait retenu 27, divisible par 3).
Différence : 1 jour (ou 10 dans le second cas).
Soleil + Lune : 29,5 jours d'une Nouvelle Lune à l'autre (remarquer NL, comme LN inversé), et 29,5 x 12 = 354, des chiffres isiaques (pythagore), en réalité avec les décimales : 12 × 29,5306 = 354,3672 jours.
Différence avec l'année solaire pure de 365 jours : 11 jours d'intercalation, à pouvoir justifier d'un treizième signe de 11 jours dans un contexte de 12 autres de 29,5 jours, ceci de façon inégalitaire.
Cependant que ce treizième signe va se retrouver au centre du zodiaque où les 12 signes l'entourant seront de 30° pour 1/12 de 360 (sexagésimal), où l'on ajoute 5 (V) jours épagomènes pour 365 jours, avec des mois qui feront 30,31,et 28 ou 29 jours.
- 5°) Rouages des astres à Valeur V romain de palindrome, ciblé 5 sur 5

Il s'agit ici du carré de Mars à 25 cases et du fameux palindrome afférent à celui-ci dont on retrouve trace jusqu'à Pompéi. L'ordonnancement à partir de la constante indiquée par les diagonales au naturel (65) et toujours avec la case centrale 13, est ici effectué pour obtenir un losange de nombres impairs avec les nombres pairs dans les coins du carré (à en évoquer un as de carreau !).

Sur le palindrome, et en résonnance avec le 13 central du carré, on notera surtout le N central (consonnance aiNe, de forme en V, comme le 5 romain) et le mot formé en bas : ROTAS, roue, rouages, soulignant l'importance des cycles astraux et en premier lieu celui du soleil qui rythme les saisons dans une société agraire. Bardons de V l'ère ?

A droite le V romain (5) qui peut être présenté comme prédestiné à un "y" pour insinuer la réunion de deux éléments (tels la Saône et le Rhône à Lyon), outre le fait qu'un V peut représenter une barre transversale d'un N avec sa disposition symétrique pour un N inversé, et autant que le N peut se diviser en un V inversé (Lambda) suivi d'un I : ∧I.
A gauche : quand 13 et 12 sont liés au 5 graalesque, en même temps : 13 + 12 = 25.
Ci-dessous : Quand 25 cases se retrouvent en cercle à 24 + 1, ce dernier (adoubé à double portion) avec accès au centre (V de pentagramme)
- Interlude de 5°) V = 4 + 1 d'une quintessence lunaire ou pas, quatrain à Chiner dans l'air dû tant, c'est un fait : 4 x 90°= 360 = (4 + 1) x 72°


Il arrive aussi que certaines civilisations comptent 5 saisons (Chine) et d'autres 3 (Egypte ancienne : 1) Akhet (Akhit) ou Hekhet « Inondation », 2) Peret (Perit) « Émergence (des terres) », 3) Chémou (Shemou) « Chaleur »).

Le bestiaire chinois est composé de cinq animaux mythiques (image à droite), que l'on ne retrouve pas tous sur leur zodiaque marso-jupitérien.
Tortue noire ou bleue d'Eau (Nord), Dragon vert de Bois (Est), Phénix rouge de Feu (Sud), Tigre blanc de Métal (Ouest), Serpent jaune de Terre (Centre et intersaisons - à se déployer en X).
Cependant que la tortue pourrait bien concerner aussi l'occident, voir § 13 Ter.

L'astrologie chinoise teint compte essentiellement des transits de Mars (biennal, Yin-Yang) et de ceux de Jupiter : 12 ans (un signe par an), un nombre commun avec l'Occident où cela concerne la division de l'année en mois avec un signe par mois ou 12 luni-solaires de 29,5 arrangés solaire à 365. Noter aussi 5 agents chinois (Eau, Bois, Feu, Métal, Terre), à mettre en relation éventuellement avec le pentagramme de Vénus, contre 4 éléments en occident (dont l'Air de l'ère), en gras dans le texte.

Mais en Occident 4 & 1 correspondent à D & A dans un abécédaire, et déjà rencontrés avec Les Pléiades, les axes Draconitique et Anomalistique, et la triade Deneb - Véga - Altaïr, du triangle d'été, outre AlDébaran (du Taureau), et une case 41 lunaire (de quintessence) à découvrir par la suite (§ 7 Ter). B-ain de four-mi-S où le geai se déchaîne en quinte de tout à l'ego d'un quatrain ?
- 5 Bis°) Cinquième signe : Le Lion, allié d'une constellation au référentiel d'écliptique

Ci-dessous à gauche : chimère étrusque d'Arezzo, Lion, Capri-corne et Dragon, l'idée résumée de la précession.
(Voir également en bas de cette page l'archive N°1).

Car le signe du Lion spécialement notifié pour représenter le feu et l'été est aussi le premier cité par la notion de précession par l'étoile Régulus de la constellation éponyme au plus près de l'écliptique (Voir propos et images page 5 Bis).
Jean COCTEAU : Deux Béliers.
(et un "Vide" entre eux : l'appât tri ?)
- Interlude de 5° à 6°) Pour la plu-par-t du tant opérationnel mais pas si paradoxal que ça dans un Piètre Monde riant inversé plus épars

Addition : 2 + 3 = 5, Multiplication 2 x 3 = 6 , et + sur x = octogone
(Théorème d'HéLèNe Deux Trois - Version I ?).
Que 5 + 6 = 11 & 5 x 6 = 30, c'est au total Quatr-ain concentré de L'une ou l'autre formule triée octogonale, et avec 65 la constante de Mars.

Mais Somme et Produit, initiales SP tels Singulier et Pluriel, Secondaire et Primaire (couleurs), SP comme dans SePtenaire et SerPentaire (mais aussi Esope).
- 6°) Mythique sixième signe que celui de la Vierge à l'épi leVé, allégorie des récoltes à la dimension V, prémices productivistes et sacralisation du "ça crée" qui se piqua au jeu collectif avec per-Spica-cité :

Au paléolithique s'opérait avec l'astrologie une démarche intello-spirituelle en harmonie avec les données empiriques observées apte à engendrer le passage du stade initial "chasseurs-cueilleurs" nomades à une société agraire et pastorale sédentarisée, en approche d'une maîtrise de l'espace et du temps.
C'est la période où la domestication de la faune (élevage) et de la flore commence, dont une valorisation-sélection des graminées avec espoir et perspectives de récoltes vers la fin de l'été, période dévolue au signe de la Vierge et avant cela à la constellation éponyme. Au mésolithique on ne se contente plus de cueillir, on souhaite gérer les cadences et les cas-denses des semis et les récoltes avec plus de Pérennité et de Sérénité (albae sunt iam ad messem), prémices du concept de productivité. Cela supposait une organisation sociétale et familiale à la clé.

