yves-66-astro: 3 à 9 carrément astro, comme 39 sème aine(s) ?

65 - 26 = 39,
tous multiples de 13
comme 5 - 2 = 3

Sable héraldique
(Emaux)
noir / carreaux

Tracassant
3,4,5 isiaque,
la conjecture
de base est
aussi servie en
demi-rectangle

Carré, case
centrale et
diagonales
bien notifiées
à Saint Genis

- Carrés astrologiques médiévaux d'ordre 3 à 9 en- sablés d'identités graphiques à rebonds d'hissement et de hennissements D'aiLes en M'ode avec ou sans échec(s) : interférences et conjectures pour d'aucuns opportunismes suggestifs en numérologie, et fam-eux dé-filé de cases rôles, ursines ou pas, en abaque à percuter un septenaire qui dans un MonDe riant ose éclats per-formants dis-parates MaiS sans désastre.

Carré de PégaSe, s'incrit dans miLLe en le V des PoissonS
et sans avoir deux pieds dans le même sabot

Ces notions ne sont pas indispensables en astrologie des prévisions et des caractères, là où un carré ne représente qu'une angularité de 90° dans un thème, du type solstice vs équinoxe.
Mais elles sont très importantes en astrologie des structures dans la mesure où elles gèrent l'inconscient collectif issu d'une longue tradition astro en permettant des représentations schématiques qui peuvent s'interpeller entre elles et de différentes façons.

Ces carrés sont issus d'un ordre établi à partir de la vitesse apparente des astres, perçu depuis la Terre en toute subjectivité géocentrique,
du plus lent : 3 pour Saturne, au plus rapide : 9 pour la Lune, en passant par 4 à Jupiter, 5 à Mars, 6 au Soleil, 7 à Vénus, 8 à Mercure.
Chaque astre possède ainsi son numéro d'ordre identitaire en support à développer en carré, et plus..., (tableau ci-dessous à droite).

Noter le 3,6,9 constitué par l'ensemble Saturne, Soleil, Lune, et multiples de 3. Et 1 & 2 (absents des carrés) seraient réservés aux axes karmiques et tout porte à le croire, ces deux premiers nombres ont aussi des particularités arithmétiques qui peuvent justifier leur exclusion, autant que le fait du septenaire (7 pour un 3 à 9).
Par ailleurs 39 est aussi un nombre particulier (gestation chez l'humain, nb de semaines) apte à justifier ici de l'éventail 3 à 9.

1 carré entouré de 12 triangles
et 4 saisons

Carrés astrologiques ordonnancés ou
Or donnant C (Constante) & récit-pro.
Image cliquable pour plus de netteté.
Bien noter les cases centrales des
carrés d'ordre impair : 5-13-25-41,
soit Saturne, Mars (!), Vénus, Lune.

Ad Lapidem Currebat
Olim Regina
Alcor & Mizar (2° à g.)
dont A & M alchimique ?
(pour SuperPosition)

Ces carrés (dont double formulation : naturelle et ordonnancée) sont apparus officiellement aux XV° et XVI° siècles sous l'appellation pompeuse, voire trompeuse de "carrés magiques", en fait ils étaient connus bien avant par l'oligarchie médiévale et mis en place en Occident par le Pape de l'An Mil (savant de l'époque, mathématicien et astrologue) en adoptant les chiffres indo-arabes avec notamment l'usage du zéro, remplaçant en cela les chiffres romains (basés en fait sur des lettres-bâtons), avec lesquels ils vont pourtant cohabiter et composer, ce qui va décupler les possibilités d'expressions figuratives et ceci pour les plus grandes facultés de codifications des alchimistes.
La connaissance des carrés magiques est attestée depuis 4000 ans.

Image à droite plus haut : Carré de Mars, en représentation de la constellation d'Hercule, avec case centrale et diagonales, Saint-Genis-des-Fontaines (mais pas seulement...).

