17 Janvier - LN 2-3

Hélène 2-3 et l’Aude hissée du LyS, exposant 2 pour les carrés et 3 pour les cubes, avec Gerbert d’Aurillac et Wilielmus de Saint-Genis pour qui veut bien convenir d'un bon sens médiéval :

2 exposant 3 (cube)+ 3 exposant 2 (carré) = 8 + 9 = 17
3 exposant 2 – 2 exposant 3 = 9 – 8 = 1

Par les carrés : (9 x 9) – (8 x 8) = 81 – 64 = 17, avec 81 carré de la Lune, 64 carré de Mercure et 17 l’étoile au Tarot
JANVIER permet des articulations entre les 3 lettres N et VI (formant au hasard VIN ?), avec surtout une certaine ambiguïté avec les chiffres romains (IV, VI, incluant le graalesque V en forme de l'aiNe).

Outre le fait que 17 est au centre d'une des constantes de Kaprekar et bordé par 6 et 4 de 64 = 8 au carré, l'autre étant de type isiaque avec le carré de 3 (=9).

17 N’ombre compris entre 16 et 18 = 1,6,1,8 chiffres du nombre d’or, et 1681 = 41 x 41, et 41 est la case centrale du carré de la Lune.

23 au carré = 529, noter 52 & 9, et surtout l’écart avec 512 = 8 au cube, 529 – 512 = 17
512 où l’on retrouve 5 & 2 séparés par un 1, tout comme manque 1 jour à 52 semaines (consonance sème aiNe), pour passer au gui l’an 9. Et 52 est le symétrique réversible de 25, lui-même carré de 5 (ou 5 exposant 2) :

25 cases au carré de Mars et au palindrome SATOR...et 25 est la case centrale du carré de Vénus.

2 & 5 : 2-ième signe le Taureau, 5-ième signe le Lion, les seuls du bestiaire zodiacal actuel à avoir survécu à ceux des travaux d’Héraclès-Hercule (de Crète et de Némée).

Entre Taureau et Lion 2 signes (Gémeaux, Cancer) mais 3 personnages : Castor, Pollux et un Crabe = 2 et 3
Taureau : 2 cornes, une de chaque côté de l’écliptique (constellation) et Lion avec Régulus, l’étoile de référence à l’écliptique, encore 2 et 3 (comme 2 tropiques + l’équateur ou 2 boules blanches et 1 rouge au Billard français).

Et 2 puissance 5 = 32, symétrique réversible de 23 : Hélène 2-3
25 symétrique réversible de 52 (semaines), lien entre Hélène, Hélios et l’analemme solaire.
Rayon de Soleil, Rose ligne et 17 JaNVIer donc en rapport avec LN 2-3 et sème aiNe…
Pâmes bleues de mett(r)e « i » l’aine, et arcane 1 au tarot : le bas te leurre (accueillant un rayon de soleil).

Au tarot : 2 la papesse et 3 l'impératice (l'impair à tri-ce), deux figures féminines qui se suivent, liés comme un indice 2 & 3, et l'aspect isiaque de la diagonale descendante du carré de Saturne 4,5,6 en 4,5,3x2, dont numéros d'ordre 4 à Jupiter, 5 à Mars et 3 à Saturne, carré de Saturne amputé de sa première colonne à la tribune jubé du Prieuré de Serrabona, et pour cause (6 cases au lieu de 9).

Toute cette numérologie antique et médiévale permettait des amalgames, des opportunismes suggestifs, des interférences, des conjectures, des codes solaires ecclésiastico-dynastiques de l’occident, ceci avant le siècle des lumières qui les a remis en cause sans vraiment les effacer.
Tout ce dont on se saurait se priver parce qu'on en retrouve de nombreuses traces structurelles dans notre psyché collective autant que dans tous les arts, qui l'expriment.

La triade numérologie + astrologie + tarologie est d’abord une structure ancestrale fonda-mentale, et encore plus dans la sixième pointe de l’hexagone, celle la plus au sud (11 et 66), avec ses non-dits et ses secrets ancestraux…