Chers amis de l'astrologie à vocation alchimique (pléonasme), bienvenue sur ce blog dont le titre ci-dessus est également celui basique de potentielles conférences, cette page accueil faisant office de plan global d'animation pour celles-ci, c'est ainsi que chaque paragraphe à suivre est très concis dans son T'issu de conjectures : 1 titre,
1 texte, imagés pour une lecture ornementale façon Montessori. Y est
parfois signalée en lien une page de développement sur le sujet abordé, incluant certaiNes séqueNces hors-sol.
Indice perso de crédibilité et d'intérêt sur le sujet : Prévisions 24% - Caractères 51% -
et surtout Structures 75% (total 150 / 300), avec cette devise qui atteste un retour fonda-mental aux racines de la culture : Aller au fond des sujets ou du moins à leur(re) origine avec une cause fonc-ière-ment éligible au véritable pragmatisme ancestral et d'un réalisme parfoi(s) bien plus fant-astique dans l'essen-tiel (essence-ciel) que n'ombre de contes imaginaires dans la recherche et la découverte effective, opportuniste de l'ordre initial des choses imposées entre autres par la rythmique des astres avec ses implications présumées et applications au naturel à optimiser ! Quelques images sur ce blog seront issues de lieux alchimiques.
**************************************************** Felix qui potuit rerum cognoscere causas ? ******************************************************
Qui vient se fourvoyer sur ce blog intranquille accepte iPSo fact-Ö de se bousculer les Neurones !
On ne construit pas une pyramide à partir du sommet, et les frasques d'un surréalisme stratosphérique en-gagent d'abord un sous-sol de base.
Ici on abandonne des certitudes contemporaines absolues pour d'implacables cohérences relatives émanant d'un passé ancestral :
(En premier lieu se situer sur les traces de Gerbert d'Aurillac, Pape de l'An Mil après avoir été Le Savant "dégoté" par un comte de Barcelone)
De fait et de faîte l'humanité perçoit les phénomènes célestes depuis la nuit des temps, et en a déduit des repères fonda-mentaux structurant la psyché collective tant en Genre qu'en N'ombre à en paramétrer la voûte étoilée d'une consigne comporte-mentale in-Té-grée (issue de murmurations astro-logiques)
Quand des causes premières évoluent en métaphores, c'est que les perceptions phénoménologiques ordinaires imposées de faîte au bipède humain ont été cernées par lui au point qu'elles en soient devenues factuellement norm-atives à force d'être progressivement assimilées et documentées, prémices de l'intellect par les nécessités :
- 1°) basiques : Soleil luminaire du jour et Lune luminaire de la Nuit, et avec l'approche nord-sud l'idée de tropiques. Prémices du sujet, quelques vidéos d'archéoastronomie à disposition : 🎬 Archéo 1 🎬 Archéo 2 🎬 Archéo 3 .
- 2°) élaborées : Phases de la Lune (dont principalement NL et PL), marche directe ou rétrograde (arrière) des planètes.
- 3°) particulières ou exceptionnelles : Eclipse de Soleil ou de Lune, Super Lune (ou Pleine Lune de Périgée), voire les deux ensemble, au gré des interférences cycliques (voir § 2).
- 4°) intellectuellement traduites et pragmatiquement répertoriées : Cadran solaire analemmatique, schémas arbitraires figuratifs et significatifs constituant constellations dans la voûte céleste, zodiaque (dont numéros d'ordre donnés aux signes), et tous les repères spatiaux (accessoirement mention des comètes), notamment les interactions établies schématiquement entre les constellations, l'ensemble de la voûte céleste devenant un véritable puzzle équipé d'un dialogue ouvert entre les divers composants qui se répondent.
Ces éléments constituent les fondements de l'astrologie avec toute la portée suggestivement symbolique à processus d'identification et autres assimilations possibles à greffer outre les phénomènes eux-mêmes sur cet ordonnateur-ordinateur ancestral que fut la voûte céleste depuis la plus haute antiquité.
A en initialiser ce binaire astral basique greffé d'assimilations de bon sens et dualité créatrice autonome au dessein de l'humanité : Soleil-Jour-Singulier-Masculin VS Lune-Nuit-Pluriel-Féminin, devenu LE schéma culturel sociétal et cultuel isiaque fonda-mental, et ceci dans une relation autant symétrique (Rebis, Tao) qu'asymétrique (1 vs 2 DO(mino - omni-DIA), 1 vs 3 en Scorpion).
Carte de la voûte céleste de l'hémisphère nord (image en haut à droite) et vers le centre les étoiles visibles toute la nuit, circumpolaires, dites impérissables, et les autres plus à l'extérieur dites passantes (plus à l'horizon), ces dernière incluant les constellations du zodiaque relatant l'écliptique solaire. L'ensemble comprenant une bonne cinquantaine de constellations (52 ?), celles de l'hémisphère sud seront désignées avec les grandes découvertes, comme repères indispensables à la navigation.
Ces observations célestes ancestrales vont donner lieu à nombre de questionnements et raisonnements primitifs, avec des premières théories associées, qui vont nécessairement ériger l'astrologie en première discipline intellectuelle de l'humanité. Ceci empiriquement, avec ses conjectures admises et répertoriées avec et par les moyens dont les humains disposaient aux différentes époques successives, voire avec leur(res) différences culturelles.
D'autant que certaines perceptions célestes pouvaient être mises en corrélation avec des événements palpables (sur la matière inerte, sur les végétaux, sur les animaux, sur les humains), à en induire un lien de causalité, voire une signification, déduites initialement d'un graphisme de groupes d'étoiles déclinées en constellations.
La genèse de toute culture serait-elle astrologique ?
"ils" se sont fiés aux astres parce qu'il n'y avait rien d'autre pour essayer de capter le mode de fonctionnement du monde et de s'y adapter :
"Il y a plus de trente mille ans, au paléolithique, les premiers hommes ont cherché à modéliser leur relation au temps. Prévoir les saisons..." (Chantal Jègues-Wolkiewiez, et voir aussi quelques-autres de ses citations).
Ce qui fait qu'un thème astral est issu d'une expérience multimillénaire, variable suivant les civilisations. Le ciel précis de ce soir en cliquant ici.
(Challenge du signe : son anagramme, singe) - 1°) Le concept du géocentrisme est là où la Terre est subjectivement le centre du monde, à empouvoirement astrologique, voire spirituel
Les perceptions phénoménologiques des différents astres étaient perçus de visu comme tournant autour de la Terre, et d'évidence : c'est bien là où l'humain demeure.
L'organisation astrale qui l'entoure et qui s'impose aux êtres sur terre est une mécanique céleste qui apparaît comme une intelligence supérieure absolue semblant relever du divin et d'où doivent découler les structures.
A Stonehenge : 5 trilites disposés en fer à cheval pour "accueillir" les deux luminaires Soleil et Lune (lesquels sont toujours en marche directe) en sublimant le solstice d'été. Stonehenge, cette merveille d'intelligence du néolithique compte aussi un cercle plus grand au sol avec les 56 trous d'Aubrey pour les relations Soleil-Lune (éclipses essentiellement).🎬*** Voir aussi page 2.
Le concept des sphères, célébrant le géocentrisme, atteindra son apogée avec l'élaboration de la sphère armillaire (fin du moyen-âge).
L'Héliocentrisme s'imposera dès la seconde partie du XVII° siècle, surtout avec les sciences et l'observatoire de Paris (voir archive 2 bas de page accueil). Le ressenti terrestre restant cependant de type géocentrique, et le rapport Terre-Lune l'étant par nature, lui.
Challenge du géocentrisme où intercaler le 11 pour une gémellité-différentiation : verticalité, horizontalité (en l'occurence en croix grecque).
- Interlude sur les marées, ce phénomène astrologique le plus palpable quotidiennement et preuve tangible que les astres berçant l'entourage de notre planète Terre ont une influence gravitationnelle sur la matière
L'eau est selon Thalès le principe explicatif de toute chose.
(Bouillante elle devient gazeuse, gelée elle devient solide, alchimie de base des états de la matière ?)
Le Soleil et la Lune sont en action (karma) dans le ciel envers la planète Terre, ensemble ou séparément. En application astro et implication des astres il n'est pas meilleur exemple de mécanique gravitationnelle que le marnage des marées.
Celles-ci s'exercent sur les fluides, mais peuvent également s'exercer sur les solides (tellurisme) en fonction des attractions astrales.
L'impact gravitationnel est plus intense (image à droite) sur le bourrelet équatorial, il est dû à la rotation de la Terre (effet centrifuge façon Chimborazo, voire aussi l'effet Coriolis par les hémisphères).
Les grandes marées se produisent en nouvelle lune ou en pleine lune, et donc d'une façon accentuée aux équinoxes. Peuvent se rajouter dans l'axe Mercure et Vénus, jamais éloignés du Soleil en perception géocentrique (max 28° et 48° d'arc zodiaque, respectivement) surtout en course rétrograde impliquant leur position entre Soleil et Terre.
On aura noté la consonnance commune entre mer et mère, de même entre terre et ter et accessoirement entre air, aire et ère.
D'une Nouvelle Lune à l'autre : 29,5 jours (29 jours 12 heures 44 minutes exactement) c'est le cycle lunaire indiqué sur le calendrier (NL, PQ, PL, DQ), dit synodique puisque nouant la Lune à l'éclairage du Soleil, à la façon des deux aiguilles d'une pendule à chaque fois qu'elles n'en forment plus qu'une en étant superposées.
Image ci-dessous (15 h pile) comparable à un Dernier Quartier de Lune, prochaine Nouvelle Lune marinant vers 15 h15-17, heure précise de superposition des deux aiguilles (la petite pour le Soleil, la grande pour la Lune.
L'eau est selon Thalès le principe explicatif de toute chose.
(Bouillante elle devient gazeuse, gelée elle devient solide, alchimie de base des états de la matière ?)
Le Soleil et la Lune sont en action (karma) dans le ciel envers la planète Terre, ensemble ou séparément. En application astro et implication des astres il n'est pas meilleur exemple de mécanique gravitationnelle que le marnage des marées.
Celles-ci s'exercent sur les fluides, mais peuvent également s'exercer sur les solides (tellurisme) en fonction des attractions astrales.
L'impact gravitationnel est plus intense (image à droite) sur le bourrelet équatorial, il est dû à la rotation de la Terre (effet centrifuge façon Chimborazo, voire aussi l'effet Coriolis par les hémisphères).
Les grandes marées se produisent en nouvelle lune ou en pleine lune, et donc d'une façon accentuée aux équinoxes. Peuvent se rajouter dans l'axe Mercure et Vénus, jamais éloignés du Soleil en perception géocentrique (max 28° et 48° d'arc zodiaque, respectivement) surtout en course rétrograde impliquant leur position entre Soleil et Terre.
On aura noté la consonnance commune entre mer et mère, de même entre terre et ter et accessoirement entre air, aire et ère.
D'une Nouvelle Lune à l'autre : 29,5 jours (29 jours 12 heures 44 minutes exactement) c'est le cycle lunaire indiqué sur le calendrier (NL, PQ, PL, DQ), dit synodique puisque nouant la Lune à l'éclairage du Soleil, à la façon des deux aiguilles d'une pendule à chaque fois qu'elles n'en forment plus qu'une en étant superposées.
Image ci-dessous (15 h pile) comparable à un Dernier Quartier de Lune, prochaine Nouvelle Lune marinant vers 15 h
- 1 Bis°) L'écliptique, qui est cette course apparente et immuable du Soleil relativement à la Terre et déterminant les quatre saisons, mais où intervient la Lune en option (éclipses)
Image ci-dessous à gauche l'écart entre les 2 plans : équateur céleste et écliptique, ou obliquité de la Terre de l'ordre de 23°30'. L'équateur céleste étant la projection-prolongation-extension de l'équateur terrestre dans l'espace.
Le zodiaque est constitué de l'ensemble des 12 constellations traversées par l'écliptique. Certaines étoiles de référence pour celle-ci en sont très proche ou parfois carrément situées sur celle-ci, c'est le cas de Régulus (du Lion) ou de Dorsum (du Capricorne).