SPica Virginis est l'étoile principale du signe de la Vierge, dont l'attribut est un épi de blé, et précédant l'équinoxe d'automne, là où les métaphores du Singulier s'apprêtent à passer au Pluriel dès le signe suivant, et pour tous les signes de la moitié haute (sud) présentée par le cercle zodiacal.

Cette période des récoltes au néolithique devait être la plus étendue possible pour tenir compte du phénomène de précession des équinoxes avant même d'en avoir trouvé la gestion-solution par un décalage assumé d'écart signe-constellations (vu § 2). C'est ainsi que la constellation de la Vierge est la plus grande du cercle zodiacal sidéral (de l'ordre de 45 à 48°) parce qu'il fallait tenir compte culturellement de la réalité de ce phénomène lent (1° pour 72 ans) mais primordial à appréhender parce que vital à la longue pour la crédibilité effective d'une société agraire dans la gestion du temps :
Il fallait kiffer le temps qu'il fait (saisons) et qui passe à partir de repères spaciaux adéquats et à jour.

Dans le contexte pertinent d'un rituel global de fertilité-fécondité-prospérité envisagé depuis la plus haute antiquité, c'est au travers de la relation différenciée Soleil-Lune bien observable et au Masculin-Féminin assimilable, érigée alors en paradigme du Rebis, que l'humain pouvait donc se caler mentalement en se référant à une réalité biologique imposée par sa propre sexualité, au titre élémentaire du concept de création autant qu'à celui plus élaboré du mystère de la Création ou quand le "ça crée" devient le sacré comme "on s'aime" peut devenir "on sème".
- 6 bis°) De six et de syMétrie à n'euf :

Le 9 est de symétrie centrale au 6, et la nuit serait le symétrique du jour : 6 numéro d'ordre du Soleil et 9 numéro d'ordre de la Lune.
Les deux M (image à droite) des sigles de la Vierge et du Scorpion (initiales VS qui est déjà un mot parlant à part entière) : une symétrie ou un indice à envisager autour du dernier jambage ? Pourtant un rapprochement à effectuer entre le 6 (6° signe : Vierge) et le 8 (8° signe : ScorPion) : deux chiffres figurant en bas du carré ordonnancé de Saturne, également ayant trait au nombre d'or (1,618034) et à l'axe nodal (18,6 ans). Entre les deux le signe (ascète ?) de la Balance.
Une hypoténuse de 10 propose deux côtés de 6 et 8. (36 + 64 = 100, par le nombre d'or et les carrés du Soleil et de Mercure...et la consonnance 100).
- Interlude de 6 ascète : 6 & 0 ou 60 le sexagésimal du temps et des arcs en 5 x 12, ça tourne comme Saturne ?

Ci-dessous : quand un triangle isocèle avec + 1 sur un côté devient alors triangle rectangle quand le carré du plus petit côté est égal à la somme des deux autres qui ont une unité de différence (c'est le cas avec la suite 3,4,5 de référence isiaque 3² = 4 + 5) : 13 sidéral (13 x 28 = 364) et 12 synodique (12 x 29,5 = 354), au centre : 6 & 5, comme 65 (= 5 x 13).

2 & 5 = Septenaire
1 & 2 : Soleil + Mercure + Vénus (triade groupée)
1 & 3 : Lune, Mars, Jupiter, Saturne.

5² = 25 (2+5=7), 12² = 144, 13² = 169, dont 2 x 4 (=8) et 6 & 9. Outre que 12 x 13 = 156 ou 6 x (25+1)

Cependant que 6 x 2 = 12 dont 5 trilithes en fer à cheval à Stonehenge (Saturne 2, Jupiter 2, Mars 2, Vénus 2, Mercure 2) et Soleil + Lune : Heel Stone
- OBJECTION : et d'effectuer une critique la plus impartiale possible de l'astrologie !?
Felix qui potuit rerum cognoscere causas...


Quelques vidéos à propos de l'astrologie (partisans et détracteurs) :
🎬(1), 🎬(1 bis) 🎬(2), 🎬(2 bis), 🎬(3), 🎬(3 bis), 🎬(4), 🎬(5),🎬(6), 🎬(7),

Autres documents : 🎁(1). Le système solaire en direct, c'est 🎁(2).

"L'absence de doute, c'est le confort dans la servitude." Boris Cyrulnik

Ci-contre à gauche la fameuse fable, mais le Corbeau (corps beau ?) est une constellation (proche de celle de la Vierge et de l'Hydre), également constellation : le Renard (et l'Oie, init. OR) alias (Vulpecula), tardive (XVII°), et le fromage une allusion au cercle de précession.
- 7°) Septième signe : la Balance ou le pas-sage du singulier au collectif, un hui(t) clos de plateaux ou-verts assomme II + V d'égale litée (IV & VI) d'échiquier et marque l'AD-équate heure du fun en bulles trop piquant

Le signe de la Balance marque la croissance de la durée de la nuit accédant à une dominance sur celle du jour, et en cela l'accès au collectif, au pluriel suggéré par la partie supérieure du zodiaque (voir aussi § 12) : Va Bene entre Vierge (6) et Balance VS Scorpion (8), 1,618 du nombre d'or.

(à suivre...)
- 7 Bis°) Le zodiaque occidental de référence est celui égyptien d'Hathor à Dendérah

Septenaire : le Soleil, la Lune et les 5 autres astres transitent initialement sur la bande zodiacale des 12 constellations d'origine dont la référence fonda-mentale est l'écliptique ou la course apparente du soleil.
Les constellations les plus au centre du cercle ainsi formé et donc plus au nord sont dites "impérisables" parce que visibles toute la nuit. C'est le cas de la Grande Ourse, de Cassiopée, de la Lyre, trois des circumpolaires bien visibles au nord les soirs d'été autour de la constellation du Dragon (Fée Mélusine).
Paradoxe : la course du Soleil n'est repérable que de nuit (i.e. quand il n'y figure pas), c'est donc la Pleine Lune qui va remplir cette fonction en "symétrique", le Soleil étant situé dans le signe d'en face sur le zodiaque pendant cette période. La Pleine Lune devenant alors la représentation inverse du Soleil, dans une exposition gibbeuse perceptible de 2 à 3 jours, soit à se caler sur 2,5 jours en moyenne sur la valeur d'un signe : 2,5 x 12 = 30, à introduire le système sexagésimal 30 x 12 = 360° (+ 5 épagomènes pour aller à 365 j). Il convient à ce stade d'évoquer quelques chiffres : 28 x 13 = 364 (-1 de 365), 29,5 x 12 = 354 (isiaque de Pythagore et -11 de 365 ou l'intercalation).
- 7 Ter°) Sept-en-aire & carrés astrologiques d'ordre 3 à 9, plage médiévale sans éradiquer l'impéris-sable de l'An Mil

Les carrés astrologiques aperçus au § 4 Ter ont été développés vers l'An Mil, notamment en indiquant en plus du numéro d'ordre (issu de la vitesse apparente) : le numéro de leur case centrale éventuelle (qui correspond à la moitié de n²+1) et le montant de la constante (obtenu directement par les diagonales sur le carré dans l'ordre naturel des numéros, et qui plus est sur chacune des deux barres de croix grecque dans les carrés d'ordre impair). Il s'agit là initialement d'un développement en dérivation de ROTAS (roue, rouage, cycle) aperçu au § 5 (palindrome).

