où figurent bien 12 signes extérieurs +
un 13° suggéré plus petit au centre ?
tête-bêche,
(11 = 6 + 5)
du cycle sidéral lunaire et
du cycle sidéral "solaire"
C'est la lunaison du calendier (NL, PQ, PL, DQ, NL), celle synodique acquise à partir des cycles 1°) lunaire sidéral et 2°) solaire sidéral (écliptique) de 29,5 jours (calcul ci-dessous à droite) sur fond de constellations qui a induit la notion de s'igne-s et pour eux de douzaine, notation numérique des lunaisons complètes.
On aura remarqué ici le "y" de synodique pour les 2 "i" conjugués (S & L) de sidéraux.
C'est que dans une année de 365 jours peuvent se caler 12 lunaisons complètes (29,5 j x 12 = 354 j.), ce qui permet de standardiser 12 signes, et il restera alors 11 jours qui ne peuvent former cette lunaison à laquelle est liée la notion de signe (365-354 = 11 ≠ 29,5). Ce 11 permet d'ailleurs d'introduire un nombre clé : 65, comme étant la somme de ces deux chiffres (11 = 6 + 5), voir page diagonales.
C'est l'effet de l'éclairage de la Lune par le Soleil sur une plage de 13 signes dont deux fois le même...au début et à la fin de la lunaison synodique, celui-là même que le soleil parcourt en même temps, ce qui fait 14 en 11 + 3 fois le même (1 par S et 2 par L).
La lunaison du calendrier fonctionne d'une façon similaire à deux aiguilles d'une pendule (avec la grande aiguille pour la Lune et la petite pour le Soleil) par exemple superposées sur le 12 (comme pour indiquer 12h00) puis en fin de lunaison avec une superposition des deux aiguilles sur le 1 (comme pour indiquer 13h05), les signes ont chacun alors valeur figurative de 5 minutes sur le cadran. La grande aiguille a bien parcouru 13 x 5 mn (13 signes) et la petite aiguille une seule fois 5 mn (1 seul signe pour le soleil).
Les lunaisons synodiques forment le véritable fondement de la notion de signes (12) et de mois (12), même s'ils sont en décalage de date (voir la réforme grégorienne en 1582). Le mois est donc une phase luni-solaire et il est de même consonnance que le Moi (issu initialement d'une fécondation - union du masculin & du féminin, tel Soleil & Lune).
Les 365 jours annuels peuvent en effet recevoir que 12 lunaisons synodiques complètes (12 x 29,5 = 354), reste alors 11 jours. Que faire alors de ces 11 jours qui ne constituent pas une lunaison de 29,5 jours ? Un treizième signe ? Pas tout à fait...
De ce ONZE il en sera à nouveau question plus loin dans la page.
On aura noté au passage la proximité de la valeur 29,5 jours avec celle de 30°, pour autant 30° x 12 = 360° et non 365 (j).
tel le sigle du Tao en B et N
(et radicaux des carrés astraux,
numéros d'ordre des astres
dans le septenaire)
Le 28 (même situation ci-dessus, à droite, en vert) présente de nombreux avantages :
- Celui d'être divisible par 4 (4x7=28), exprimant un nombre entier de semaines.
- Celui d'être lié à 52 par le nombre 13 (4x13=52), relatant le nombre entier de semaines en une année.
- Le nombre de semaines laisse apparaître le nombre de jours : 52x7=364, chiffré alchimiquement 3-64 (dont 3 saisons sur 4 en échiquier, voir archives en bas de page) et 3-64 + 1 dont 64 + 1 = 65 (et 6 + 5 = 11), voir page diagonales.
- Le 28 marque aussi une fin de mois en Février sur 3 ans consécutifs (29 d'année bissextile une fois sur 4). Noter le calembour : Février = Fait vriller.
- Le 28 est aussi (accessoirement) √789 (sans les décimales), et il existe une comptine avec ce nombre. C'est aussi que la somme de 8 & 2 donne le X romain insinuant les diagonales, et que 82 est le double de 41, case centrale du carré de la Lune.
MAIS ce 28 dévolu au lunaire qui pourtant si pratique et pragmatique n'est pas tout à fait exact, le cycle lunaire sidéral étant de 27,322 jours (27,321661 exactement).