Le zodiaque des signes reprend les noms des constellations, mais égalitaires sur la base des lunaisons synodiques, le mois est initialement le mois luni-solaire ou lunaison du calendrier de 29,5 jours, soit 12 lunaisons (du calendrier) complètes à l'année (29,5 x 12 = 354, reste 11 jour à placer ou à caser.
En fait les mois seront de 30 ou 31 jours (28 ou 29 our février) en vertu de l'absorption de ces 11 (ou 12) jours par les lunaisons synodiques.
Image à droite, croissance de la durée du jour ou de celle de la nuit, alternativement et dominance de celles-ci aux tropiques, alternativement aussi : les extrêmes (tropiques) et les moyens (équatoriaux).
Challenge des astres qui n'est désastre au zodiaque : le moi, le mois, l'instance surmoïque.
Image ci-dessous à gauche l'écart entre les 2 plans : équateur céleste et écliptique, ou obliquité de la Terre de l'ordre de 23°30'. L'équateur céleste étant la projection-prolongation-extension de l'équateur terrestre dans l'espace.
Le zodiaque est constitué de l'ensemble des 12 constellations traversées par l'écliptique. Certaines étoiles de référence pour celle-ci en sont très proche ou parfois carrément situées sur celle-ci, c'est le cas de Régulus (du Lion) ou de Dorsum (du Capricorne).
Le zodiaque des signes reprend les noms des constellations, mais égalitaires sur la base des lunaisons synodiques, le mois est initialement le mois luni-solaire ou lunaison du calendrier de 29,5 jours, soit 12 lunaisons (du calendrier) complètes à l'année (29,5 x 12 = 354, reste 11 jour à placer ou à caser.
En fait les mois seront de 30 ou 31 jours (28 ou 29 our février) en vertu de l'absorption de ces 11 (ou 12) jours par les lunaisons synodiques.
Image à droite, croissance de la durée du jour ou de celle de la nuit, alternativement et dominance de celles-ci aux tropiques, alternativement aussi : les extrêmes (tropiques) et les moyens (équatoriaux).
Challenge des astres qui n'est désastre au zodiaque : le moi, le mois, l'instance surmoïque.
- 1 Ter°) Bélier au point vernal à l'équinoxe de printemps et son déplacement inexorable sur toile de fond céleste : le vernal infernal
Au début de notre ère des Poissons (en l'An Zéro), le point vernal (sortie de l'hiver) et marquant donc l'équinoxe de printemps se trouvait à la fois au tout début de la constellation du Bélier et du signe du Bélier et donc tout à la fin des constellation et signe des Poissons.
Ce point vernal n'est pas fixe sur l'équateur céleste du fait du phénomène de précession et il emmène le zodiaque des signes dans une course rétrograde (i.e. en marche arrière) sur les constellations à concurrence de 1° tous les 72 ans environ. Actuellement le point vernal est donc toujours en début de signe du Bélier puisque concomitant à sa définition astro mais a remonté presque entièrement la constellation des Poissons sur 29°30' environ, il se trouve donc en début de la constellation des Poissons à 0°30', conformément à l'appellation de l'ère encore en cours actuellement et qu'il faille envisager bientôt l'ère du Verseau pour la suite des événements (Voir schéma § 2 à suivre).Au début de notre ère des Poissons (en l'An Zéro), le point vernal (sortie de l'hiver) et marquant donc l'équinoxe de printemps se trouvait à la fois au tout début de la constellation du Bélier et du signe du Bélier et donc tout à la fin des constellation et signe des Poissons.
Le Bélier à gauche dans un thème indique l'équinoxe de printemps, l'analogie avec l'ascendant théorique (lever de soleil), soit l'Est par projection de la voûte céleste au sol quand on regarde au sud (tropique sud devant soi et projeté au sol, donc en haut du zodiaque pour une carte du ciel posé sur une table). Le signe du Bélier avec Astrotheme, lien cliquable
Bélier où intercaler le 11 pour gémellité-différentiation : Lier le début et la fin
Challenge totémique du Bélier : la forme de ses cornes.
- Transition de 1 à 2, de I à II où le 11 est éLeVé en clé alchimique à Lire de fusion comme de clivage, in-divi-sible dualité initialement qualifiée Soleil-Lune.
Basique septenaire perceptible avec 2 luminaires & 5 planètes, où la simplicité d'un minimalisme antique et médiéval oblige à "faire avec le présen-tiel ambiant" qui Fit bonne assise à Pythagore et au bi-Ki-Ni(d). Notre psyché collective est pour l'essentiel fonda-mentalement basée sur l'astrologie, par motivation des calculs de temps à sélectionner dans une approche normative, partant des modélisations vers de réelles matrices à ériger en paradigmes
Exemple type, en Chaldée (croissant fertile, moyen-orient), schéma ici à droite : une étoile figurative à 7 branches destinée à ordrer les jours de la semaine dans une opposition rotative : Lune - Lundi, Mars - Mardi, Mercure - Mercredi, Jupiter - Jeudi, Vénus - Vendredi, Saturne - Samedi, Soleil - Dimanche (resté Sunday en anglais et Sonntag en allemand).
Ont été ajoutés ici autour les numéros d'ordre des planètes datant à priori de l'An Mil (ou réputé comme tel avec Gerbert d'Aurillac). Cet ordonnancement donnera lieu à une numérologie à retrouver pour l'essentiel (l'essence ciel) dans les carrés dits planétaires ou magiques. Noter déjà en bas de l'image les chiffres 3 & 9 (pour 3² et pour 39) et le 6 au sommet (pour Soleil 6 et Lune 9) avec un nombre 369 lunaire (vs 111 solaire) à découvrir par la suite.
Les astres lents, dits générationnels (Uranus, Neptune et Pluton) ne seront officiellement découverts respectivement qu'à fin XVIII°, première moitié XIX° et début XX° siècle avec les progrès des lunettes astronomiques. Ils interfèrent assez peu dans un thème natal individuel (avis perso) dans la mesure où c'est du rajouté astro assez récent au septenaire.
Les 2 luminaires (Soleil et Lune) constituent chacun une unité qui en s'alliant ou s'unissant en constituent une autre : le REBIS, ils vont s'ériger en code binaire (2x1) qui dans l'esprit humain va devenir LE fondement symbolique de l'union tangible par excellence et spécialement de création-fécondation quand alliance des deux (Nouvelle Lune) mais également de différentiation sexuée quand en opposition (Pleine Lune), ceci dans le cycle calendaire de 29,5 jours, soit x 12 = 354 j d'opportunisme pythagoricien, où manque 11 j. d'intercalation pour 365 jours annuels, ce 11 s'érige alors en possibilité de représentation binaire polyvalente suivant le contexte (dualité, complémentarité, parallèle, symétrie, tête-bêche...). (Voir Page René Guénon).
1 NOmbre (11) à 2 chiffres (1 & 1) s'impose comme arbitre des élégances entre 2 nombres à 3 chiffres :
354 Luni-Solaire (ou 12 x 29,5j d'une Lune éclairée par le Soleil) + 11 d'in-ter-ca-lation = 365 Solaire,
lyrisme et lire isthme d'un différentiel autobloquant,
354 d'isiaque intérieur et 365 d'écliptique extérieur
11 en 10 + 1 devient le lien d'un 354 (total lunaire synodique), avec 364 (13 x 28 total lunaire sidéral) en étape intermédiaire avant le 365 solaire annuel :
354 + 10 (X romain) = 364, +1 =365, la différence entre 364 et 354 laisse apparaître 6 & 5 de 65 dans les diz-aines, in-dice de l'X des diagonales.
(Voir page Mondrian, MonDe riant, colonne de gauche). Ce 11 ou 1 & 1 constitue un schéma "fil rouge" de l'astrologie alchimique puisque la notion de Rebis consiste en une unité à partir de deux éléments, tout en reconnaissant paradoxalement une autonomie à chacune des deux unités constituantes, dévolue à leur différentiation.
Et 11 x 11 = 121 (à dr.), tandis que 11 + 11 = 22, le nombre d'arcanes maj. au tarot.
Le 11 figure également dans le tarot français (seulement) l'arcane de la Force.
Et partageant cette exclusivité avec l'arcane 8.
Et d'en arriver à cette lapalissade valant le coup d'être relevée :
1 est le DOuble de la moitié et 1 est aussi la moitié de 2, notion de base à laquelle il faut ajouter : 1 est aussi la moitié figurative de 11 comme 11 est le double figuratif de 1, autant que 11 n'a pas de nombre entier pour moitié, mais est la somme de 5 + 6, et récit pro en 6 + 5, étANt plus proche de 3-65 (jours), et 65 est aussi la constante de Mars (365 en chiffres romains : CCCLXV), outre que 6 est aussi le double de 3 ou Produit d'un 2x3 où 5 en est la Somme 2+3.
Et 11 devient l'indivis(e) dualité, en effet chaque être vivant (indivi-du) est constitué initialement de deux gamètes (M & F) et 1 couple, c'est aussi être 1 à 2 moitiés (1 & 2, deux chiffres qui ont des particularités de CArré, de Produit et de Somme). Avec 12 = 3+4+5 isiaque où le 3 féminin, le 4 masculin (4,2,1) et le 5 (V) graalesque.
N.B.: 12 Le Pendu au tarot et 21 Le Monde (image en bas à droite du §). Image à Lire plus haut à dr. : quand deux L et deux 1 se confondent (2 Pair, 3 iMpair dont M & i). Le II romain (2) est donc l'acceptation d'une approche unitaire de la dualité, et à cette fin le 11 de type graphique similaire au II (2) permet d'insinuer une pertinence de relation d'opposition différentielle (existe-t-il une meilleure perception factuelle de l'alchimie dans un contexte de synergie d'énergie créatrice à expression pluraliste ?).
Noter que Deux et Onze ont pour initiales DO (comme la note de musique !).
Notons aussi que le ! ressemble au 1 et que le ? ressemble au 2, ainsi le !? évoque le 12 (le Pendu au tarot) et le ?! le 21 (le Monde), voir page SchrÖdinger. Et en option tarot : 11 + 11 = 22 (Le Mat) et 11 x 11 = 121 (12 & 21)...
Le 11 d'intercalation astrologique devient à ce titre un idéogramme (lié au serpentaire), et à la vocation calligraphique.
La lettre K est la 11° de notre alphabet (K = CA comme dans CAncer et CApricorne, signes traçant la méridienne du zodiaque.
Bien voir (image ci-dessus plus haut à gauche) que ONZE contient au centre deux lettres similaires dont l'une est une rotation à 90° (dr.) de l'autre, que ces deux lettres superposées forment un carré avec ses diagonales et enfin que les deux premières lettres de ce mot composent le fameux ON, pronom indéfini.
Outre que ONZE sans le Z donne ONE (retour à l'unité) et que pour une ONCE d'objection le 11° signe est celui du Verseau.
Le pronom indéfini "ON" proviendrait-il directement de "ONze" ? Onze est la somme de 8 et 3 (entre autres).
Le ON est à retrouver aussi avec Le Guerchin sous forme d'initiales : Orient et Nord (va lyra), en relation avec la constellation des PoissonS. (Voir page "et in arcadia ego").
Image en haut à droite L'être M, formée de deux 1 mis en miroir (ou en symétrie), comme S & L pour Soleil & Lune. Option I pour chacun des 2 luminaires et V pour les 5 planètes. Ne pas oublier que 11 = 5 + 6 ou 6 + 5, ou accessoirement 7 + 4, 8 + 3, 9 + 2, 10 + 1 dans nos chiffres "modernes".
A retenir : représentation binaire polyvalente (polysémie) du 11, avec pertinences de relations d'opposition différentielle associées.
Image plus haut à droite : 1 & 1 tête-bêche ou ONze à lire et à Lyre...
Et 11, c'est aussi deux marqueurs de triangles à découvrir plus l'oint, tels deux L à valeur (numérique romaine) 50, total 100 (et sa consonnance), autant que deux L peuvent indiquer Longueur et Largeur d'un rectangle, ou même former le parallélogramme de la constellation de la Lyre (image ici à droite), voire les deux aiLes d'un aigle par exemple ? Et quant à choir un des deux "L", cela passe par un che(u)-va-L ? (voir § plus loin). La référence au 50 s'obtient aussi par les DAnaïdes. Ci-dessous un double carré initial pour Soleil et Lune.