Case centrale et diagonales, constante, et assignation de genre (ou plus) de carrés, dont fait-mine-un as-trop-logique au centre :

Chaque diagonale d'un même carré indique la Constante de celui-ci, elle est obtenue par somme des cases d'une diagonale. Et chaque diagonale reste en place pour le pas-sage du carré naturel à sa mutation en carré ordonnancé, obtenu ici et là par symétrie centrale et par compléments à x² + 1 (ou double de la case centrale si elle existe, et précisément à l'intersection des deux diagonales).

Case tort
et Pôle luxe ?
Isis et Osiris ?
En prolongement de
la diagonale d'Orion

Vénus, identité remarquable
(3+4)², 9+16=25 et 2x12=24

La notion de carré (et sa forme impér-is-sable) devient l'arbitre des élégances en mat-ière de sexuation :

Elle répond à ce questionnement basique : qui de H ou de F a une case en plus ou une case en moins ? (s'agissant d'une case centrale)

En effet on notera l'absence de case centrale pour les carrés d'ordre pair (consonnance père, masculin), les cases centrales ne concernent que les carrés d'ordre impair (fait mine un, féminin), une véritable sexuation des cases rôles suivant un encours médiéval toujours très imagé mais où s'insère une certaine logique, suggestive et non dénuée de bon sens (Siège Périlleux de la légende Arthurienne). Cependant qu'il existe des objections de genre sur la parité (Mars, image ci-dessous à droite) et même plus pointu (Mercure, image ci-dessous à gauche), donc pour les deux planètes en M (comme dans Mardi et Mercredi), et par subtile extention en + 1 aux multiples de 13 (2 x 13 = 26 = 25 + 1 et 5 x 13 = 65 = 64 + 1), un narratif à suivre moins hâtivement sur d'autres pages de ce blog.

Noter aussi que tout carré d'ordre pair ou impair s'ouvre sur une identité remarquable de type (a+b)² contenant des nombres entiers, ceci avec plus ou moins de "succès" pour les accessits apparaissant.
Tout carré (et surtout ceux d'ordre 3 à 9) est donc en effet potentiellement composé de 2 carrés et 2 rectangles (ceci valant algorithme), dont mesures à intégrer pour info : les diagonales des différentes figures.

Nombre de constellations possèdent une forme de type carrée (Pégase, Hercule, Cocher, Vierge, Grande Ourse, Petite Ourse), quant à la Lyre c'est plutôt un parallélogramme (voir plus bas, et archives en bas de page).

Tra-Kassants 63,64,65 = 666 & 3,4,5 comme cub-èrent 3³ + 4³ + 5³ = 6³, & (3 x 4) x 0,5 = 6
2° Taureau, 5° Lion, et 2x5= X tout comme 3x8=24 (déjà avec 4x6), par Jupiter (3 & 4) !
Mars : 24,25,26, soit 222 double de 111 (C.Soleil) & 4,5,6 diag. desc. du carré de Saturne

Vénus en Stand-By, et Mars :
5, 13 (4+9), 25 en commun =
Bé (8) liés par Mercure
(enceinte de 3-S à 5-M avec 8,
voir p. diagonales, escarboucle)

Ci-dessus : 65 + 26 = 91, + X = 101 pur (image à gauche), quand Mars aye aise à Mercure par 2 x M tête-bêche, nom de code WiLieLMus (Man vs Woman), 88 mercuriel - 65 martien = 23 graalesque, 65 Martien + 16 Jupitérien = 81 lunaire, AnaleMMe : Albae sunt iam (5 ou 2+3,4,3) ad Mes-seM (2x3), 88 = 57 + 31 en pointillé, 56 + 32 aussi mais 1,3,5,7 est suite impaire apte à évoquer 6 & 8.

Petite et grande cases rôles ursines
et étoile polaire actuelle (5 + 1 = 6)

Monde riant de lui(t)-même, qui
Piètre-ment ou paradoxalement
Fit bonne assise aux carrés ?

Carré de Vénus 7x7,
1 case + 8 isiaques,
façon constellation
d'Hercule et svastika,
objection du N'œuf.