Chaque nombre obtenu ainsi (numéro d'ordre, numéro de case centrale, montant de la constante) est sujet à extrapolation. Ainsi par ex. Vénus de case centrale à numérotation 25 évoque d'entrée le septenaire à 2+5 autant que le nombre de cases (25) du carré de Mars. On remarquera également le 111 de la constante du Soleil qui avec ses 3 x 1 évoque ainsi...les 3 cycles lunaires !
- Interlude 7 à 10) i.e. : 2 + 5 = 7 et 2 x 5 = 10

- Taureau 2° signe (dont Pléiades 7) et Lion 5° signe (dont cœur Régulus 1), avec 2 + 3 = V (dont 3 = G x 2 + K ?).
- De Taureau à Lion, sur l'écliptique : Castor (Case tort ou tord) et Cancer, une constellation en forme de K. Ci-dessous : Apamea, mosaïque.
- 8°) Que le K du C de Mercure dise huit à l'analemme et en soi sente quatre saisons, qui étalées au sol se tissent en méridienne ou CAdrant au mur qui mène à y voir plus encore

Et Scorpion (calembour "ce Corps Pion" ou Score Pion) : 8° signe, tel 8 à l'assomme d'un V romain + 3 comme LN.

Le 8 évoque la forme du sablier, et le 8 à l'horizontale est aussi le lemniscate : symbole de l'infini. L'analemme à la base de la création du chiffre 8 ? Qui est aussi le nombre de pattes du crabe, de l'araignée et le nombre de tentacules d'une pieuvre ou bras d'un calamar (cas l'amarre). L'arcane VIII au Tarot (la Justice) est une spécificité française, comme le XI (la Force).

Le chiffre 8 a une signification particulière dans toutes les cultures. Il est généralement associé au karma et à la renaissance (en tant que nombre angélique), dans le christianisme, il est associé à la résurrection. Pour les Chinois, c'est un chiffre porte-bonheur et pour les Hindous, c'est le nombre de l'infini. Ci-dessous en 8 ans : le pentagramme de Vénus (entouré des 22 boucles de Mercure dans le même temps).
- Interlude de 8°) Ça tord les idées reçues d'un octogone à 8 clos d'Air et d'Eau (O) que l'on Voye ailes autour d'un N central très à N'œuf quand les 8 cases asservies sur 25 laissent et lèsent d'autres qu'on sonne ascèses en di-sette : c'est toujours une histoire d'unique case en plus ou en moins

Tracassant 3-4-5 pythagorycien : quand le 5 est absent, faut-il que le 8 s'efface ? C'est que 3 x 9 = 27 et 4 x 7 = 28 (total 55, soit LV romain).
La pieuvre pare n'œuf
de symétr-ie
Transmutation du carré naturel de Saturne
Pair (père) Masculin, x 1 à droite
Impair (pair +1) Féminin, x 3 à gauche
Au final, avec le sceau,
et avec le 5 (V) médian
1 vs 3, suggestif
- 8 Bis°) C'est qu'incertain N'œuf (9) Fit bonne assise à l'octogone, comme à l'inVestiture d'un genré 1 vs 3 d'LN : 3 cycles lunaires face à 1 seul solaire

Ci-dessous à droite tel un simple clavier numérique en ordre naturel des chiffres, c'est aussi le carré témoin ou naturel de Saturne, d'ordre 3 (3²) et le plus simple et basique de tous les carrés planétaires. Bien noter le V romain (5) en case (rôle) centrale, le 5 étant le médian de 1 à 9. A gauche 8 tentacules surmontés d'une case rôle au centre, une matrice ? = 9.

Il existe deux sortes de carrés dits planétaires : d'ordre pair (4-Jupiter, 6-Soleil, 8-Mercure), d'ordre impair (3-Saturne, 5-Mars, 7-Vénus, 9-Lune), cet ordre (3,4,5,6,7,8,9) est celui de la vitesse apparente des astres de la plus lente à la plus rapide, vu de la Terre. Les carrés d'ordre impair ont une case centrale et leur constante est donnée directement sur le carré naturel ou témoin par la somme des diagonales ainsi que par la croix cardinale passant par le centre ou case centrale.

Les carrés pairs n'ayant pas de case centrale, leur constante est indiquée uniquement par les diagonales.
Case centrale et principe de genre ? Pas seulement, le carré naturel le plus simple (images à droite et ci-dessous) indique 1x45° horaire au masculin et 3x45° antihoraire au féminin, de quoi composer le mytique nombre 13, noter l'aspect isiaque de 3x45° mais aussi l'écart initial entre 1 et 2 à 45°, ce qui donne en fait 5x45° d'écart total (= 225°, 2 & 25, 22 & V) ou d'un 3 à 8 initial (voir schéma image), et surtout 225 = 15², la constante au carré de Saturne, outre que 113 + 112 = 225 = 15² comme 13 + 12 = 25 = 5², triangulation (Pyth.) en gras.
La devise citée en vert en bas de l'image ci-dessous en haut (en 3,8,5 lettres, des chiffres de la séquence de Fibonacci) est attribuée à Louis XIV, dit le Roi Soleil, elle contient + (plus) et x (par), deux sigles à superposer pour un octogone à point central de croisements.
Noter aussi dans les deux colonnes de droite sur le carré initial au naturel : 2-3 (L-N), 56 (Aubrey) et 65 (Mars) ainsi que 8 pour 2³ et 9 pour 3².
Impair hâtivement avec Pair Spica cité
Un certain curseur de précession
repéré par Gerbert d'Aurillac
rayonnant vers l'An Mil
- Interlude des 8° à 11°) Ce fut très show de l'actualisation en L'An Mil : de la précession à l'âpre cession comme un apprêt pour l'après des régionaux de l'étape vers le sol-stice d'hiver

Concerne Scorpion, Sagittaire, Capricorne, Verseau.
Nell'anno 1020, WiLieLmus ha potuto presentare al pubblico il suo primo grande lavoro :
Aux ides de Mars en l'An 1020 : une œuvre complètement Géniale !
- 8 Ter°) Scorpion 8°signe, dont calembour ce corps pion, et "tombeur" de l'Aigle de Saint-Jean

Le Tétramorphe, figure cosmique et chrétienne, et les quatre éléments :
Tétramorphe, Apocalypse de Jean (4, 7-8)

– Le premier être vivant ressemble à un lion,
– Le deuxième à un jeune taureau.
– Le troisième a un visage semblable à celui d’un être humain,
– Le quatrième ressemble à un aigle qui vole.