Challenge du 11 à la foi(s) unitaire et double : un nom commun aux signes égaux et aux constellations inégales, voir paragraphe suivant.
Basique septenaire perceptible avec 2 luminaires & 5 planètes, où la simplicité d'un minimalisme antique et médiéval oblige à "faire avec le présen-tiel ambiant" qui Fit bonne assise à Pythagore et au bi-Ki-Ni(d). Notre psyché collective est pour l'essentiel fonda-mentalement basée sur l'astrologie, par motivation des calculs de temps à sélectionner dans une approche normative, partant des modélisations vers de réelles matrices à ériger en paradigmes
Exemple type, en Chaldée (croissant fertile, moyen-orient), schéma ici à droite : une étoile figurative à 7 branches destinée à ordrer les jours de la semaine dans une opposition rotative : Lune - Lundi, Mars - Mardi, Mercure - Mercredi, Jupiter - Jeudi, Vénus - Vendredi, Saturne - Samedi, Soleil - Dimanche (resté Sunday en anglais et Sonntag en allemand).
Ont été ajoutés ici autour les numéros d'ordre des planètes datant à priori de l'An Mil (ou réputé comme tel avec Gerbert d'Aurillac). Cet ordonnancement donnera lieu à une numérologie à retrouver pour l'essentiel (l'essence ciel) dans les carrés dits planétaires ou magiques. Noter déjà en bas de l'image les chiffres 3 & 9 (pour 3² et pour 39) et le 6 au sommet (pour Soleil 6 et Lune 9) avec un nombre 369 lunaire (vs 111 solaire) à découvrir par la suite.
Les astres lents, dits générationnels (Uranus, Neptune et Pluton) ne seront officiellement découverts respectivement qu'à fin XVIII°, première moitié XIX° et début XX° siècle avec les progrès des lunettes astronomiques. Ils interfèrent assez peu dans un thème natal individuel (avis perso) dans la mesure où c'est du rajouté astro assez récent au septenaire.
Les 2 luminaires (Soleil et Lune) constituent chacun une unité qui en s'alliant ou s'unissant en constituent une autre : le REBIS, ils vont s'ériger en code binaire (2x1) qui dans l'esprit humain va devenir LE fondement symbolique de l'union tangible par excellence et spécialement de création-fécondation quand alliance des deux (Nouvelle Lune) mais également de différentiation sexuée quand en opposition (Pleine Lune), ceci dans le cycle calendaire de 29,5 jours, soit x 12 = 354 j d'opportunisme pythagoricien, où manque 11 j. d'intercalation pour 365 jours annuels, ce 11 s'érige alors en possibilité de représentation binaire polyvalente suivant le contexte (dualité, complémentarité, parallèle, symétrie, tête-bêche...). (Voir Page René Guénon).
1 NOmbre (11) à 2 chiffres (1 & 1) s'impose comme arbitre des élégances entre 2 nombres à 3 chiffres :
354 Luni-Solaire (ou 12 x 29,5j d'une Lune éclairée par le Soleil) + 11 d'in-ter-ca-lation = 365 Solaire,
lyrisme et lire isthme d'un différentiel autobloquant,
354 d'isiaque intérieur et 365 d'écliptique extérieur
11 en 10 + 1 devient le lien d'un 354 (total lunaire synodique), avec 364 (13 x 28 total lunaire sidéral) en étape intermédiaire avant le 365 solaire annuel :
354 + 10 (X romain) = 364, +1 =365, la différence entre 364 et 354 laisse apparaître 6 & 5 de 65 dans les diz-aines, in-dice de l'X des diagonales.
(Voir page Mondrian, MonDe riant, colonne de gauche). Ce 11 ou 1 & 1 constitue un schéma "fil rouge" de l'astrologie alchimique puisque la notion de Rebis consiste en une unité à partir de deux éléments, tout en reconnaissant paradoxalement une autonomie à chacune des deux unités constituantes, dévolue à leur différentiation.
Et 11 x 11 = 121 (à dr.), tandis que 11 + 11 = 22, le nombre d'arcanes maj. au tarot.
Le 11 figure également dans le tarot français (seulement) l'arcane de la Force.
Et partageant cette exclusivité avec l'arcane 8.
Et d'en arriver à cette lapalissade valant le coup d'être relevée :
1 est le DOuble de la moitié et 1 est aussi la moitié de 2, notion de base à laquelle il faut ajouter : 1 est aussi la moitié figurative de 11 comme 11 est le double figuratif de 1, autant que 11 n'a pas de nombre entier pour moitié, mais est la somme de 5 + 6, et récit pro en 6 + 5, étANt plus proche de 3-65 (jours), et 65 est aussi la constante de Mars (365 en chiffres romains : CCCLXV), outre que 6 est aussi le double de 3 ou Produit d'un 2x3 où 5 en est la Somme 2+3.
Et 11 devient l'indivis(e) dualité, en effet chaque être vivant (indivi-du) est constitué initialement de deux gamètes (M & F) et 1 couple, c'est aussi être 1 à 2 moitiés (1 & 2, deux chiffres qui ont des particularités de CArré, de Produit et de Somme). Avec 12 = 3+4+5 isiaque où le 3 féminin, le 4 masculin (4,2,1) et le 5 (V) graalesque.
N.B.: 12 Le Pendu au tarot et 21 Le Monde (image en bas à droite du §). Image à Lire plus haut à dr. : quand deux L et deux 1 se confondent (2 Pair, 3 iMpair dont M & i). Le II romain (2) est donc l'acceptation d'une approche unitaire de la dualité, et à cette fin le 11 de type graphique similaire au II (2) permet d'insinuer une pertinence de relation d'opposition différentielle (existe-t-il une meilleure perception factuelle de l'alchimie dans un contexte de synergie d'énergie créatrice à expression pluraliste ?).
Noter que Deux et Onze ont pour initiales DO (comme la note de musique !).
Notons aussi que le ! ressemble au 1 et que le ? ressemble au 2, ainsi le !? évoque le 12 (le Pendu au tarot) et le ?! le 21 (le Monde), voir page SchrÖdinger. Et en option tarot : 11 + 11 = 22 (Le Mat) et 11 x 11 = 121 (12 & 21)...
Le 11 d'intercalation astrologique devient à ce titre un idéogramme (lié au serpentaire), et à la vocation calligraphique.
La lettre K est la 11° de notre alphabet (K = CA comme dans CAncer et CApricorne, signes traçant la méridienne du zodiaque.
Bien voir (image ci-dessus plus haut à gauche) que ONZE contient au centre deux lettres similaires dont l'une est une rotation à 90° (dr.) de l'autre, que ces deux lettres superposées forment un carré avec ses diagonales et enfin que les deux premières lettres de ce mot composent le fameux ON, pronom indéfini.
Outre que ONZE sans le Z donne ONE (retour à l'unité) et que pour une ONCE d'objection le 11° signe est celui du Verseau.
Le pronom indéfini "ON" proviendrait-il directement de "ONze" ? Onze est la somme de 8 et 3 (entre autres).
Le ON est à retrouver aussi avec Le Guerchin sous forme d'initiales : Orient et Nord (va lyra), en relation avec la constellation des PoissonS. (Voir page "et in arcadia ego").
Image en haut à droite L'être M, formée de deux 1 mis en miroir (ou en symétrie), comme S & L pour Soleil & Lune. Option I pour chacun des 2 luminaires et V pour les 5 planètes. Ne pas oublier que 11 = 5 + 6 ou 6 + 5, ou accessoirement 7 + 4, 8 + 3, 9 + 2, 10 + 1 dans nos chiffres "modernes".
A retenir : représentation binaire polyvalente (polysémie) du 11, avec pertinences de relations d'opposition différentielle associées.
Image plus haut à droite : 1 & 1 tête-bêche ou ONze à lire et à Lyre...
Et 11, c'est aussi deux marqueurs de triangles à découvrir plus l'oint, tels deux L à valeur (numérique romaine) 50, total 100 (et sa consonnance), autant que deux L peuvent indiquer Longueur et Largeur d'un rectangle, ou même former le parallélogramme de la constellation de la Lyre (image ici à droite), voire les deux aiLes d'un aigle par exemple ? Et quant à choir un des deux "L", cela passe par un che(u)-va-L ? (voir § plus loin). La référence au 50 s'obtient aussi par les DAnaïdes. Ci-dessous un double carré initial pour Soleil et Lune.
Challenge du 11 à la foi(s) unitaire et double : un nom commun aux signes égaux et aux constellations inégales, voir paragraphe suivant.
- 2°) Une réalité conflictuelle entre l'espace et le temps a conduit à ce concept assumé d'un décalage signes-constellations avec l'aYanamsa, écart résultant du phénomène de précession
La Terre "vacille" sur son axe, de sorte que les étoiles et les constellations changent leur angle de présentation dans le ciel nocturne sur une base cyclique (26.000 ans). Image ci-dessus à droite :
Repère N° 1 : les constellations, repère N° 2 : les signes, et tercio un écart (évolutif) entre les deux : l'ayanamsa. Les signes reprennent les noms des constellations mais pas leur aspect inégal, chaque signe = 30°. Ayanamsa = écart 0° en l'An 0, écart 2023 ans depuis l'An 0 = 29° 30' d'arc zodiaque, soit presque un signe entier.
L'avancement de ce décalage rétrograde est de 1° tous les 72 ans, et pour 360° ou un tour complet du zodiaque en 26.000 ans.
Schéma en haut à droite : En fait actuellement les repères spatiaux par exemple pour la saison du printemps (quart de cercle en bas à gauche) sont les constellations des Poissons, Bélier, Taureau (ici sur cercle extérieur) pour des repères temporels par les signes des Bélier, Taureau, Gémeaux (cercle intérieur). Schéma à droite : l'effet toupie.
Le phénomène de précession est un des principaux fondements du répertoire alchimique.
La cause principale (déjà aperçue) de cet écart qui se creuse très lentement est une synergie des deux axes dits karmiques dans la mécanique céleste (karma = action) 1°) Terre/Lune et 2°) Soleil/Terre/Lune, objets du paragraphe suivant : grand axe (apogée-périgée) et axe nodal (nœuds lunaires) en rotations inverses, l'axe A-P de l'ordre de 9 ans (-) dans le sens antihoraire et le second de l'ordre de 18 ans (+), dans le sens horaire.
L'interférence des deux progresse d'environ un décan tous les 18 ans (dans le sens normal du zodiaque : anti-horaire).
C'est ainsi que les étoiles polaires s'enchaînent autour de la constellation du Dragon au pas de 1° d'arc tous les 72 ans : c'est le mouvement de précession.
Actuellement l'étoile polaire de référence se situe en bout de la Petite Ourse (voir images à gauche et ci-dessous).
Ayanamsa où intercaler le 11 pour gémellité-différentiation : même dénomination pour constellations inégales et signes égaux.
Challenge de l'Ayanamsa : l'agriculture biodynamique.
M tel deux Lambdas siamois et lunaires d'axes : Draconitique et Anomalistique
Ci-dessous : Anomalistique à gauche (Elipse lunaire Périgée - Apogée) et Draconitique à droite (potentiel des éclipses).
La LuNe transite entre 2 et 3 jours dans un signe (noter 2 & 3), suivant Périgée ou Apogée (mêmes initiales que Porthos et Athos), soit une moyenne de 2,5 jours (à peine : 2,5 x 12 = 30, sup à 29,5 durée de lunaison calendaire).
Les éclipses de Soleil ont lieu lors d'une Nouvelle Lune et les éclipses de Lune lors d'une Pleine Lune, elles peuvent être annulaires ou totales suivant l'éloignement de la Lune, les éclipses partielles sont dues à une situation lunaire approximative d'axe nodal.
Ces deux axes sont à ajouter au septenaire pour un total de neuf éléments à considérer d'entrée dans un thème astral, ils sont annotés sous forme de Lune Noire (⚸) et de Nœud Nord (☊), ils correspondent à deux des cycles lunaires à rencontrer au paragraphe § 3, mais déjà à évoquer avec les cornes du Taureau au § qui suit.