Ce qui ramène la véracité des 13 cycles lunaires sidéraux à 27,321661 x 13 = 355,1816 jours, écart 10 ou 11 avec 365 et 366 bisextile, c'est proche de 354 (avec les 360° du cercle en médian ?). Pour les cycles sidéraux : 29,530589 x 12 = 354,36706. On accusera alors une légère différence entre 12 x 13 sidéral et 13 x 12 synodique. Voir le tableau des cycles lunaires plus bas dans la page.
La nuance est donc presque aussi proche de 27 qui peut se décliner en 3x9 (neuvaines), cependant que le 28 fait référence aux septaines (4x7), suivant le modèle antique du septenaire (2 astres et 5 planètes qui ont donné leurs noms aux jours de la semaine, image plus haut à gauche avec en plus ici la numérotation des astres en corrélation avec leurs carrés respectifs avec numéros d'ordre par indice de "rapidité").
Noter qu'entre le 9 de 3x9 et le 7 de 4x7 se situe le 8, et qu'accessoirement après 3 et 4, c'est 5 (isiaque et V romain et graalesque ?).
- Une pendule est prévue fondamentalement pour marquer les heures, avec comme point d'orgue la grande aiguille sur le 12 et la petite aiguille sur le numéro de l'heure à considérer, donc des aiguilles bien décalées mais exactement sur le numéros à marquer.
- Le zodiaque est prévu pour marquer 12 signes, soit 12 lunaisons synodiques (du calendrier) en similitude de deux aiguilles superposées d'une pendule comme pour de 12 à 12 + 1 = 13 heures en parcourant 13 intervalles de nombres, dont deux fois le même.
- Chaque tour de 13 intervalles correspond théoriquement à un signe, théoriquement seulement, voir plus loin écriture en mauve (le décalage).
- Ainsi on peut dire ça comme ça : 1°) la pendule vise directement les nombres pour exprimer l'heure (sans avoir à considérer la conjonction des deux aiguilles) et 2°) le zodiaque les intervalles pour exprimer les signes (entre les conjonctions soleil & lune).
Le cycle synodique Lunaire fait intervenir les cycles sidéraux de la Lune et du Soleil, il est d'une durée de 29,5 jours (lunaison du calendrier, au justificatif du calcul sur image plus haut à droite).
Si les rendez-vous des deux aiguilles d'une pendule avaient lieu ensemble exactement sur les numéros et non avec un décalé :
la phénoménologie des Nouvelles Lunes se dévoilerait avec cette superposition des deux aiguilles, exprimant au mieux le cycle lunaire sYnodique (Eclairage de la Lune par le Soleil, et idée de fécondation sous-jacente) d'entre deux chiffres par similitude aux lunaisons indiquées par le calendrier, à pouvoir décliner les 12 cycles synodiques NL-PQ-PL-DQ-NL en arabesques autour du cercle zodiacal.
avec les 12 signes autour des 7 astres plus au centre.
Année synodique lunaire de 29,5 x 12 = 354 jours,
Bélier ici en haut à droite, et sens horaire.
Cependant, admettre 12 lunaisons calendaires complètes ne fait pas une année solaire complète. En effet une lunaison synodique dure 29,5 jours, qui X 12 = 354 jours. (Et on aura noté dans ce nombre les 3 chiffres (3,4,5) de l'isiaque pythagoricien certes en désordre).
- Nombre réel avec les décimales : 12 x 29,530589 = 354,36706.
tête-bêche
Image à droite : parallélogramme établi à partir du 11 (somme de 6 et 5) dont les diagonales sont inégales.
C'est là que commence réellement l'histoire du 13° signe, du moins à l'occidentale :
- Pour le Signe : il ne peut appartenir au zodiaque vu sa faible amplitude théorique (11° nettement inférieur à 30°).
- Pour les 11 degrés-jours : ils seront distribués aux autres signes pour arriver à 365, soit 360° du cercle sans les 5 jours épagomènes.
- Et pragmatiquement, pour une société agraire et donc plus solaire tropique (référen-tiel saisonnier) que lunaire, même synodique :
- Les 11 jours seront donc dispatchés parmi chacun des 12 mois(*) synodiques lunaires de 29,5 jours pour arriver à des mois de 30 ou 31 jours de la façon que nous connaissons : Janv 31, Fév 28 (3/4) ou 29 (1/4), Mars 31, Avril 30, Mai 31, Juin 30, Juil 31, Août 31, Sept 30, Oct 31, Nov 30, Déc 31, total 365 (option 366), pour 360° zodiacal, soit 30° d'arc x 12. Ceci constituant une base dodécadaire civilisationnelle, même si les signes du zodiaque débutent vers le 21 de chaque mois en fonction de l'histoire du calendrier et de la symbolique associée.