Les deux branches
du bas devenant
ce duo unitaire :
2 & 5 pour 25

Ces carrés existent en fait depuis la plus haute antiquité mais sans qu'il soit possible de leur accorder cette actuelle numérotation chiffrée de leurs cases, du moins avant Gerbert d'Aurillac, cependant : une objection avec l'Enchiridion. Si un thème de naissance consiste à mettre une indivi-dualité en une sorte d'équation, ici ce sont les carrés astrologiques qui peuvent mettre en scène comportements collectifs et archétypes (Exemple : case centrale 25 de Vénus et les 25 cases de Mars, du type contenant-contenu, d'autant que 2 x 5 = X (romain, et diagonales) et que 2 + 5 = 7 (septenaire et pléiades), et avec X + 7 = 17, l'étoile au tarot, 5 & 2 la "prestatura" Lion-Taureau (5° et 2° signes), 52 semaines - sème aine, voir page 2 & 5).

Image plus haut à gauche : l'étoile polaire actuelle, déterminée ici avec les ourses, d'un pas très lent : 1° d'arc pour 72 ans (ayanamsa).
Vidéo sur les ourses (G-O, P-O) en lien : 🎬 (mythologie).

Voir aussi les pages : - Graalesque carré ascèse, - Page LN 2-3, - Page Diagonales - Page Rênes-LeXaTo (liens)

Si de fait tous les carrés au naturel, d'ordre pair ou impair, disposent de diagonales entières toujours "pré-faites du nombre de leur constante", seuls les carrés à case centrale (donc d'ordre impair) peuvent revendiquer cette même constante initialement aussi en croix grecque. Le carré d'ordre impair évoque alors le plus (+) et le par (x) et donc un octogone, lequel renvoie au 8 (le + & le x ou "prae-cum"), mais également à un neuf en tenant compte du centre (toujours ce tandeM 2³ & 3²). A ce titre le carré de Saturne (image ci-dessous plus bas) offre une lisibilité assez directe du principe d'octogone qu'offrent également ses acolytes d'ordre impair.

CALZoNe ?
N & Z superposés
forment carré
et diagonales

Ci-dessous au centre dans le carré de base saturnien de 3 x 3 (sans la pieuvre par 9 ?) : diagonale montante et ses carrés 8²+5²+2² = 93, symétrique réversible de 39,
et diagonale descendante, même topo au carré 4²+5²+6²=77, à lyre à partir de l'isiaque 3,4,5 modulo 1, noter à propos pour ce dernier 3²+4²+5²=50, soit L en chiffre romain (sachant que 3³+4³+5³=6³). Outre que 93 + 77 = 170, soit X fois l'étoiLe au tarot (XVII).

17 + 39 = 56 (symétrique réversible de 65, diff. 11) et 39 - 17 = 22 (le mat au tarot)
Champ du Roi 3x3 (carré de Saturne) & champ de la Dame 8x8 (carré de Mercure)

Carré, as de carreau (losange ?)
et quadrature du cercle

Carré, case centrale et diagonales
à Saint-Genis (image à droite)

- Carrément le syndrome de Stendhal, d'ordre astrologique, à Saint-Genis avec l'actualisation vers l'An Mil, du curseur de précession tropique (induisant de grandes mutations en références astro), effectuée à l'occasion d'une éclipse de Lune de sang en équatorial à 3 jours des ides de Mars (*)
de l'An 1020 du calendrier Julien.

Sagittarius - Serpentarius, échassier rapace, mangeur de serpents

Curseur de précession : étapes successives sur
plus de 3.000 ans dont les 1.000 ans intermédiaires
par shuntage de l'Aigle au-dessus du cercle zodiacal.

3 jours s'ingénient post éclipse,
façon Jonas et là-bas l'aiNe

- Quand Wilielmus à Saint-Genis affiche un carré tenu de la main gauche par le pistoléro central ayant son 2-3 MAg-num à main droite sous une voûte zodiacale outrepassée aviaire de Mars à Jupiter qui défont aiNe à lyre au linteau en triangle d'été : l'Aigle s'en est allé, et avec le Cygne déjà parti, une grande mise à jour est donc nécessaire avec l'intronisation du Sagittaire (le signe) mais aussi du SerPentaire au-dessus du Scorpion, ce dernier remplacera l'Aigle (devenu obsolète), ceci dans l'esprit du tétramorphe et signes fixes des saisons.