Le Lion de Marc, le Taureau de Luc, le Verseau de Matthieu, L'aigle de Jean... qui vers l'An Mil ne vole plus, devenu obsolète et "remplacé" à la fois par un nouveau "jalon" zodiacal : le Scorpion (voir carte du ciel au paragraphe suivant), mais aussi par le Sagittaire-Serpentaire en coalescence du Cygne et de l'Aigle avec le "souvenir efficace" du début de l'ère des Poissons et prolongation, celui-ci étant chargé de prendre la relève sur l'écliptique et de justifier l'intérieur du cercle zodiacal (voir aussi §9 et § 11 Ter).
L'Aigle et le Scorpion, le bec = un dard, deux serres = deux pinces. Aigle de PatmoS, atmosphère PS comme ScorPion et SerPentaire. D'autre part, la constellation du Scorpion (en 1 et 3 de cauda à caput) se prête bien à évoquer la serre d'un aigle (revoir fig. de gauche § 4 Bis, et voir aussi l'interlude médiéval 8 à 9 qui suivra).
Ci-dessous un scorpion à Göbekli Tepe (-13 000 ans).

Dualité Tri-via-le ?
Hélène 2-3
- Interlude Numérique de 8° à 9°) De Scorpion à Sagittaire : deux S, pouvant créer des liens trou-blants.

Les deux seules puissances d'entiers consécutives sont 8 et 9, qui valent respectivement 2³ et 3². Cube et Carré, en 4 et 5 lettres où les radicaux prennent en exposants la partie adverse. (Théorème d'HéLèNe Deux Trois - Version II ?)
Ci-dessous 2 lettres et 3 demi-cercles pour une note. C'est qu'à 2 c'est potentiel 3 (à droite).
Gravure de Basilic
Serre d'un aigle,
1 & 3, M vs F
- Interlude Médiéval de 8 à 9°) Basilic en base idyllique de Scorpion à Sagittaire en représentation lyrique au cœur de la meule

Allure Prince si pâle de COQ ! (Tôt le champ du zodiaque fort mage est en forme de O)
Et accessoirement une allure d'Aigle et de Serpent (AS) qui en font un coq en pattes d'aigle et aqueux.

Ci-dessous à Lyre 8 & 9 rassemblés dans un rectangle à diagonale à outrance sur fond de gémellité tête-bêche.
2³ & 3²
- Interlude Stellaire de 8 à 9°) Orion, schéma directeur et fondement essence-ciel pour le pas-sage du 8 clos à 9

Orion, comme un 8 ou un sablier, noter la diagonale Rigel-Bételgeuse, alignée vers les Gémeaux, l'autre diagonale Saiph-Bellatrix alignée vers le Taureau, le baudrier (ou ceinture) composé de Alnitak, Alnilam et Mintaka (plus petite) qui rappellent les pyramides de Gizeh, Meissa en haut, et accessoirement l'amas de l'étui d'épée.
Incertain regard en des verres
4 & 4 = 8 (= 3 & 5) comme la suite 4,5,6,
naturelle et saturnienne en diagonale,
et livide = I V I à huit clos dans la carrée
Carré naturel de Saturne
Roi aux échecs
Théorème étroit d'LN 2-3 ? : Les deux seules puissances d'entiers consécutifs sont 8 et 9 (qui valent respectivement 2³ et 3²).
Symétrie, s'y mettre "i"
Hydre de Lerne (2° des travaux d'Hercule) : Le Pseudo-Apollodore écrit à son sujet : "Elle était d'une grandeur démesurée ; elle avait neuf têtes, dont huit étaient mortelles, et la neuvième immortelle".
A gauche l'Aigle, à droite le Cygne,
au centre le Serpentaire, et triangle d'éTé
quand s'agite ère en l'An Mil




Constellation du Sagittaire





- 9°) Sagittaire et s'agite ère grisée de Black and White : Sagittarius-Serpentarius, l'An Mil c'éTait hier moins qu'à deux mains

Thé (TENET ?) et Café (K fait ?) : La constellation du Sagittaire a la forme d'une Théière, celle du Serpentaire (Ophiuchus + Serpens) a la forme d'une CAfetière (voir image plus haut dans § Int. 8 à 11).

Sagittarius-Serpentarius est un échassier-rapace, mangeur de serpents, parfois dénommé secrétaire de par ses plumes servant autrefois à l'écriture (calembour : secret-taire).
De contraste est
- 9° Bis) Un'œuf cosmologique avec le SerPentaire, en gémellité de contraste

La porte d'entrée du SerPentaire se trouve entre Scorpion et Sagittaire, une entrée pour mémoire vers l'intérieur du zodiaque, où se situe précisément le Serpentaire.
C'est aussi que Régulus du Lion et DorsuM du Capricorne sont étoiles de référence pour l'écliptique et à relier les deux on passe par la constellation du dragon et les circumpolaires impérissables (étoiles visibles toute la nuit).
Une gémellité de constrate consistant en deux constellations : Cygne (clair) et Aigle (fonçé).
A gauche le "curseur" du mât de la précession, où l'aigle a rempli une mission jusque vers l'An Mil entre les constellations du Capricorne et du Sagittaire : celle d'occuper par shuntage un vide stellaire sur l'écliptique.
Le nouveau package officialisé à partir de l'An Mil pour cause de précession est : Sagittaire + Serpentaire (Serpens + Ophiuchus) + Scorpion, en remplacement de l'ancien triangle d'été constitué du Cygne, de l'Aigle et de la Lyre, mais sans oublier ces derniers.
- 9 Ter°) Sans doute ne jamais oublier que 9 est à l'assomme de 8 + 1, anagramme n'œuf = on + feu, n'œuf comme neuf moi(s) = 3/4 d'année complète

Sur l'échiquier la Dame ou Reine peut se déplacer sur 8 cases maximum et dans tous les sens, et le Roi sur 1 seule, également dans tous les sens.

En fonction de cette norme comportementale il n'y aurait donc pas de conclusion hâtive sur le principe de genre à déclarer le 1 de type phallique au masculin et le 8 au féminin, l'ensemble en synergie sexuée traduite en synodique astro produisant le n'œuf de fécondation, et de la sorte ce même 1 au masculin (et de bâbord) se retrouve face au 3 féminin (tribord), avec l'alliance des deux "protagonistes" à travers la conjecture de Syracuse.
- Interlude, méthodologie du 9 cylindres en étoile pour 7 astres et 2 axes en condition nécessaire et suffisante à une perception intuitive de critères astrologiques ordrés dans les 9 signes théoriques à sélectionner pour un thème natal
Dans l'ordre indiqué : les 2 luminaires (Soleil & Lune), les 2 telluriques "intérieures" (Mercure et Vénus), la tellurique extérieure (Mars), les 2 gazeuses lointaines (Jupiter & Saturne) et enfin les 2 points dits fictifs (Nœud Nord et Lune Noire) concernant respectivement l'axe nodal et le grand axe (revoir § 2). Neuf éléments et à chacun son signe-cylindre = un moteur astro neuf cylindres radial (neuf théorique puisque des éléments peuvent avoir un signe-cylindre commun).
- 10°) Le classé X en portions de carrés avec option plus qu'une potion pare en constante de diagonales, tel un mandala