(*) Noter de consonnance la notion de Mois (Soleil + Lune ensemble 29,53) et de Moi (Masculin et Féminin ensemble, gamètes).
échassier-rapace
Sagittarius-Serpentarius
- Le 13° Signe (aux 11 jours théoriques devenus virtuels) ne sera pas zodiacal d'écliptique, mais sera situé à l'intérieur du cercle zodiacal, au plus près de l'écliptique, il portera le nom d'un échassier-rapace en relation avec le serpent : le Serpentaire (ou mangeur de serpent, SerPentaire : 11 lettres), Sagittarius-Serpentarius, est situé au-dessus du Scorpion avec une "porte d'entrée" entre Scorpion et Sagittaire, il est composé des deux constellations qui s'y trouvent déjà : Ophiuchus et Serpens dont initiales O & S (tel le sigle du Tao, image à droite).
Il figure le "ventre" du zodiaque au-dessus du Scorpion avec ses constellations globalement déclinées au-dessus des 7°,8°,9° constellations du zodiaque d'écliptique (à l'idée graalesque).
Rappel : 28 est aussi (accessoirement) √789 (sans les décimales).
Le tabou sexuel et la façon de l'ériger en dogme est le ferment de toute civilisation puisque concernant directement la pérennité d'une société.
Ainsi le 13° signe astro ne figure pas parmi ceux du zodiaque mais se situe au-dessus du signe du scorpion, au plus près des impérissables proches des circumpolaires.
Callisto et Arcas forment ensemble une valeur d'éternité comme d'éther nuitée dans le panthéon humain du challenge 13 VS 26.000 en capacité des variations saisonnières et Régulières du Lion métaphorisées par le Sphinx face à la ceinture d'Orion...
blanc comme le Cygne et noir comme l'Aigle
Rappels : 1°) grande aiguille = Lune 2°) petite aiguille = Soleil 3°) dans une pendule le cercle fait 360° pour 12 x 5 = 60 minutes, chaque période de 5 minutes est donc assimilable à un signe. 4°) mais comparativement pour le zodiaque ce 360° est très théorique pour 360 jours (+ 5 épagomènes), pragmatiquement c'est en fait 354 ou 355 ou 365 jours. - Nouvelles Lunes successives à (cycle synodique) 29,530589 jours (x 12 = 354,36706)
A suivre...
-1 cycle solaire et 3 lunaires (DIA) La réductibilité aux perceptions phénoménologiques permet d'initialiser un binaire astral élargi à une dualité greffée d'assimilations, création-isthme en synergie d'auto-suffisance à la pérennité humaine : Soleil-Jour-Singulier-Masculin VS Lune-Nuit-Pluriel-Féminin. Cette relation d'opposition différentielle incluant plusieurs rapports en jeu groupés par pertinences dualistes est devenue LE schéma culturel sociétal et cultuel isiaque fonda-mental, en approche de la vesica piscis dans une perspective autant symétrique (Rebis, Tao) qu'asymétrique (1 vs 2 DO-mino - omni-DIA, et 1 vs 3 en Scorpion - quant à relater de 1-3 O-R les cycles respectifs des deux astres).
C'est ainsi que la perception phénoménologique en règle générale peut être initiatrice de standards fonda-mentaux à l'esprit humain...
-Vendredi 13
(Vénus) -Yin et Yang 1 et 3
-1 rouge et 3 couleurs V ou 1 V secondaire et 3 G
-Scorpion 1 et 3 ou 1 et intervalles de 4
-Cycle féminin (jours à voir plus loin), mais 28 et avantage (7x4)
Pendule et zodiaque : - heure grande aiguille sur 12 à chaque fois.
résultat 11 cause décalage
- ou deux aiguilles en conjonction : 13 signes dont deux fois le même, décalage ou non.
- deux aiguilles : synodique, idée de fécondation
- Notion de Mois et Moi (Soleil-Lune, M & F)
- si pas de décalage sur pendule : impeccable, 12 arabesques Mais 29,5 x 12 = 345 (façon pythagore isiaque) et pas 365
- place de 11 jours pour 13° signe, incomplet, ils seront dispatché, et serpentaire au-dessus du Scorpion au plus près des impér-is-sables.
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