Deux cornes qui ne sont pas sans rappeler celles du Capricorne et qui auront un aspect graalesque prononcé.
(Image ci-dessus à droite La Lune à La Hune, avec 2 personnages)
Au-dessus à gauche le tableau des interférences karmiques (lesquelles se produisent tous les 3 ans et toutes en Septembre de 1889 à 2054, en Octobre avant 1889 (tel 1886) et en Août à partir de 2057), surligné rouge en équatorial et orange en approche, image cliquable pour l'agrandir.
La Lune Noire est parfois appelée Lilith, c'est en fait le second foyer de l'élipse lunaire (ce rond applati), en F2 sur le schéma en haut de ce post, la Terre étant le premier foyer. Conjugaison d'axes = licorne.
Ces deux axes ont un rendez-vous conjoint de même formule (NN et LN) tous les 6 ans et en inversé (NS et LN) tous les 3 ans, dans les deux cas avec un léger décalage sur le zodiaque.
Ils sont à eux deux les principaux responsables de l'effet toupie de la planète Terre (comme un effet lifté d'origine gravitationnelle : la précession) sur 26.000 ans environ dite la Grande Année (1 degré zodiaque tous les 72 ans x 360).
Cet effet a pu être découvert il y a plusieurs milliers d'années et être intégré comme deux éléments astro de plus au basique septenaire, il est bien symbolisé par la constellation d'Orion qui forme aussi un 8 ou un sablier.
Axes karmiques où intercaler un 11 pour gémellité-différentiation : de sens inverse un R-V tous les 3 ans en conjugué et en croix entre deux.
Challenge des deux axes : l'équateur (Chimborazo) avec option pleine lune à la hune. Challenge de la nef : la constellation du Capricorne.
Challenge de l'effet toupie : Hercule à Vaux-le-Vicomte
- 2 Ter°) Taureau, 2° signe, 2 axes, 2 cornes à ce lunaire partie prenante du processus alchimiqueLes éclipses de Soleil ont lieu lors d'une Nouvelle Lune et les éclipses de Lune lors d'une Pleine Lune, elles peuvent être annulaires ou totales suivant l'éloignement de la Lune, les éclipses partielles sont dues à une situation lunaire approximative d'axe nodal.
Ces deux axes sont à ajouter au septenaire pour un total de neuf éléments à considérer d'entrée dans un thème astral, ils sont annotés sous forme de Lune Noire (⚸) et de Nœud Nord (☊), ils correspondent à deux des cycles lunaires à rencontrer au paragraphe § 3, mais déjà à évoquer avec les cornes du Taureau au § qui suit.
Deux cornes qui ne sont pas sans rappeler celles du Capricorne et qui auront un aspect graalesque prononcé.
(Image ci-dessus à droite La Lune à La Hune, avec 2 personnages)
Au-dessus à gauche le tableau des interférences karmiques (lesquelles se produisent tous les 3 ans et toutes en Septembre de 1889 à 2054, en Octobre avant 1889 (tel 1886) et en Août à partir de 2057), surligné rouge en équatorial et orange en approche, image cliquable pour l'agrandir.
La Lune Noire est parfois appelée Lilith, c'est en fait le second foyer de l'élipse lunaire (ce rond applati), en F2 sur le schéma en haut de ce post, la Terre étant le premier foyer. Conjugaison d'axes = licorne.
Ces deux axes ont un rendez-vous conjoint de même formule (NN et LN) tous les 6 ans et en inversé (NS et LN) tous les 3 ans, dans les deux cas avec un léger décalage sur le zodiaque.
Ils sont à eux deux les principaux responsables de l'effet toupie de la planète Terre (comme un effet lifté d'origine gravitationnelle : la précession) sur 26.000 ans environ dite la Grande Année (1 degré zodiaque tous les 72 ans x 360).
Cet effet a pu être découvert il y a plusieurs milliers d'années et être intégré comme deux éléments astro de plus au basique septenaire, il est bien symbolisé par la constellation d'Orion qui forme aussi un 8 ou un sablier.
Axes karmiques où intercaler un 11 pour gémellité-différentiation : de sens inverse un R-V tous les 3 ans en conjugué et en croix entre deux.
Challenge des deux axes : l'équateur (Chimborazo) avec option pleine lune à la hune. Challenge de la nef : la constellation du Capricorne.
Challenge de l'effet toupie : Hercule à Vaux-le-Vicomte
Les cornes impressionnantes de l'animal font envisager deux schémas : l'un solaire avec l'écartement allant grandissant entre les points de lever et de coucher de soleil au printemps, l'autre lunaire par la forme en croissant qu'elles constituent.
Les deux cornes peuvent rappeler celles du Capricorne dans une fonction plus pragmatique, l'une étant située au-dessus de l'écliptique et l'autre en-dessous (image à droite) évoquant ainsi les deux axes lunaires dont il fut question au paragraphe précédent.
Ne pas oublier le Taureau de Luc, un des quatre vivants cités du tétramorphe.
La constellation du Taureau n'est pas plus impressionnante que celle du Bélier mais elle dispose d'une étoile de référence de saison : Aldébaran, de plus elle est associé à la constellation de l'amas des Pléiades (à la phonologie intéressante : l'épélé IAD avec en option cette extrapolation : l'accord IDA, voir image en bas de ce § ).
Cependant elle a globalement une forme de Y (image à droite) en fonction des deux cornes de l'animal en V dont une est située au-dessus de l'écliptique (course apparente du Soleil) et l'autre en dessous, attitude d'aptitude à viser l'étoile principale du Lion : Régulus, située juste sur l'écliptique et vers laquelle elles sont dirigées, outre Castor des Gémeaux (case tord ?), avec amalgame envisageable des deux axes cités ci-dessus autour de l'écliptique, tel un Caducée.
A gauche un joug à boeufs pour évoquer l'utilité des bovins dans les sociétés agraires d'autrefois (qui sont à retrouver en § 6), mais aussi pour insinuer les notions de couple et de dualité déjà évoquées en § 1.
Autrefois (Travaux d'Héraclès) il était question du Taureau de Crète et du Lion de Némée (actuels 2° et 5° signes, voire les 1° et 4° d'une ère précédente), les deux seuls animaux à retrouver dans le bestaire du zodiaque actuel et en bas de l'arcane XXI du Tarot (voir interlude 7 à 10 à suivre) : Le Monde (cliquer ici pour le tarot des Avenières).
Le signe du Taureau avec Astrotheme, lien cliquable.
Taureau où intercaler le 11 pour gémellité-différentiation : Corne de droite en supra-écliptique, corne de gauche en infra.
Challenge du Taureau : ses cornes et son épaule, autant que les PléIADes, l'épelé IAD ou l'accord IDA.
- Interlude en K d'un CAs du C Persistant Solsticial du cas d'astres, acCAblé ou à CÂbler outre le CAs inhibé des initiales du Cygne et de l'Aigle, intégrant ou ingérant CAssiopée (M & W) entre Céphée et Persée, avec CAllisto et arCAS envoûtés au sommet de la foule stellaire pour qui cheut vert nid
- Image à gauche, remarquer les épaisseurs des barres du T équipées leur diagonale : 2 en vertical et 3 à l'horizontale, également 2° signe pour le Taureau, 5° pour Lion, 8° pour Scorpion en situant le point vernal dans l'angle en bas à gauche (et donc 3 pour le Verseau !?), mais surtout 3 pour le roi et 8 pour la reine sur l'échiquier (Saturne et Mercure).
A droite : quatre de triang-u-l-aire, autant que 2 x 4 = 8
A droite en bas Clé Alchimique, 8 et 9 en haut (en losange), puis 3 à droite et 1 à gauche (voir § 4, couleurs), puis 5 x 2 Vénus & Mars et 5 + 2, Septenaire. Ci-dessous, la constellation du Dragon au sommet de la voûte tous les soirs de l'année, "ses" circumpolaires impérissables dérivent hier au jour d'huit...
- Image à gauche, remarquer les épaisseurs des barres du T équipées leur diagonale : 2 en vertical et 3 à l'horizontale, également 2° signe pour le Taureau, 5° pour Lion, 8° pour Scorpion en situant le point vernal dans l'angle en bas à gauche (et donc 3 pour le Verseau !?), mais surtout 3 pour le roi et 8 pour la reine sur l'échiquier (Saturne et Mercure).
A droite : quatre de triang-u-l-aire, autant que 2 x 4 = 8
A droite en bas Clé Alchimique, 8 et 9 en haut (en losange), puis 3 à droite et 1 à gauche (voir § 4, couleurs), puis 5 x 2 Vénus & Mars et 5 + 2, Septenaire. Ci-dessous, la constellation du Dragon au sommet de la voûte tous les soirs de l'année, "ses" circumpolaires impérissables dérivent hier au jour d'huit...
- Transition de 2 à 3) Poussé à l'index pointé à bras raccourcis tout en puissance d'ouaté annonçant carré-ment cube autant que là s'y-métr-IE de cette indivi-dualité pro-l'i-fi-que d'un 2³+ 1 = 3² avec ou sans exposants, tant de 11 à 101 l'amarre seye aise à n'œuf et à huit clos avec le code LN 2-3, OD hissé haut
Depuis le temps que le pouce a 2 phalanges et les autres doigts 3, sans écarter l'épate que pousse un de X pour 11 chez LN 2-3 : x² + 10 x ou 1 + 10 = 11, deux chiffres à 11 et trois à 101 où l'amarre seye aise de l'égalité de cir-constance (1+1 = 1+0+1 ?).
A gauche une main avec 2 doigts formant (presque) angle droit (L) en option et 3 autres collés entre eux, image à droite aussi 2 et 3 doigts mais pas les mêmes parmi les 5 de la main.
Il arrive comme ici (à gauche) que pouce et index dessinent un L au dessein d'LN tel le L de la marche du CAvalier d'échecs.
Le N pouvant se situer dans les autres doigts avec l'ambiguïté de l'annulaire qui ne choisit pas l'inclinaison de la barre transversale du N (normale ou inversée, tel un V). Ces trois autres doigts formant en fait trois barres comme un 111 (constante du soleil, voir § 7 Ter) c'est LN 2 doigts-3 barres (Hélène-Hêlios). LN comme Lune Noire (apogée) et NL comme Nouvelle Lune.
La lettre L est constituée de 2 bâtons (Longueur 3, Largeur 2 avec un L d'initiales comme Lyre, une constellation), la lettre N de 3 bâtons (et d'une consonnance accompagnée d'une forme, à découvrir en § 5).
2² + 3² = 4 + 9 = 13, ici carré d'une hypoténuse dont la dimension est donc √13 =3,6055512, et le zodiaque comme le cercle font 360°.
Et 2² & 3² = 4 & 9 ? 49 nombre de cases du carré de Vénus (7²), 4+9 = 13, case centrale du carré de Mars lié aussi à la Lune, et 9 -4 = 5 = V romain, tout ceci à découvrir plus loin et plus l'oint, autant que 111 est la constante du Soleil (111 = CXI en chiffres romains).
- Image ci-dessus à droite, un "domino" (rectangle 2x1) façon jeu de la Rithmomachie, un jeu "numérologique" datant du début du XI° s. Et juste en-dessous : un petit beurre LU ?
C'est aussi que largeur 2 et longueur 3 siéent bien au triangle d'éTé, respectivement Véga-Deneb (Lyre-Cygne) et Véga-Altaïr (Lyre-Aigle), ainsi déjà une première numérologie associée à Deneb-Véga-Altaïr.
HéLèNe ? C'est surtout que NL sont les initiales de Nouvelle Lune et LN (2 & 3 bâtons) celle de Lune Noire (revoir § 2), que NL (3 & 2 bâtons) forment les initiales de Nœuds Lunaires (2LN + 1NL) mais également Hélène est la mère de l'empereur Constantin, et enfin Hélène du Cygne avec Léda : la jumelle immortelle de Pollux dans la mythologie (un des Gémeaux).
Image à gauche : 2 avec un poten-tiel de 3. et un schéma à droite dont DIAgonale. En-dessous à gauche : Verre (Vair), métonymie de la relation contenant-contenu, et M inverse de W (tel Cassiopée). Image au centre : un concentré pour "mémo".