Le thème natal à l'ancienne en 13 cases : Comme un développement de l'octogone (dont la référence est le carré de Saturne), avec un grand carré (x) où l'on dessine un losange (+), puis à l'intérieur du losange un nouveau carré (x) dont le prolongement des diagonales non dessinées rejoint les coins du grand et premier carré.
C'est ainsi que l'on obtient un octogone contenant les signes cardinaux et mutables, mais pointés de fait entre eux deux par les signes fixes de la saison pour passer à douze, la case 13 étant celle centrale comme dans le carré de Mars (revoir § 5).
A noter à gauche que chaque demi-sous-diagonale (sur 4 cases) permet d'évoquer le carré de Jupiter (16 cases et multiple de 64).
Ci-dessous : à Quéribus
- 10 Bis°) Le Capricorne aux caprices di-thyr-am-biques d'une NOble reine alambiquée d'abondance et d'égide : Amalthée d'un cas fait d'oser naïade à Cappella et d'un Cornu de Nec-tar et D'Ambroisie

DorsuM l'étoile du dos de la constellation du Capricorne est située sur l'écliptique, outre qu'il faille peut-être y voir aussi un Dos aux mur (D'or sum ?).

Ci-contre à gauche, un quatrain de Nostradamus qui indique bien en référence à D.M. (DorsuM) que les codes ecclésiatico-dynastiques de l'Occident sont fondés essentiellement sur le fait de la précession, dont ignorance par le plus grand nombre.
C'est un quatrain qui trouvera sa résolution avec la Révolution de 1789.

Noter également la syllabe DO de Dorsum, façon note de musique éponyme.
C'est aussi que l'Arcadie était le pays des chèvres.

Une hypoténuse de 10 propose deux côtés de 6 et 8. (36 + 64 = 100, par le nombre d'or et les carrés du Soleil et de Mercure...et la consonnance 100).
A suivre...
- Interlude Saturnien de 10 à 11°) Quand ça tourne en arbitre des élégances pour changer d'ère à toutes fins de boucler l'année platonicienne en ouroboros, ou encore qu'il faille occulter 10 jours de temps un jour.
(images cliquables pour agrandir)
- 11°) Eloge de l'intercalation astro via la GémeLLité mercurielle, I & I = II = 2 romain, de zèLe ONze départ prONom indéfini, au bal de 13 ou 1 & 3 aPrèS remballe

ON comme les initiales de Naturel & Ordonnancement.
O comme un œuf et N comme deux 1 tête-bêche, dans le ciel nocturne : Cygne et Aigle (initiales CA) tels des jumeaux avaires tout en contraste.
Coalescence du Cygne et de l'Aigle au travers du grisant noir et blanc Sagittarius-serpentarius (échassier-rapace) qui devient le représentant alchimique du Tao (6 et 9, blanc et noir) en mémoire de ses deux prédécesseurs dans l'ère (Cygne blanc, Aigle noir). Celui-ci fait apparaître trois constellations : Sagittaire sur l'écliptique, Serpens et Ophiuchus au-dessous et Scorpion en limite d'ère sur l'écliptique (voir carte du ciel à gauche).
Rappel : L'arcane XI (la Force) au Tarot est une spécificité française, comme l'arcane VIII (la Justice), c'est l'inverse dans les autres pays.
- 11 Bis°) Onzième lettre : le K (de Karma ?), ou le CAs du Cygne et de l'Aigle, ou le CAs des CAncer et CApricorne en méridienne, et 11° signe au verso 6+5 en parade à doxa

Ci-dessous les carrés des nombres d'ordre astrologique (3 à 9) déjà abordés aux § 4 Ter et 7 Bis, et les nombres "rectangulaires" associés, avec de fait un bonus qui ressort dans la partie droite pour les 3,5,8,13 de la séquence de Fibonacci, à retrouver en bas LN 2-3, autant que sur le schéma à gauche (deux diagonales + une jonction). A droite en haut : CAstor et Pollux d'alignement explicite sur une montre dalinienne. A gauche une autre façon (gémellaire tête-bêche de Lyre 11). En bas à droite et d'après le carré (basique) de Saturne, ligne haute : 4² + 9² + 2² = 101 et ligne basse 8² + 1² + 6² = 101 (voir pour la ligne centrale ?) avec allusion au prONom indéfini en deux "1" tête bêche du N rompu en moitié de barre oblique et transversale (ainsi qu'à la note DO) et en bas la formule connue d'Al-Khwârizmî (IX° siècle), correspondant d'ailleurs ici à l'intercalation astrologique, avec évocation du serpentaire comme signe supplémentaire (par substitution avec remplacement hors écliptique).
Bocuse, Pont de Collonges
(un natif du Verseau)
M comme Monde,
inclusif de 2 x 1 symétriques
= 11, et surmontés d'un V
Madres P-ara-le-las
porcelaine, bois, métal
- 11 Ter°) Le Verseau ren-versa-t-il à tort l'arraisonné enVerS et cONtre toute at-tente comme un b(r)ouiLLon de 11 H en poids sonné ?

C'est au V-Air sCeau essence-ciel de l'hi-Ver que l'é-troi-t de la ma-Tière fait mine Un (revoir l'image de droite haute et hôte du § 4 Bis).

Le Verseau (Aquarius), le porteur d'eau trouve son origine dans les crues du Nil (et pas dans l'écru du nihil). Calembours Vert-Seau et Vair Sceau.
Le sigle indique deux ondulations parallèles de vagues aquatiques, alors même que le signe n'est pas d'eau mais d'air, lié aux épées du tarot et aux piques des cartes modernes.
Comment ne pas faire le rapprochement entre l'expression VS (versus) et VerSeau... à 3 contre 1 ?
Et de revoir un des § 4 sur les couleurs (3V).