Image à droite (Abbaye d'Arles sur Tech) : tétramorphe et mandorle, avec anticipation de l'ère du Verseau en vernal.
Le curseur de précession est sub-ordonné à l'écart maximal entre l'équateur céleste et l'écliptique.
(Actuellement le trait vertical jaune du schéma ci-dessus à droite sur voûte céleste)

Faire la relation entre Saint-Genis et Sagittaire ? Ci-dessous le linteau avec les numéros d'ordre des carrés astraux :

Par les numéros d'ordre 3 à 9, rajouts karmiques de 1 & 2
Triangle d'été par les trois au centre (Cygne, Lyre, Aigle), dont
L'aLternative 64 vs 65 (16x4 vs 13x5), 4 Jupiter, 5 Mars,
sous l'oeil de Mercure juste à gauche. Noter 4,5,6 au centre, diag. desc. Saturne (entre autres).

La diagonale du "carré" à gauche ci-dessus (37,(41),45) renvoie à « l’Enchiridion » du pape Léon III opuscule rédigé vers 795, donc à l'époque de Charlemagne dans lequel figure un carré magique de type Lune à Constante 369.

C'est que Wilielmus à Saint-Genis fut le génial opportuniste d'une éclipse retranscrite sur la façade en arc outrepassé à Saint-Genis, un zodiaque ici de Mars à Jupiter, car il arrive que les trois cycles soient conjugués (Anomalistique, Sidéral, Draconitique lunaires) ici précisément en vernal sur l'équateur où le soleil s'invite pour le "quatrième" (Synodique) à provoquer une éclipse de Lune de Sang :

Janus en forme de losange pour s'avoir l(y)re auX poinTés d'un après l'An 1020 et d'un avant d'apprêT sans âpreTé...
Le samedi 12 Mars 1020 du calendrier Julien vers 8 heures du matin : éclipse totale de Lune (de sang) trois jours avant les ides de Mars le mardi suivant. Carte de l'éclipse ci-dessous.

Carte de l'éclipse, 3 jours après, le Mardi 15 Mars, la Lune était en milieu du Scorpion pour l'introniser à la place de l'Aigle.

L'Apocalypse de Saint Jean dans la Bible : dans le chapitre 6, il y décrit "un grand tremblement de terre, et le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière parut comme du sang, et les étoiles tombèrent vers la terre".

Les trois cycles conjugués en équatorial (équinoxes ou si proche), où s'en mêle un quatrième de Pleine Lune (par le Soleil).

Sur le linteau seront reprises ces données alchimiques émanant de particularités astrologiques, ainsi que sur la façade entière de Saint-Genis.
C'est ainsi que Wilielmus écrit son nom à l'envers sur le linteau, en évoquant à la foi(s) les sept astres du septenaire, les deux axes lunaires, et ainsi les 9 critères principaux d'un thème natal :

Le linteau relève à la fois de l'écliPSe de Lune du Samedi 12 Mars 1020 du calendrier julien (vers 8h du matin),
mais également de l'équinoxe de printemps aux ides de Mars le Mardi 15 Mars 1020 par le bas de son centre.
Bien remarquer ci-dessus comme les E & I rapprochés à se fermer d'écart peuvent constituer un 8 (mercuriel).
Pour autant E & I inversés composent 1 & 3, ou 13 (tel un B d'enluminure, lettre proche du chiffre 8 - Scorpion)

- Ci-dessus : quand Wilielmus hUMe l'incartade d'une inversion Vénus-Mercure pour un 3-7-8 à gauche (total XVIII) et surtout pour placer les lettres de son nom dans l'ordre (ceci relativement au thème). Ce qui permet en outre d'obtenir une première syllabe déclarative avec les lettres dans le bon ordre : SUM. Noter les L (aiLes) aviaires.