Algorithmes

Quand les chemins de traverse permettent la visite touristiquement dé-taillée d'un problème


Un algorithme est une méthode générale pour résoudre un type de problèmes. Il est la description d'une suite d'étapes permettant d'obtenir un résultat à partir d'éléments fournis en entrée et pouvant provoquer des externalités éloquentes en cours de développement du sujet. Il est dit correct lorsque, pour chaque instance du problème, il se termine en produisant la bonne sortie, c'est-à-dire qu'il résout le problème posé, mais en l'occurrence accompagné de son contexte explicite faisant ressortir et valoriser certains éléments.

Le Robert : Ensemble des règles opératoires propres à un calcul ; suite de règles formelles.

Inclus et non mis en valeur : 4 x 7 (= 28),
mais insinué, et c'est aussi que 4 + 7 = 11
(outre que 2+3+4 = 9, n'œuf, mais
outre aussi que 12+21+32= 65)
12 et 21, !? et ?!
10 + 1² = 11 (= 8 + 3)
Exemple à gauche : Pour faire ressortir certains numéros, et ici avec des couleurs pour plus de lisibilité, qui autrement ne seraient pas visibles car noyés respectivement dans de simples produits : 6x2 = 12, 7X3 = 21, 8x4 = 32, ainsi dans l'image de gauche apparaissent 6 & 5 pour 65, 2 & 3 pour LN et les bâtons, 12 et 21 (cf.image de droite) qui autrement s'en trouveraient zappés. Les différentes couleurs attribuées aux numéros permettent d'insinuer des alliances entre eux, en renforçant l'aspect des nuances exprimées.

Autre exemple : une équipe de football se compose de 11 joueurs sur le terrain, mais un algorithme simple permet d'expliciter celle-ci : 10 + 1², ce dernier nombre désignant évidemment le goal, qui plus est affublé d'un carré pour évoquer le cadre du but composé de ce qui est bien un 8² = 8 pieds (h) x 8 yards (l), donnant un fine un rectangle de proportion 3 x 1, lequel rappelle le nombre 13.

A droite : l'alternative (1) entre deux possiblités (2) = 12, Le Pendu à un résultat incertain. Symétrique réversible 21, Le Monde : des 2 possibilités est sorti 1 certain résultat.
Autrement dit : !? = affirmation et interrogation et ?! = interrogation suivie d'affirmation.

Une année peut aussi être traduite par un algorithme :
29,5 (lunaison synodique du calendrier) x 12 = 354 (isiaque), + 11 (lyrique) = 365.
- Algues au rythme de l'ère des PoissonS, Fibonacci donne le t(H)on :

Image de gauche obtenue en fonction de l'image de droite, et à y additionner ce qui peut être arrangeant à faire ressortir comme éléments :
Dont 64 identité remarquable (3 + 5)²
(ou un des algorithmes de l'échiquier)
5² + 8² = 25 + 64 = 89, et 8 & 9 = 2³ + 3²,
5 + 8 = 13, sur MêMe schéma que 6 et 9
6 et 9 cacheraient un 8 ?

15 = Somme de 6 et 9 cases indiquées par le schéma de droite, avec référence au sigle du Tao, et accessoirement constante du carré de Saturne d'ordre 3, ou diable XV au tarot

25 = Nombre de cases du carré de Mars d'ordre 5

64 = Nombre de cases du carré de Mercure d'ordre 8

104 = 1 & 4 de quintessence avec un œuf (le zéro) au milieu ?

Accessoirement : diagonale du rectangle de 15 cases en 3 x 5 = √ 34 (par 3²=9 (Saturne) et 5²=25 (Mars) pour 34 d'hypoténuse), et 34 est la constante du carré de Jupiter d'ordre 4 en même temps que 3 & 4 sont deux des côtés isiaques pour un 5 en troisième.

104 = 39 + 65 = 15 + 89 (dont 8 & 9) = (1x9) + (3x15) + (2x25) ou 50 (dont L romain) = 81 + 23 (dont 2 & 3)

41 (de 1 & 4 dans 104) étant la case centrale du carré de la Lune et 81 le nombre de cases de celui-ci...
Parfois de 5 (V) il faut enlever 2 pour obtenir 3
Parfois d'une dualité sort une troisième voie


- à suivre...



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Accueil, recadrement de l'astrologie à la réalité des fonda-mentaux phénoménologiques du contexte ancestral :

" S tructuralisme pragmatique en représentation des P hénoménologies initiales perçues" est l'expression clé de vo...