Ci-dessous : Cloche à 2 L telle un seau renversé façon lambda, tambour quasiment avec sigle du verseau (revoir couleur bleue (air) du § 4 Bis, image en haut à droite), NB en bas : 3-2 = 1, & 6-5 = 1, 6 + 5 = 11.
Verseau serait donc vair sceau, et ce 11° signe au-rait un espace où vert entre eux deux ? (Cf. § 4 bis)
- Interlude de 11 à 12) Pythagore isiaque tracassant à 3,4,5 autant que 12 + 11 = 23 (LN) et qu'un L soit triangle en cavaLe
- 12°) De six à douze en douce pour en contenir un treizième en double, ce sont les signes du zodiaque et autant de métaphores du Singulier au Pluriel, 1² + 2² = 5 ou V, contenant un contenu :

En bas les six premiers signes (en ocre) : métaphores au singulier - jour dominant, individualisme
En haut (bleu) : les mêmes métaphores mises et misées au pluriel - nuit dominante, collectivité.
(A droite : signe, anagramme singe)

- Bélier (Phase JD 1° - JC 4°) : Intrication pulsionnelle
- Taureau (JD 2° - JC 5°) : Incarnation, chair, concret
- Gémeaux (JD 3° - JC 6°) : Découverte immédiate

- Cancer (Phase JD 4° - NC 1°) : Figure Maternelle
- Lion (JD 5° - NC 2°) : Figure paternelle, repères
- Vierge (JD 6° - NC 3°) : Logique, raison, limites

- Balance (Phase ND 1° - NC 4°) : Pulsion grégaire
- Scorpion (ND 2° - NC 5°) : Sexualité, génitalité
- Sagittaire (ND 3° - NC 6°) : Ailleurs (espace et temps)

- Capricorne (Phase ND 4° - JC 1°) : Société
- Verseau (ND 5° - JC 2°) : Idéalisme, cérébralité
- Poissons (ND 6° - JC 3°) : Irrationnel, fusionnel

Il est intéressant de relier les trois derniers à la trilogie de Pascal. D'autant que ceux-ci ont d'autres spécificités "h-i-ver-nales" en triade déjà évoquées sur le schéma de droite du § 4 Bis. Ci-dessous zodiaque du Capitole à Toulouse :
- 12 Bis°) Les douze attraits du zodiaque ont inspiré trois abbés, outre antériorité H

Image à droite : Tréhorenteuc, Bélier en haut à gauche et sens antihoraire (Taureau à suivre en haut à droite). Voir Page 12 bis également.

Image de gauche : 3 cycles lunaires à Bourges.

Ci-dessous : Ne pas noyer trop top ni taupe les Poissons dans un vert seau.
- 12 Ter°) 12° signe, celui des Poissons

Image à droite : Poissons zodiaque Chartres - Le lien entre les deux poissons serait celui entre l'Ancien Testament et le Nouveau Testament, les deux étant liés l'un à l'autre, mais le nouveau remplaçant l'ancien - le poisson mort qui flotte le ventre en l'air.
Hercule à Vaux - XVII°
Tréhorenteuc
- 12 Quater°) L'antériorité d'une dodécade Héraclès - Hercule

12 c'est le nombre de signes du zodiaque, reprenant le nom et l'ordre des constellation d'origine avant écart entre les deux (signes égaux et constellations inégales) mais c'est aussi le nombre des travaux d'Hercule. Il existerait donc un rapprochement à effectuer (surtout 2° & 5° signes du zodiaque actuel).

Dans « Les Travaux d’Hercule ». Alice A. Bailey exposait l’ordre d’épreuves que voici :
- 1. Bélier) : Capture des cavales mangeuses d’hommes - 2. Taureau) : Capture du taureau de Crète - 3. Gémeaux) : Cueillette des Pommes d’Or des Hespérides - 4. Cancer) : Capture de la Biche de Cérynée - 5. Lion) : Massacre du Lion de Némée - 6. Vierge) : Prise de la Ceinture d’Hippolyte - 7. Balance) : Capture du Sanglier d’Erymanthe - 8. Scorpion) : Destruction de l’Hydre de Lerne - 9. Sagittaire) : Extermination des Oiseaux de Stymphale - 10. Capricorne) : Destruction de Cerbère, Gardien de l’Hadès - 11. Verseau) : Nettoyage des Écuries d’Augias - 12. Poissons) : Capture des Bœufs roux de Géryon.

Cette correspondance entre signes du zodiaque et travaux d'Héraclès est variable suivant les auteurs.

Image à droite Tréhorenteuc : la porte est en dedans = la portée en deux dans (ou le treizième signe en double).
N.B.: Image ci-dessous, c'est le 3ième serpent rencontré, après celui (chinois-central) du § Interlude de 5, et celui du § Serpentaire de 8 à 11.
Héraclès et Ladon (Dragon)
Carte du ciel des soirs d'été








Orion nous un sablier ?
- 13°) Avec 1 et 3, et entre 8 et 9 : Ophiuchus-Serpens à V-entre zodiacal et SfumatO avec ScorpiO-n en mains, icy a-VI-sé de ne pas avoir tout faux

13 x 28 = 364,

S'agissant là du cycle féminin lunaire (28 -divisible par 4) pour 27,32 lunaire sidéral exactement), manque 1 jour pour aller à 365, mais au centre de 364 un de plus dans les dizaines que pour l'isiaque de Pythagore à 354, ce qui fait ressortir 6 & 5, pour 65 à 1 de plus que 64 (8x8 et échiquier).
Ce 8 qui se dessine sur la constellation d'Orion, qui plus est avec un baudrier (ceinture) à 3 étoiles, adéquate pour une évocation des trois cycles lunaires (l'ensemble inspirant le mat au Tarot), mais un 8 fait de droites qui rappelle la constellation de la Lyre.
Ophiuchus Serpens = Serpentaire
- 13 Bis°) Treizième signe, intérieur au zodiaque et en gémellité de symétrie : 6 & 9, Soleil/Lune, Jour/Nuit, Yin/Yang du Tao (A de Air et O de Eau, tels R et O de OR, Treize OR), AmalThée hier et Cas fait de case rôle à deux mains
Quatre quarts d'année
ou encore 1 & 3

Voir ou revoir les vidéos proposées au § introduction
- 13 Ter°) Tortueux système où 13 = 4 + 5 + 4 (ou 5 + 8 de Mars et Mercure) en dorsal et 9 en ventral, carapace et CAs rapace
Lyre d'Hermès
Dans l'angle S-E du cloître
à Saint-Genis
Tortue Luo Shu (ventral)
et carré de Saturne
- 14°) Demi-cycle sidéral lunaire en cheminement des principaux nombres à rappeler
Cornus Ascètes
de vain 8 à pas nier
N'œuf

Constante de 15
- 15°) Constante de Saturne à l'assomme de 6 et 9

Les Pléiades et l'épelé I-A-D, le Diable : Dia et Blé, D et B comme DeneB.