Depuis le temps que le pouce a 2 phalanges et les autres doigts 3, sans écarter l'épate que pousse un de X pour 11 chez LN 2-3 : x² + 10 x ou 1 + 10 = 11, deux chiffres à 11 et trois à 101 où l'amarre seye aise de l'égalité de cir-constance (1+1 = 1+0+1 ?).
A gauche une main avec 2 doigts formant (presque) angle droit (L) en option et 3 autres collés entre eux, image à droite aussi 2 et 3 doigts mais pas les mêmes parmi les 5 de la main.
Il arrive comme ici (à gauche) que pouce et index dessinent un L au dessein d'LN tel le L de la marche du CAvalier d'échecs.
Le N pouvant se situer dans les autres doigts avec l'ambiguïté de l'annulaire qui ne choisit pas l'inclinaison de la barre transversale du N (normale ou inversée, tel un V). Ces trois autres doigts formant en fait trois barres comme un 111 (constante du soleil, voir § 7 Ter) c'est LN 2 doigts-3 barres (Hélène-Hêlios). LN comme Lune Noire (apogée) et NL comme Nouvelle Lune.
La lettre L est constituée de 2 bâtons (Longueur 3, Largeur 2 avec un L d'initiales comme Lyre, une constellation), la lettre N de 3 bâtons (et d'une consonnance accompagnée d'une forme, à découvrir en § 5).
2² + 3² = 4 + 9 = 13, ici carré d'une hypoténuse dont la dimension est donc √13 =3,6055512, et le zodiaque comme le cercle font 360°.
Et 2² & 3² = 4 & 9 ? 49 nombre de cases du carré de Vénus (7²), 4+9 = 13, case centrale du carré de Mars lié aussi à la Lune, et 9 -4 = 5 = V romain, tout ceci à découvrir plus loin et plus l'oint, autant que 111 est la constante du Soleil (111 = CXI en chiffres romains).
- Image ci-dessus à droite, un "domino" (rectangle 2x1) façon jeu de la Rithmomachie, un jeu "numérologique" datant du début du XI° s. Et juste en-dessous : un petit beurre LU ?
C'est aussi que largeur 2 et longueur 3 siéent bien au triangle d'éTé, respectivement Véga-Deneb (Lyre-Cygne) et Véga-Altaïr (Lyre-Aigle), ainsi déjà une première numérologie associée à Deneb-Véga-Altaïr.
HéLèNe ? C'est surtout que NL sont les initiales de Nouvelle Lune et LN (2 & 3 bâtons) celle de Lune Noire (revoir § 2), que NL (3 & 2 bâtons) forment les initiales de Nœuds Lunaires (2LN + 1NL) mais également Hélène est la mère de l'empereur Constantin, et enfin Hélène du Cygne avec Léda : la jumelle immortelle de Pollux dans la mythologie (un des Gémeaux).
Image à gauche : 2 avec un poten-tiel de 3. et un schéma à droite dont DIAgonale. En-dessous à gauche : Verre (Vair), métonymie de la relation contenant-contenu, et M inverse de W (tel Cassiopée). Image au centre : un concentré pour "mémo".
- Interlude de parité) Re-père impér-is-sable 3 et ça tourne rond au Val de n'oeuf d'apprêt Saturne sur clavier numérique à 3², di-a-tri-be graalesque à diagonales imper-turbables d'LN 2-3, et per-mutation alchimique de base à valeur p-ara-digm-atique ki-fée que le sceau par-le de lui-même d'X par V médian & syndrome d'épopée de ruse, a-vert-ie cale de poupées russes
Les constellations visibles toute la nuit sont dites impérissables. Elles sont plus hautes dans le ciel et situées dans le secteur circumpolaire, les autres plus en bordure de la voûte céleste dont celles du zodiaque sont dites passantes ou périssables.
Dans ce contexte x1 Solaire vs x3 Lunaires et autant de fois 45° mais pas dans le même sens :
C'est ici que l'on tourne autour du 5 (V) comme sur le dessous d'une pomme de pin : 8 SP-i-rales dans un sens et 13 SPi-rales dans l'autre (différence : 5, et total : 21).
C'est aussi que le 3 annonce un cubage par la suite pythagoricienne en introduisant le 6 (son double) pour la diagonale descendante (à gauche) : 3³ + 4³ + 5³ = 6³.
Et ci-dessous noter l'inversion parité-couleurs à partir de 18 & 19 ou Lune et Soleil au tarot dans le cadre des diagonales 3 x 4 tous les 3 x 3 (lien entre Vénus et la constellation d'Hercule). Noter également que le 0 a une forme d'œuf (hormis le carré). Le carré de Vénus à 49 cases (3 x 12 = 36, + 13 = 49 = 4 x 12, +1) est à découvrir plus loin.
Challenge en Parité d'un 11 de gémellité-différentiation : pair-père, impair-mère, à sabler le champ pagne si le 101 est atteint où l'amarre seye aise ?
- 3°) Face à un seul cycle solaire (l'écliptique) : 3 cycles LuNaires, à assumer du genré kifFé mine un, autant que l'être E a 3 étages ? Poséidon la question ADéQuate et si-dér-ante de ce I dû s-i-dé-ral AVant de l'AD-opter s-Y-nodiqueLes constellations visibles toute la nuit sont dites impérissables. Elles sont plus hautes dans le ciel et situées dans le secteur circumpolaire, les autres plus en bordure de la voûte céleste dont celles du zodiaque sont dites passantes ou périssables.
Dans ce contexte x1 Solaire vs x3 Lunaires et autant de fois 45° mais pas dans le même sens :
C'est ici que l'on tourne autour du 5 (V) comme sur le dessous d'une pomme de pin : 8 SP-i-rales dans un sens et 13 SPi-rales dans l'autre (différence : 5, et total : 21).
C'est aussi que le 3 annonce un cubage par la suite pythagoricienne en introduisant le 6 (son double) pour la diagonale descendante (à gauche) : 3³ + 4³ + 5³ = 6³.
Et ci-dessous noter l'inversion parité-couleurs à partir de 18 & 19 ou Lune et Soleil au tarot dans le cadre des diagonales 3 x 4 tous les 3 x 3 (lien entre Vénus et la constellation d'Hercule). Noter également que le 0 a une forme d'œuf (hormis le carré). Le carré de Vénus à 49 cases (3 x 12 = 36, + 13 = 49 = 4 x 12, +1) est à découvrir plus loin.
Challenge en Parité d'un 11 de gémellité-différentiation : pair-père, impair-mère, à sabler le champ pagne si le 101 est atteint où l'amarre seye aise ?
1) Sidéral : 28 jours et la Lune fait le tour de la Terre et du zodiaque (27,32), dans son contexte mensuel (et surtout menstruel) et celui de deux autres déjà aperçus :
2) Anomalistique : 8 ans et 6 mois pour l'apogée-périgée lunaire. Parcourt 1 signe en 9 mois environ.
(Voir Grand Axe, à Gauche § 2 Ter)
3) Draconitique : 18 ans et 6 mois pour les nœuds lunaires, où la course de la Lune "coupe" l'écliptique. Parcourt 1 signe en 1 an et 1/2 environ mais en sens inverse des autres : rétrograde.
(Voir Axe Nodal, à Droite § 2 Ter)
D & A = 4° & 1° Lettres de l'alphabet, et 41 case centrale Lune, à découvrir plus loin, autant que D & A de Deneb (cygne) et Altaïr (aigle), étoiles principales de ces constellations, "Albae sunt iam ad messem", les trois premiers mots en 5,4,3 lettres et le dernier en 2x3 d'anagramme.
DiAble de tasse manie en transe pas rance le cas fait Croissant d'apparence hanTée aux appâts rances du p'tit matin à l'aube, car c'est bien le Soleil qui "éclaire" la Lune, laquelle ne fait que renvoyer par reflet une partie de cette luminosité pendant la nuit (1%) vers la planète Terre et qu'à ce titre éminemment solaire (et pas en option ?) le cycle sidéral (1°) de la Lune (seule) a vocation évidente à devenir synodique "par destination" avec et par le soleil (Hélène-Hêlios) à former un troisième axe (celui des Pleines Lunes), un phénomène dont la représentation s'accorde bien d'une pendule avec ses 2 aiguilles axées au centre : la petite pour le Soleil, la grande pour la Lune, au centre du cadran étant la Terre, dans une tripartite relation astrale et calendaire.
Car ce "Moi" synodique Soleil + Lune marque bien la lunaison du calendrier : 29,5 jours pendant lesquels la Lune parcourt 13 signes du zodiaque (12+1, le même qu'au départ) pendant que le Soleil en parcourt 1, et 29,5 x 12 = 354 (isiaque) avec cette différence-intercalation de 11 j pour obtenir 365 (11 un nombre gémellaire à retouver tout au long de ce blog pour diverses raisons culturelles ayant trait fondamentalement à l'astrologie).
M est constitué de 2 lambdas mais aussi de 3 V dont 2 à l'en-vers. M est l'initiale de : MéridieNNe.
M stylisé pour Vierge et Scorpion: Ce Moi (Soleil + Lune) induira la notion de Mois en divisant l'année solaire par douze (mois) et autant de signes en un référentiel soli-lunaire "ajusté", le treizième mois de 11 jours n'existant pas en Occident, il est donc "absorbé" par prolongations de ces 29,5 j synodiques à 30 ou 31 j (outre 28 et 29) mensuels, en toute commodité, et c'est paradoxalement avec cette notion de 11 qu'apparaîtra le 13° signe à lyre (!) à l'intérieur du zodiaque. Si 11 c'est deux "1", trois "1" c'est 111 et la constante du soleil (à découvrir plus loin), 11x11 c'est 121 avec 12 et 21 au tarot et X de + que 111. Alors 11 à 111, des jumeaux-gémeaux aux triplés : LN 2-3 ?. Bien noter que la lettre C (en forme de croissant de Lune) est la troisième de notre alphabet. (Et A & D sont incluses au début du mot DAme (voir ci-dessous), ainsi que dans Aldébaran (Constellation du Taureau), aussi bien (et au hasard ?) que dans DAnois et Arche D'alliance).
************ALBAE AD MES-SEM
Le cycle sidéral de 28 jours (27,32 exactement) est dit cycle féminin, il inclut les perspectives bien réelles de lune montante (jusqu'au signe du Cancer, tropique nord) et descendante (jusqu'au signe du Capricorne, tropique sud), le cycle synodique de 29,5 j (base mois et moi conçu) est en fait un rouage de fécondation luni-solaire et calendaire (la notion de Rebis).M est constitué de 2 lambdas mais aussi de 3 V dont 2 à l'en-vers. M est l'initiale de : MéridieNNe.
M stylisé pour Vierge et Scorpion: Ce Moi (Soleil + Lune) induira la notion de Mois en divisant l'année solaire par douze (mois) et autant de signes en un référentiel soli-lunaire "ajusté", le treizième mois de 11 jours n'existant pas en Occident, il est donc "absorbé" par prolongations de ces 29,5 j synodiques à 30 ou 31 j (outre 28 et 29) mensuels, en toute commodité, et c'est paradoxalement avec cette notion de 11 qu'apparaîtra le 13° signe à lyre (!) à l'intérieur du zodiaque. Si 11 c'est deux "1", trois "1" c'est 111 et la constante du soleil (à découvrir plus loin), 11x11 c'est 121 avec 12 et 21 au tarot et X de + que 111. Alors 11 à 111, des jumeaux-gémeaux aux triplés : LN 2-3 ?. Bien noter que la lettre C (en forme de croissant de Lune) est la troisième de notre alphabet. (Et A & D sont incluses au début du mot DAme (voir ci-dessous), ainsi que dans Aldébaran (Constellation du Taureau), aussi bien (et au hasard ?) que dans DAnois et Arche D'alliance).
************ALBAE AD MES-SEM
Et ce sont 28 jours retenus en sidéral au lieu de 27,32 par convenance de divisibilité hebdomadaire : 4x7, mais serait retenu en Inde la formule 27 jours = 3x9 (neuvaines). Ce cycle sidéral de 28 jours est de fait inclus dans celui synodique de 29,5 jours, le premier correspond à une heure sur une pendule (12 x 5 mn), le second correspond à l'espace de temps d'une rencontre à une autre des deux aiguilles (13 x 5 mn). Ainsi par ex. à midi les deux aiguilles sont jointes, et de 12 à 13 h : un cycle sidéral, qui poussé à 13 h 05 en conjonction des 2 aiguilles devient synodique.
Trois abbés se seront intéressés de très près à l'astrologie et ont développé autour de cette discipline leurs œuvres :
- Bérenger Saunière à Rênes-LeXTao,
- Henri Gillard à Tréhorenteuc,
- Théophile Moreux à Bourges.
Une page sera consacrée à chacun, déjà débutée pour Saunière.
Ci-dessous : A & D de part et d'autre du losange sur arbre gêné à logique (avec 6 poteaux à Droite et 5 à gAuche, total 11).
- 3 Bis°) Tresser sans stress un CAs pris corne vrillé qui sous l'égide de 2 cycles serait unicorne
Le donjon du château de Chambord est constitué d'un puits central entouré par un escalier à double révolution, l'ensemble tel le caducée de Mercure, apte à schématiser les deux axes liés aux deux derniers cycles du paragraphe 3 (anomalistique et draconitique) entourant le premier cycle dans sa virtualité à passer de sidéral à synodique.
Rien de mieux alors pour évoquer une licorne, sauf que celle-ci, conique, n'aurait pas l'ouverture nécessaire au sommet, contrairement au lieu évoqué ci-dessus.
Case tord ou case tort, en façon d'envisager un Pôle lux ?
La constellation du Petit Cheval est située juste au-dessus de celle du Capricorne.
Et celle de la Licorne sous le Cancer et les Gémeaux près Orion, entre Sirius et Procyon.
- Interlude à capter des chiffres du nombre d'or, d'écart 3 ascètes 2 et 5 allANt vers 52 semainesLe donjon du château de Chambord est constitué d'un puits central entouré par un escalier à double révolution, l'ensemble tel le caducée de Mercure, apte à schématiser les deux axes liés aux deux derniers cycles du paragraphe 3 (anomalistique et draconitique) entourant le premier cycle dans sa virtualité à passer de sidéral à synodique.
Rien de mieux alors pour évoquer une licorne, sauf que celle-ci, conique, n'aurait pas l'ouverture nécessaire au sommet, contrairement au lieu évoqué ci-dessus.
Case tord ou case tort, en façon d'envisager un Pôle lux ?
La constellation du Petit Cheval est située juste au-dessus de celle du Capricorne.
Et celle de la Licorne sous le Cancer et les Gémeaux près Orion, entre Sirius et Procyon.
- Septenaire : 2 luminaires et 5 planètes.
- Cycle Anomalistique : 8 ans et 6 mois pour l'apogée-périgée lunaire.
- Cycle Draconique : 18 ans et 6 mois pour les nœuds lunaires.
- Deux axes : 1 et 1, avec insinuation du 11 autour d'un 6, et donc à la 11° lettre (K), ainsi qu'aux Gémeaux et au Caducée de Mercure ou encore 1+1 = 2 qui allié au 8 rejoint l'idée du cycle lunaire sidéral de 28 jours.
- Accessoirement et à découvrir par la suite : 16 est le nombre de cases du carré de Jupiter et 34 sa constante, également somme de 16 + 18.
- Ne pas oublier le 0 avec sa forme en œuf, entouré par 3 et 1+8 pour 9. Sans oublier que 3,1416 (π) y figure autour de 8 et 0.
Et 1681 = 41², 41 case centrale du carré de la Lune (à voir plus loin § 4-Q).
Mais dans la formule du nombre d'or, 1,2 et √5 doivent interpeller le cavalier d'échecs de façon isiaque puisque 1² + 2² = 5 ou V romain. La marche du cavalier trouve son origine dans les dimensions du triangle aurigène (au nom sans équivoque). On se souviendra de la constellation de Pégase (avec son carré) située en haut du vase constitué par la constellation des Poissons. De plus 1,2,5 sont aussi les chiffres de 52 semaines pour 1 an (semaine, calembour sème aiNe).
- 3 Ter°) Les Gémeaux et l'indivi-dualité,
c'est alors qu'ils seraient deux à l'étroit ?
3° signe, ils sont à retouver sur plusieurs paragraphes de ce blog où il sera largement question de gémellité. Ce 1 & 1 qui fait à la fois 2 ou 11 n'y est pas étranger, d'ailleurs II est le "2" romain qui reste la meilleure représentation des Gémeaux à travers la propre ambiguïté de ce nombre avec le 11.
La constellation des Gémeaux se situe tout en bout de la diagonale d'Orion (de Rigel à Bételgeuse), et au-dessus de Sirius et Procyon (respectivement des constellations des grand et petit chiens, séparées par celle de la licorne).
Cette constellation d'Orion, même si elle ne s'inscrit pas sur l'écliptique a son importance dans la nomenclature astrologique.
Les pieds des Gémeaux sont situés sur la Voie Lactée, qui les sépare de la constellation du Taureau en se prolongeant vers celle de la Licorne à l'horizon.
La constellation des Gémeaux sépare celles du Taureau et du Cancer, cette dernière est en forme de K (11° lettre), et l'un des Gémeaux est Castor.
Noter que sur l'arcane 19 au Tarot : le Soleil brille (et avec ses 16 rayons : 2 bleus, 2 blancs, 3 verts, 4 jaunes, 5 rouges) apparemment pour deux, un peu comme la Louve de Rome avec Rémus et Romulus ?
Cependant que de gémellité planent toujours les ombres de ces deux axes : l'axe nodal (nœuds lunaires) et le grand axe (apogée-périgée), tels 2 éléments autour d'un troisième : l'écliptique passant par Régulus (son référentiel), le tout bien visible sur l'image de droite.
Le signe des Gémeaux avec Astrotheme, lien cliquable.
Gémellité où intercaler le 11 pour gémellite-différentiation : fraternité (Isis-Osiris) et/ou sexualité avec Castor M et Pollux F.
Challenge des Gémeaux : la notion de fécondité in situ.
c'est alors qu'ils seraient deux à l'étroit ?
3° signe, ils sont à retouver sur plusieurs paragraphes de ce blog où il sera largement question de gémellité. Ce 1 & 1 qui fait à la fois 2 ou 11 n'y est pas étranger, d'ailleurs II est le "2" romain qui reste la meilleure représentation des Gémeaux à travers la propre ambiguïté de ce nombre avec le 11.
La constellation des Gémeaux se situe tout en bout de la diagonale d'Orion (de Rigel à Bételgeuse), et au-dessus de Sirius et Procyon (respectivement des constellations des grand et petit chiens, séparées par celle de la licorne).
Cette constellation d'Orion, même si elle ne s'inscrit pas sur l'écliptique a son importance dans la nomenclature astrologique.
Les pieds des Gémeaux sont situés sur la Voie Lactée, qui les sépare de la constellation du Taureau en se prolongeant vers celle de la Licorne à l'horizon.
La constellation des Gémeaux sépare celles du Taureau et du Cancer, cette dernière est en forme de K (11° lettre), et l'un des Gémeaux est Castor.
Noter que sur l'arcane 19 au Tarot : le Soleil brille (et avec ses 16 rayons : 2 bleus, 2 blancs, 3 verts, 4 jaunes, 5 rouges) apparemment pour deux, un peu comme la Louve de Rome avec Rémus et Romulus ?
Cependant que de gémellité planent toujours les ombres de ces deux axes : l'axe nodal (nœuds lunaires) et le grand axe (apogée-périgée), tels 2 éléments autour d'un troisième : l'écliptique passant par Régulus (son référentiel), le tout bien visible sur l'image de droite.
Le signe des Gémeaux avec Astrotheme, lien cliquable.
Gémellité où intercaler le 11 pour gémellite-différentiation : fraternité (Isis-Osiris) et/ou sexualité avec Castor M et Pollux F.
Challenge des Gémeaux : la notion de fécondité in situ.
- 3° Quater) L'étroit critère du temps suivant l'indice pensable apporté des pôles en ad-équate heure :
- Un An : Le Soleil met un an à tourner autour de la Terre, en fait c'est l'inverse mais la sensation est la même et le résultat aussi : 365 jours et 12 signes du zodiaque.
- Un "Moi-s" : La Lune éclairée par le Soleil (cycle synodique) met 29,5 jours d'une nouvelle lune à l'autre ou d'une pleine lune à l'autre (c'est la lunaison du calendrier : LN-PQ-PL-DQ) en fait elle parcourt 12 signes au titre de son cycle sidéral et 1 de plus d'ajustement avec le Soleil (Cf. les deux aiguilles d'une pendule). Elle reste entre 2 et 3 jours dans un même signe, suivant apogée ou périgée, soit 2,5 jours en moyenne.
- Un Jour : La Terre tourne sur elle-même en 1 jour (de 24 heures) et l'ascendant parcourt les 12 signes du zodiaque à ce titre, au rythme de 1° d'arc toutes les 4 minutes de temps.
- Un An : Le Soleil met un an à tourner autour de la Terre, en fait c'est l'inverse mais la sensation est la même et le résultat aussi : 365 jours et 12 signes du zodiaque.
- Un "Moi-s" : La Lune éclairée par le Soleil (cycle synodique) met 29,5 jours d'une nouvelle lune à l'autre ou d'une pleine lune à l'autre (c'est la lunaison du calendrier : LN-PQ-PL-DQ) en fait elle parcourt 12 signes au titre de son cycle sidéral et 1 de plus d'ajustement avec le Soleil (Cf. les deux aiguilles d'une pendule). Elle reste entre 2 et 3 jours dans un même signe, suivant apogée ou périgée, soit 2,5 jours en moyenne.
- Un Jour : La Terre tourne sur elle-même en 1 jour (de 24 heures) et l'ascendant parcourt les 12 signes du zodiaque à ce titre, au rythme de 1° d'arc toutes les 4 minutes de temps.
- Transition 3 à 4, c'est encore isiaque, what Isis ?
Casse tête que 1 & 3 fondent 13 tel 1 et 3 font 4 ? Soleil 1 (cycle), Lune 3, et score PionS de treize hors cubes isiaques au turn-over à in-sis-tance numérique
Le triangle isiaque au 3 et 4 genrés et même sexués en fonction de la présence insistante du 5 (V romain graalesque de l'hypoténuse). Déjà le 3 au féminin par les trois cycles afférents à la Lune, quant au Soleil le 4 est le troisième nombre de la suite géométrique de raison 2 et de premier terme 1 (1,2,4,8,16,35,64...), permettent alors de zapper les 1 et 2 qui possèdent des conditions particulières de produit et de somme, tout en évoquant le "jeu" de 421 ou l'on retrouve le 12 du pendu au tarot ainsi que le 21 du monde. Le nombres 1 et 2 étant déjà exclus de l'approche en 3 à 9 des nombres référents d'ordre aux carrés dits planétaires (à retrouver plus loin) ces 3 et 9 dont l'un est le carré de l'autre étant à retrouver dans le nombre 39. On aura noté que dans le contexte isiaque qui nous intéresse ici : 9 = 5 + 4, qui avec 3 composent le triangle. Et comme 34 est la constante du carré de Jupiter (à découvrir plus l'oint)...
Noter bien que 4,2,1 sont des nombres qui relèvent de l'arbre généalogique.
C'est aussi que 1 + 2 = 3 (D-I-A), allié au 4 pour le 5 (V) avec le triangle isiaque.
Enfin comment passer sous silence que 34 chez Fibonacci est suivi par 55, lui-même suivi de 89 ?
Et que Jupiter (34) est constitué de Jup-i-ter, que "plus" est constitué de 4 lettres et "par" de 3 lettres...
De la même façon pour Yang (4) et Yin (3).
Remarquer que 3,4,5 est une suite natuelle de 3 chiffres, et 4,5,6 aussi, mais à lire d'aigle fin sur le sceau du carré de Saturne.
Ci-dessous au centre 4 x 2 dimensions isiaques en triangles 3,4,5 par groupes de deux (3x4) dans un carré de 49 (Vénus, et 4 + 9 = 13) à case centrale 25, ou 48 (ou 6x8) + 1, formant outre un svastika pour évoquer la précession et surtout une clé alchimique à rapprocher de la pieuvre sur le fond (octogone) et de la constellation d'H-er-cul-e pour la forme.