A gauche carré et sceau de Saturne à Lyre en diagonale montante et à Suite numérique en diagonale descendante.
6 blanc & 9 noir


- 16°) As-cèse et Vert-ueux carré de Jup-i-ter où ça tord l'ordre naturel des n'ombres aux sols-tices !?
2³ et 3²
Etoiles à 5 et 6 branches
- 17°) N'ombre de l'Etoile au Tarot, étiolé octogonal à la barre de navig-ation tel 1+7 = 8 qui la plu-par-t du tant axé à neuf autant que moulu entre 5 et 13, en une lyrique concurrence as-cète au 11, gémellaire inversé de 2³ + 3² = 17

Mais c'est aussi que (déjà aperçu) : 2 + 5 = 7 et 2 x 5 = 10

17² = 289, 28-9, comme en Février, et 17³ = 4913, 49-13 pour carré de Vénus et la case centrale de Mars.
Bâbord - Tribord
- 17 Bis°) Objection 17 : l'arche d'alliance

Longueur x largeur x hauteur (proportions) = 5 x 3 x 3, diagonale tridimentionnelle :
3² + 5 ² + 3² = 9 + 25 = 34, + 9 = 43, soit 2 x 17 + 3²

- 18°) N'ombre de la Lune au Tarot (18 = 13 & 5), à lier au Crabe, sigle du CAncer quand l'écru c'est assez

Un crabe a huit pattes pour rappeler l'octogone plus deux pinces pour faire dix comme X ou deux diagonales, tandis que le homard (arcane 18) a deux pinces différentes : une pour tenir et l'autre pour prendre et broyer, rappelant en cela les deux zodiaques : signes et constellations ?
Le crabe a une carapace (cas-rapace), un peu comme la tortue. Et la pieuvre (par neuf ?) a huit tentacules, comme autant de pattes du crabe.
La Reine aux échecs se déplace en ligne toutes directions et jusqu'à 8 cases.
- 19°) N'ombre du Soleil au Tarot, allié au Lion de Némée ?
- Interlude Luni-Solaire 18-19) Avec câpres écarts de Kaprekar en des nécessités résiduelles parlantes au fond d'un V à deux pentes symétriques visant Mira-ge
Bâbord - Tribord de Vairons bien
- 20°) Devin ou de vain pour la Chatte au brillant, Lyre outre à tomber celle de SchrÖdinger en l'ire à longer, ce levain du XX romain aux diagonales montantes et descendantes fait losange au centre






Sirius et Procyon ?
- 21°) 21 et 12 font salon comme 1 et 2 font selon et foncent long sans froncer ni s'enfoncer clairement hors âge d'éclair hier dans les clairières

- 22°) Orion noue Amatrice d'amas triste à damer le pion super pausé ?
Tarot des Avenières :
2x5=10 au catalogue, ou
X au pouce et à l'index,
Taureau 2 - Lion 5
- 23°) Hélène 2-3, rockeuse au constant teint de clé 25 qui certes Sera bonne de Scores Pions restants sur deux colonnes, et ça s'arrose d'un foisonnement tous azimuts

Le saros est une période de 223 mois synodiques ou lunaisons (18 ans et 11 jours) qui peut être utilisée pour prédire les éclipses de Lune et de Soleil d'ombre portée similaire.
223 S ≈ 239 A ≈ 242 D (dans le même jour)

L'exeligmos = 3 saros, ou 669 mois synodiques, soit 54 ans et 33 jours (dont 114 éclipses).
Au terme d'un saros, éclipses décalées de 120° vers l'ouest avec 8 heures de temps, réduit à 13° au terme d'un exeligmos.

C'est aussi que 25 = 32 et autant de 8 au donjon de Chambord et que 6 = 2/3 de 9.

A l'exagération : 23 paires de chromosomes chez l'humain, ça vous parle ?




3 cases dispo à gauche et 2 à droite
- 23 Bis°) Hélène entrainée par la foule au détroit

Hélène et Pollux : les deux immortels du mythe de Léda, certes, mais Hélène l'impérissable ès-qualité de femme. Au tarot l'Arcane II (2) est la Papesse et l'Arcane III (3) l'Impératrice.
HéLèNe contient outre un H rappelant Héraclès, Hercule, voire Hermès, les deux L et N de Lune Noire et Nouvelle Lune, mais également le "e" sous trois formes, évoquant en cela les trois cycles féminins.

- Interlude LN 2-3) Quand 2 colonnes d'Hercule poireautent derrière une première qui ne recule pas.

Ceci pour des allusions à certains éléments :
- Les 2 colonnes d'Hercule peuvent-elles êtres considérées comme les deux axes karmiques ? Et leur écart tel l'ayanamsa ?

- Noter le calembour avec Hercule : ère recule, oui, sur le zodiaque. La constellation d'Hercule est située entre Serpentaire (Serpens-Ophiuchus) et Dragon, à la verticale de l'écliptique.
- 23 Ter°) Constellation du Dauphin et DOs-fin, la note DO en 2 lettres et 3 demi-cercles

Le triangle d'été étant constitué du Cygne, de l'Aigle et de la Lyre (initiales LAC), la constellation du Dauphin permet de passer à un losange.
Doble = Do blé ?
- 24°) 3x8 ou 4x6, de Pythagore (3,4,5) au Nombre d'Or (1,618034), et 2 & 4 dans 4,2,1 ou la suite géométrique de premier terme 1 et de raison 2 pour un quatrain de Lune ou l'autre quintessence

21= 2
22= 4, comme 2 + 2
23= 8, numéro d'ordre de Mercure
24= 16, nombre de cases du carré de Jupiter
25= 32, inverse de 23 la référence d'LN
26= 64, nombre de cases du carré de Mercure
27= 128, dont 1 et 28
28= 256, dont 25 et 56
29= 512
210= 1024
211= 2048
212= 4096
213= 8192 dont 81
214= 16384 dont 16 et 320+64 (16,32,64)

De plus, à l'évidence 4,2,1 est inclusif de l'évocation d'un arbre généalogique.

C'est aussi que 2 + 2 = 4 = 2 x 2.
- 25°) Elles sont 25 cases, ils étaient 25 chevaliers.

A droite : ordre (de chevalerie) du Porc-Epic (1394), devenu ensuite l'ordre de Saint-Michel.
Noter les mots "or" et "épi", et les écarts correspondant aux roques du jeu d'échecs (2 ou 3 cases).
C'est que hormis le carré de Mars et palindrome, 2 et 5 concernent bien l'astrologie (Mars est bisannuel (2) et Vénus forme un pentagramme (5) sur 8 ans) :

- 29,5 jours est la durée du cycle luni-solaire (calendrier)

- 2 + 5 = luminaires (2) et planètes (5).

- 2 x 5 = 10 = X romain et allusion aux diagonales.

- 25 inverse de 52, nombre de semaines annuelles (pour 364 jours, soit 52 x 7, ou 13 x 28 en passant par les chiffres de Fibonacci), recul de 1 chaque année (jours de la semaine) et 2 les années bisextiles.
C'est aussi que 29 (2 puissance n'œuf) = 512 (image à dr.).

- 2 et 5, deux chiffres inclus dans la formule du nombre d'or : (√5 + 1) /2.

Rappel : La LuNe transite entre 2 et 3 jours dans un signe, suivant périgée ou apogée, soit une moyenne de 2,5 jours.

- 25 = 13 + 12, s'agissant des 13 cycles purement lunaires, et des 12 signes de l'écliptique, le treizième signe étant à l'intérieur du zodiaque.

- 2 & 5 = 7, Sept comme dans Septenaire et Serpentaire (ce dernier ayant aussi attrait du 11).

C'est ainsi que 25 est clé d'Hélène 2-3 (clé qu'offre 32) et que 25 constitue avec 2 & 5 une référence astrologique (voir également image ci-dessus adroite, Taureau 2° signe et Lion 5° signe + antériorité Crète et Némée et accessoirement 3 L). Ci-dessous : Apamea, mosaïque.

- Interlude des 25 (ans) de Leonardo : il disparaît du paysage florentin entre 1476 et 1478, pendant 2 ans autour de ses 25 ans.
- 26°) Entre un carré et un cube 5²=25, 3³=27, aux exposants 2 et 3 façon LN 2-3

- Les 26.000 (ans) de l'année platonicienne
- 260 est la constante du carré de Mercure, et 4 x la constante du carré de Mars (65).
- 26 est le double du mythique 13, et la moitié de 52, nombre des semaines en 1 an.
- 26 est aussi bien connu pour une première raison : c'est le nombre de lettres de notre alphabet à 20 consonnes + 6 voyelles (mot qui contient 2 L), la seconde plus obscure parce que moins connue est que c'est le seul nombre compris juste entre un carré (celui de 5) et un cube (celui de 3), en effet : 5² = 25, intervalle 26, et 3³ = 27, et ceci par Les exposaNts 2 & 3, rappelant LN 2-3.
- 26 est le médian entre 23 et 29, rappelant les 369 de constante du carré de la Lune.
- 26 = 64, nombre de cases du carré de Mercure (échiquier). - 2 x 6 = 12 comme les signes du zodiaque, et 2 + 6 = 8 (l'analemme).
Les nombres 8 et 9 connaissent aussi la disposition "2 & 3" : un cube (2³) pour le premier et un carré (3²) pour le second, et ce sont des chiffres entiers, mais rien entre les deux si ce ne serait la moité de 17 et donc non plus un nombre entier, mais certes une référence à l'étoile au Tarot.
- 27°) 2 & 7 n'Oeuf et Sidéral à 27,32 jours, montée et descente de la Lune dans le ciel d'un tropique à l'autre, hormis la modulation nodale
- 28°) = 4 + (3x2³) Ou quand un cycle purement lunaire correspond si bizarrement à une ceinture d'astéroïde par Titius-Bode

Nouvelle disposition désormais héliocentrique admise au XVIII° siècle, estimation par distance au soleil :

- Mercure : 4
- Vénus : 4 + 3 = 7
- Terre : 4 + (3x21) = 4 + 6 = 10 (ensemble Terre & Lune)
- Mars : 4 + (3x2²) = 4 + 12 = 16
- Astéroïdes : 4 + (3x2³) = 4 + (3x8) = 28
- Jupiter : 4 + (3x24) = 4 + (3x16) = 4 + 48 = 52
- Saturne : 4 + (3x25) = 4 + (3x32) = 4 + 96 = 100

Image en bas à droite : 28 bandes sous la ceinture dont une (la première à gauche) plus grande d'1/3 pour allusion à février (3x28 & 1x29).

Et 28 = 4 x 7, comme 4 + 7 = 11 d'intercalation, même disposition des jours sur un calendrier.

28° c'est également l'écart maximal entre le Soleil et Mercure sur le cercle zodiacal.

C'est aussi que 28 + 11 = 39 (dont 3² = 9, comme n'oeuf) et nombre de semaines afférentes à la gestation chez l'humain.

- 29°) Dragon(s) la Saint-Michel

Accordé ON : O 15° lettre et N 14° lettre, Total : 29 !
Ci-dessous le cas du T du K en inversé, toujours avec sa barre horizontale en 3x8 et sa barre verticale en 2x5, ce sont des chiffres de la séquence de Fibonacci.

29 c'est la somme de 25 + 4, soit 5² + 2² (façon isiaque), le Lion étant au carré (90°) du Taureau.
Et 2 + 9 = 11, autant que 2 x 9 = 18, la Lune au tarot.
Mais c'est aussi que 29 peut se dessiner en 29 (2 puissance n'œuf) = 512, déjà aperçu au §25.
Rappel : 23=8, 26=64, 29=512, pour la "série" lunaire 369.
- Intermède synodique à 29,5

Une "lunaison" du calendrier = 29,5 jours (en moyenne : 29 jours 12 heures 44 minutes et 2,8 secondes), il s'agit-là d'un luni-solaire (entre deux Nouvelles Lunes), éclairage par le soleil.

La Lune tourne autour de la Terre en un peu plus de 27 jours (27 j 7 h 43 min 11,5 s), mais pendant cette révolution, la Terre avance d'environ 1/12e de tour sur son orbite autour du Soleil. Or comme la révolution de la Terre et de la Lune sont dans le même sens, cela se traduit par le fait que pour revenir à une même phase, la Lune doit faire sa révolution (27 j, et donc même position relativement à la Terre) plus 2 jours. Ce qui en fait 29 (29 j 12 h 44 min 2,8 s, et donc même position relativement à l'axe Terre-Soleil).

La durée de lunaison indiquée ci-dessus est une moyenne. La durée des lunaisons varie en effet au cours d'une année (de l'ordre de ±6 h) et même d'une année à l'autre.
- 30°) TRENTE = TENTER TENET + èRe
- 32°) 25 avec Taureau et Lion sur 52 semaines (sème aine ?)
- 33°) Constante du carré Subirachs : TRENTE-TROIS sur les dix lignes, mais...

A gauche : le meilleur moyen d'obtenir 33 par 3 et 3 en symétrie serait-il de fendre un 8 de haut en bas ? Ce qui produit aussi 313.

A droite, sont restés en place (du carré naturel) : 1,4,10,13, total 28. Ont disparu 12 et 16 (total 28) & en double 14 et 10, total 24 (=3x8).

En haut 6 chiffres : 3x1 et 3x4, en bas 2-3 (comme LN) au centre d'une somme 13+15 = 28. Ne jamais oublier que 2+8 = X romain.
Au-dessus du 15 : une constante 3 de Kaprekar (495), et une somme verticale des chiffres à 24, comme la deuxième ligne horizontale. Noter que les chiffres de la constante 4 de Kaprekar (6174) se situent en haut à entourer les deux 14. Hormis les deux lignes citées pour 24 (et qui ont en commun le 9), les autres ont toutes pour total en chiffres (et non en numéros) : 15, en référence à la constante de Saturne. 2,4,1,5, comme une somme de 12 mais à éviter le 3. Sans doute ne faut-il donc jamais oublier que 24 + 15 = 39, autant que 6 = 2/3 de 9.
Les deux verticales centrales contiennent, en haut le nombre de la case centrale de la Lune (14+14+7+6= 41), et en bas le nombre de la case centrale de Vénus (10+10+2+3 =25). Enfin, les 6 et 9 forment une invitation "équatoriale" au dessin du K à 1,5 vs 2,5 dans la proportion 3 vs 5.
Bonus option 11 : à supposer que 1 et 1 font 2, la première colonne verticale passe (aussi) à 24.
- FIN des §
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