Challenge Vénus - Pieuvre par n'œuf : 8 tentacules isiaques + 1 case centrale (25).
Casse tête que 1 & 3 fondent 13 tel 1 et 3 font 4 ? Soleil 1 (cycle), Lune 3, et score PionS de treize hors cubes isiaques au turn-over à in-sis-tance numérique
Le triangle isiaque au 3 et 4 genrés et même sexués en fonction de la présence insistante du 5 (V romain graalesque de l'hypoténuse). Déjà le 3 au féminin par les trois cycles afférents à la Lune, quant au Soleil le 4 est le troisième nombre de la suite géométrique de raison 2 et de premier terme 1 (1,2,4,8,16,35,64...), permettent alors de zapper les 1 et 2 qui possèdent des conditions particulières de produit et de somme, tout en évoquant le "jeu" de 421 ou l'on retrouve le 12 du pendu au tarot ainsi que le 21 du monde. Le nombres 1 et 2 étant déjà exclus de l'approche en 3 à 9 des nombres référents d'ordre aux carrés dits planétaires (à retrouver plus loin) ces 3 et 9 dont l'un est le carré de l'autre étant à retrouver dans le nombre 39. On aura noté que dans le contexte isiaque qui nous intéresse ici : 9 = 5 + 4, qui avec 3 composent le triangle. Et comme 34 est la constante du carré de Jupiter (à découvrir plus l'oint)...
Noter bien que 4,2,1 sont des nombres qui relèvent de l'arbre généalogique.
C'est aussi que 1 + 2 = 3 (D-I-A), allié au 4 pour le 5 (V) avec le triangle isiaque.
Enfin comment passer sous silence que 34 chez Fibonacci est suivi par 55, lui-même suivi de 89 ?
Et que Jupiter (34) est constitué de Jup-i-ter, que "plus" est constitué de 4 lettres et "par" de 3 lettres...
De la même façon pour Yang (4) et Yin (3).
Remarquer que 3,4,5 est une suite natuelle de 3 chiffres, et 4,5,6 aussi, mais à lire d'aigle fin sur le sceau du carré de Saturne.
Ci-dessous au centre 4 x 2 dimensions isiaques en triangles 3,4,5 par groupes de deux (3x4) dans un carré de 49 (Vénus, et 4 + 9 = 13) à case centrale 25, ou 48 (ou 6x8) + 1, formant outre un svastika pour évoquer la précession et surtout une clé alchimique à rapprocher de la pieuvre sur le fond (octogone) et de la constellation d'H-er-cul-e pour la forme.
Challenge Vénus - Pieuvre par n'œuf : 8 tentacules isiaques + 1 case centrale (25).
- 4°) Quatre saisons, entre solstices et tropiques, et signes cadrés à une réalité de la durée jour VS nuit, le mode de-contraste-est S'Impose en harmonique binaire
« La quadripartition de l’horizon par les points équinoxiaux et solsticiaux enseigne la grande croix du monde, qui sépare, divise, mais aussi ordonne, mesure et révèle l’intelligibilité de la roue cosmique.»
Jean Borella
Dans l'image à droite, et en haut : petit rond blanc dans grand encadrement noir = solstice d'hiver, point où la durée du jour est la plus courte. En bas c'est l'inverse qui se produit au solstice d'été, point où la durée de la nuit est la plus courte. C'est l'alternance semestrielle de dominance jour-nuit en terme de durée. Moyens d'équateur (équinoxes) pour extrêmes de tropiques (solstices) : croissance et dominance respective, c'est ci-dessus à droite comme à gauche et bien explicite :
Sur les côtés : à gauche et en descendant c'est la croissance de la durée du jour entre le solstice d'hiver et le solstice d'été, à droite et en montant c'est la croissance de la durée de la nuit entre le solstice d'été et le solstice d'hiver. L'accession de la croissance à la dominance se faisant à partir de chaque équinoxe.
Ainsi se produit une pertinence de relation d'opposition différentielle dans le rapport de durée jour-nuit d'une année solaire complète, ce qu'exprime à merveille le sigle du Tao inclus à l'intérieur du zodiaque (et siège du 13° signe en occident) : le Tao, binaire harmonique.
Sur l'image à gauche est mis en évidence chaque signe dit fixe de saison (en A, comme Action avec couleur d'élément correspondante) parmi les quatre quarts (C,A,R, pour Création, Action, Réaction) du cercle zodiacal d'origine écliptique. Voir également le § 4 Bis en méthode d'optimisation des couleurs. Le fait que les saisons soient bien marquées en occident justifie la croix cardinale formée par les solstices et les équinoxes.
« La quadripartition de l’horizon par les points équinoxiaux et solsticiaux enseigne la grande croix du monde, qui sépare, divise, mais aussi ordonne, mesure et révèle l’intelligibilité de la roue cosmique.»
Jean Borella
Dans l'image à droite, et en haut : petit rond blanc dans grand encadrement noir = solstice d'hiver, point où la durée du jour est la plus courte. En bas c'est l'inverse qui se produit au solstice d'été, point où la durée de la nuit est la plus courte. C'est l'alternance semestrielle de dominance jour-nuit en terme de durée. Moyens d'équateur (équinoxes) pour extrêmes de tropiques (solstices) : croissance et dominance respective, c'est ci-dessus à droite comme à gauche et bien explicite :
Sur les côtés : à gauche et en descendant c'est la croissance de la durée du jour entre le solstice d'hiver et le solstice d'été, à droite et en montant c'est la croissance de la durée de la nuit entre le solstice d'été et le solstice d'hiver. L'accession de la croissance à la dominance se faisant à partir de chaque équinoxe.
Ainsi se produit une pertinence de relation d'opposition différentielle dans le rapport de durée jour-nuit d'une année solaire complète, ce qu'exprime à merveille le sigle du Tao inclus à l'intérieur du zodiaque (et siège du 13° signe en occident) : le Tao, binaire harmonique.
Sur l'image à gauche est mis en évidence chaque signe dit fixe de saison (en A, comme Action avec couleur d'élément correspondante) parmi les quatre quarts (C,A,R, pour Création, Action, Réaction) du cercle zodiacal d'origine écliptique. Voir également le § 4 Bis en méthode d'optimisation des couleurs. Le fait que les saisons soient bien marquées en occident justifie la croix cardinale formée par les solstices et les équinoxes.
- 4 Bis°) Les quatre éléments avec leurs couleurs respectives, à deux codes de triade en 3 sur 4 par deux négatives, parties prenantes de l'alchimie : le vert n'est pas couleur primaire autant que le feu en rouge n'est pas un état de la matière, et qui de la nef définissent op-port-unément bâbord et tribord, à naviguer sur cette naturelle logique à l'an-cienne de 3 cycles lunaires contre 1 seule écliptique solaire
Les 3 couleurs primaires, les 3 G en teinture à l'ancienne Gaude, Guède, Garance, ou Bleu, Jaune, Rouge (façon drapeau Andorran), attribués respectivement aux éléments Air, Terre, Feu.
1 couleur secondaire, autrefois Prasine devenue Sinople (anagramme : Epsilon) : le vert (phonologie : vair), qui peut-être obtenu aussi à partir de deux des couleurs primaires parmi les teintes ci-dessus : Bleu + Jaune (Ara-mis ?).
Les trois états de la matière, air, terre, eau, et leur couleur respective ou les 3 V (comme LN-2-3 ?) : bleu + jaune ayant option à devenir à deux vert par destination, à la façon de celui existant déjà constituent ensemble les trois signes de l'hiver (précisement) dont le verseau au centre ("ligne du haut" sur l'image à gauche), qui fait face à l'été et à la quatrième couleur (en-dessous) d'Art stagnant, saignant et seyant : le rouge, le Feu du Lion, les quatre couleurs étant disposées en T (dont évocation du Yin et du Yang, à 3 et 4 lettres), à retrouver en T inversé § 10. En effet, cette forme de "conflit d'intérêts" entre les 3 G et 3 V trouve sa résolution (à quatre) dans le "synodique" puisqu'à ce jeu-là c'est le concept 3 V qui gagne in fine par nécessité d'une logique de genre : 3 au féminin (fait mine un) et 1 (phallique) au masculin = 13 ou 11.
Image ci-dessous : Bio-dynamie pratiquée en agriculture, calendrier lunaire constellations vs signes.
Racines (F), Feuilles (F), Fleurs (M), Fruits (M).
Ci-dessus le hachuré Pourpre-Sinople formant un V, et à l'inversé une étrave. Ce sont des dispositions façon diagonales. En terme de marine : bâ-bord rouge, tri-bord vert (tri préfixe pour trois...façon trèfle), à la façon du masculin-féminin à 1 vs 3 qui insinue le nombre 13 comme proposé par la constellation du Scorpion (ci-dessus en haut à droite). Autre chose et pas des moindres : le terme de sinople désignait autrefois une couleur rouge (initialement teinte de terre de Sinope (en actuelle Turquie), au bord de la Mer Noire, dont...Diogène !) et à partir de la fin du XIV°s. indiquera une couleur verte en remplacement du terme Prasine (vert poireau). La consonnance de la syllabe "ver" est sans doute la plus riche de la langue française (vert, ver, vair, vers...), ainsi qu'en préfixes et suffixes, tout autant que cette expression très colorée intéressante : "au dia-ble(u) vau(t)-vert" (d-i-a déjà aperçu dans Pléiades et à découvrir dans diagonales, outre D et A, avec Vauvert situé en Camargue), et une autre de même acabit mais à recontextualiser : Et in arc à DiA eg(g)-O pour et in arcadia ego (une page y est consacrée, qui est à compléter).
N'oublions pas non plus l'avertie qualité de la verticalité au féminin (syndrome des poupées russes aperçu dans un § plus haut)...
Image au-dessus à droite : le sable y est parmi les 8 "couleurs gravées" en héraldique, où une composition Pourpre + Sinople réaliserait des losanges (en superposé) ou des lambdas (côte à côte) façon étraves de bateaux.
Challenge Bâbord-Tribord : page SchrÖdinger et PoissonS car Sinople & Pourpre = V de hachures.
Les 3 couleurs primaires, les 3 G en teinture à l'ancienne Gaude, Guède, Garance, ou Bleu, Jaune, Rouge (façon drapeau Andorran), attribués respectivement aux éléments Air, Terre, Feu.
1 couleur secondaire, autrefois Prasine devenue Sinople (anagramme : Epsilon) : le vert (phonologie : vair), qui peut-être obtenu aussi à partir de deux des couleurs primaires parmi les teintes ci-dessus : Bleu + Jaune (Ara-mis ?).
Les trois états de la matière, air, terre, eau, et leur couleur respective ou les 3 V (comme LN-2-3 ?) : bleu + jaune ayant option à devenir à deux vert par destination, à la façon de celui existant déjà constituent ensemble les trois signes de l'hiver (précisement) dont le verseau au centre ("ligne du haut" sur l'image à gauche), qui fait face à l'été et à la quatrième couleur (en-dessous) d'Art stagnant, saignant et seyant : le rouge, le Feu du Lion, les quatre couleurs étant disposées en T (dont évocation du Yin et du Yang, à 3 et 4 lettres), à retrouver en T inversé § 10. En effet, cette forme de "conflit d'intérêts" entre les 3 G et 3 V trouve sa résolution (à quatre) dans le "synodique" puisqu'à ce jeu-là c'est le concept 3 V qui gagne in fine par nécessité d'une logique de genre : 3 au féminin (fait mine un) et 1 (phallique) au masculin = 13 ou 11.
Image ci-dessous : Bio-dynamie pratiquée en agriculture, calendrier lunaire constellations vs signes.
Racines (F), Feuilles (F), Fleurs (M), Fruits (M).
Ci-dessus le hachuré Pourpre-Sinople formant un V, et à l'inversé une étrave. Ce sont des dispositions façon diagonales. En terme de marine : bâ-bord rouge, tri-bord vert (tri préfixe pour trois...façon trèfle), à la façon du masculin-féminin à 1 vs 3 qui insinue le nombre 13 comme proposé par la constellation du Scorpion (ci-dessus en haut à droite). Autre chose et pas des moindres : le terme de sinople désignait autrefois une couleur rouge (initialement teinte de terre de Sinope (en actuelle Turquie), au bord de la Mer Noire, dont...Diogène !) et à partir de la fin du XIV°s. indiquera une couleur verte en remplacement du terme Prasine (vert poireau). La consonnance de la syllabe "ver" est sans doute la plus riche de la langue française (vert, ver, vair, vers...), ainsi qu'en préfixes et suffixes, tout autant que cette expression très colorée intéressante : "au dia-ble(u) vau(t)-vert" (d-i-a déjà aperçu dans Pléiades et à découvrir dans diagonales, outre D et A, avec Vauvert situé en Camargue), et une autre de même acabit mais à recontextualiser : Et in arc à DiA eg(g)-O pour et in arcadia ego (une page y est consacrée, qui est à compléter).
N'oublions pas non plus l'avertie qualité de la verticalité au féminin (syndrome des poupées russes aperçu dans un § plus haut)...
Image au-dessus à droite : le sable y est parmi les 8 "couleurs gravées" en héraldique, où une composition Pourpre + Sinople réaliserait des losanges (en superposé) ou des lambdas (côte à côte) façon étraves de bateaux.
Challenge Bâbord-Tribord : page SchrÖdinger et PoissonS car Sinople & Pourpre = V de hachures.
- 4 Ter°) Quatrième signe : le Cancer et son CAs
Il se définit comme celui qui fait entrer le soleil dans la saison d'été juste après le solstice éponyne. C'est le début de la croissance de la durée de la nuit (1° phase) dans la 4° phase de dominance du jour acquise au début en point vernal.
Il est considéré iniitalement comme le seul vrai domicile de la Lune. Dans le ciel la constellation du Cancer a la forme d'un K (une lettre -la 11°- à retrouver par la suite).
A noter que le crabe, son représentant animal, possède huit pattes, deux pinces et une carapace.
Son logo, lui, se présente sous forme d'un 6 et d'un 9 allongés. Total 15 constante de Saturne, le Cancer ainsi que le Lion font face aux signes saturniens.
N.B.: C'est dans le signe du Cancer que la Lune est la plus haute dans le ciel et qu'elle commence à redescendre. Elle est alors en effet plus ou moins tangentielle au tropique nord, suivant le positionnement les nœuds lunaires. Cette montée et descente de la Lune s'insère dans le cycle sidéral de la Lune (§3) d'une durée de 28 jours (27,32 exactement).
Schéma à droite : Construction d'un QUAtre dans le carré de Mars par triangulations en référence au triangle d'été (Cygne et Aigle). Triangle isiaque au centre avec dimensions : en haut 5 biais, à droite 4 + 1 biais, en bas 3 + 2 biais, tous de pente similaire. Le triangle au centre possédant une option isocèle 2 x 5 biais avec base 3 biais. Les deux triangles de droite sont intéressants aussi : 1 & 2 en bas, et 2 & 4 en haut, exprimant la même proportion que la somme des deux à 2,5 x 5 sur la base d'une unité différente que les précédents (unité de carreau droite et non en biais) et deux même nature que deux autres triangles (à gauche).
Le numéro d'ordre du carré de Jupiter se retrouvant ici intégré dans le carré de Mars (voir les carrés plus loin).
Image-dessin à gauche : K SPécifiquement dessiné pour le CAdre de sa fonction, où L = 50 en chiffres romains.
Et 2 L (tels deux 1) = 100, consonnance sans, cent, sang, ce L qui appelle une hypothétique hypoténuse pour constituer un tri-angle, laquelle sera aussi ici la diagonale d'un rectangle.
Le signe du Cancer avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge du Cancer : le K et les deux aiLes.
Il se définit comme celui qui fait entrer le soleil dans la saison d'été juste après le solstice éponyne. C'est le début de la croissance de la durée de la nuit (1° phase) dans la 4° phase de dominance du jour acquise au début en point vernal.
Il est considéré iniitalement comme le seul vrai domicile de la Lune. Dans le ciel la constellation du Cancer a la forme d'un K (une lettre -la 11°- à retrouver par la suite).
A noter que le crabe, son représentant animal, possède huit pattes, deux pinces et une carapace.
Son logo, lui, se présente sous forme d'un 6 et d'un 9 allongés. Total 15 constante de Saturne, le Cancer ainsi que le Lion font face aux signes saturniens.
N.B.: C'est dans le signe du Cancer que la Lune est la plus haute dans le ciel et qu'elle commence à redescendre. Elle est alors en effet plus ou moins tangentielle au tropique nord, suivant le positionnement les nœuds lunaires. Cette montée et descente de la Lune s'insère dans le cycle sidéral de la Lune (§3) d'une durée de 28 jours (27,32 exactement).
Schéma à droite : Construction d'un QUAtre dans le carré de Mars par triangulations en référence au triangle d'été (Cygne et Aigle). Triangle isiaque au centre avec dimensions : en haut 5 biais, à droite 4 + 1 biais, en bas 3 + 2 biais, tous de pente similaire. Le triangle au centre possédant une option isocèle 2 x 5 biais avec base 3 biais. Les deux triangles de droite sont intéressants aussi : 1 & 2 en bas, et 2 & 4 en haut, exprimant la même proportion que la somme des deux à 2,5 x 5 sur la base d'une unité différente que les précédents (unité de carreau droite et non en biais) et deux même nature que deux autres triangles (à gauche).
Le numéro d'ordre du carré de Jupiter se retrouvant ici intégré dans le carré de Mars (voir les carrés plus loin).
Image-dessin à gauche : K SPécifiquement dessiné pour le CAdre de sa fonction, où L = 50 en chiffres romains.
Et 2 L (tels deux 1) = 100, consonnance sans, cent, sang, ce L qui appelle une hypothétique hypoténuse pour constituer un tri-angle, laquelle sera aussi ici la diagonale d'un rectangle.
Le signe du Cancer avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge du Cancer : le K et les deux aiLes.
- Complément pour 4 = 3 + 1 = IV tel C & A ou 1 + 3 très enrobé-enrôlé au treize, comme le berger Pâris avec son jugement au mont IDA, autant que M-ida-S à la source du p-AC-tole
CArrés, CAstor (CAse tort ou tord) un des Gémeaux, CAncer-CApricorne, Karma, Cygne et Aigle (constellations)...
Image à droite : tradition dans le Vallespir (66) à 1/4 vs 3/4, soit 3 vs 9 (mois).
Image à gauche : 1 axe vertical, le tout traversant deux "hémisphères" formant un 8 qui se divise en 2 x 3 d'effet miroir.
Comme en fait vrillé de licorne (ou pas) sur 4 ans, c'est 3 x 28 pour 1 seul 29, ce dernier en année bissextile.
Mais aussi x 3 + 1 dans la Conjecture de Syracuse, un peu comme 1 & 3 font 13 et x & + font octogone en r'ose d'évent.
A droite : 3 pieds établis pour les éléments Terre, Eau, Air (initiales TEA), un bâton creux laissant passer un rayon de Soleil pour l'élément Feu.
CArrés, CAstor (CAse tort ou tord) un des Gémeaux, CAncer-CApricorne, Karma, Cygne et Aigle (constellations)...
Image à droite : tradition dans le Vallespir (66) à 1/4 vs 3/4, soit 3 vs 9 (mois).
Image à gauche : 1 axe vertical, le tout traversant deux "hémisphères" formant un 8 qui se divise en 2 x 3 d'effet miroir.
Comme en fait vrillé de licorne (ou pas) sur 4 ans, c'est 3 x 28 pour 1 seul 29, ce dernier en année bissextile.
Mais aussi x 3 + 1 dans la Conjecture de Syracuse, un peu comme 1 & 3 font 13 et x & + font octogone en r'ose d'évent.
A droite : 3 pieds établis pour les éléments Terre, Eau, Air (initiales TEA), un bâton creux laissant passer un rayon de Soleil pour l'élément Feu.
- 4 Quater°) Carrés astrologiques médiévaux d'ordre 3 à 9 ensablés d'identités graphiques à rebondissements : interférences et conjectures pour opportunismes suggestifs en numérologie, dans un défilé de cases rôles, ursines ou pas, en abaque à justifier le septenaire et bien plus
Ces notions ne sont pas indispensables en astrologie des prévisions et des caractères, là où un carré ne représente qu'une angularité de 90° dans un thème, du type solstice vs équinoxe.
Mais elles sont très importantes en astrologie des structures dans la mesure où elles gèrent l'inconscient collectif issu d'une longue tradition astro en permettant des représentations schématiques.
Ces carrés (à double formulation : naturelle et ordonnancée) sont apparus officiellement aux XV° et XVI° siècles sous l'appellation pompeuse de "carrés magiques", en fait ils étaient connus bien avant par l'oligarchie médiévale et mis en place en Occident par le Pape de l'An Mil (savant de l'époque, mathématicien et astrologue) en adoptant les chiffres indo-arabes avec notamment l'usage du zéro, remplaçant en cela les chiffres romains (basés en fait sur des lettres-bâtons), avec qui ils vont pourtant cohabiter, ce qui va décupler les possibilités d'expressions figuratives et ceci pour le plus grand bonheur des alchimistes.
Image à droite un peu plus bas : Carré de Mars, en représentation de la constellation d'Hercule, avec case centrale et diagonales, Saint-Genis-des-Fontaines. Ces carrés existent en fait depuis la plus haute antiquité mais sans qu'il soit possible de leur accorder cette actuelle numérotation des cases, du moins avant Gerbert d'Aurillac. Ils vont se distinguer entre eux par carrés d'ordre impair à case centrale et pair sans, par le numéro de la case centrale réelle (ou donc fictive), par les diagonales indiquant d'entrée sur le carré naturel la constante du carré, voire plus sur les carrés d'ordre impair, et bien sûr chacun pouvant avoir sa propre spécificité. Tous cependant induisent nécessairement la notion d'octogone et de symétrie. Si un thème de naissance consiste à mettre une indivi-dualité en une sorte d'équation, ici ce sont les carrés astrologiques qui peuvent mettre en scène comportements collectifs et archétypes (voir aussi § 7 Ter).
Image ci-dessus à gauche : l'étoile polaire actuelle, déterminée ici avec les ourses, avec un pas très lent : 1° d'arc pour 72 ans.
Image plus haut à droite : en héraldique le sable fait partie des émaux, est noir et à carrés.
Des carrés (ou rectangles) parmi les constellations (et leur quasi-direction respective) : Cocher (Taureau), Grande Ourse (Lion), Hercule (Scorpion), Pégase (Verseau). Petite Ourse (intérieure au Dragon).
Vidéo sur les ourses en lien : 🎬 (mythologie).
Challenge des carrés et autres quadrilatères : Mondrian.
- Astrologie, Numérologie et Tarologie sont très liées, même ici la numérotation de tous les paragraphes a été choisie en conséquence, et fonction de spécifités numériques à y développer opportunément, ou autres amalgames équivoques entre chiffres romains et lettres et c'est aussi que chaque forme suggérée ainsi aura son importance...Ces notions ne sont pas indispensables en astrologie des prévisions et des caractères, là où un carré ne représente qu'une angularité de 90° dans un thème, du type solstice vs équinoxe.
Mais elles sont très importantes en astrologie des structures dans la mesure où elles gèrent l'inconscient collectif issu d'une longue tradition astro en permettant des représentations schématiques.
Ces carrés (à double formulation : naturelle et ordonnancée) sont apparus officiellement aux XV° et XVI° siècles sous l'appellation pompeuse de "carrés magiques", en fait ils étaient connus bien avant par l'oligarchie médiévale et mis en place en Occident par le Pape de l'An Mil (savant de l'époque, mathématicien et astrologue) en adoptant les chiffres indo-arabes avec notamment l'usage du zéro, remplaçant en cela les chiffres romains (basés en fait sur des lettres-bâtons), avec qui ils vont pourtant cohabiter, ce qui va décupler les possibilités d'expressions figuratives et ceci pour le plus grand bonheur des alchimistes.
Image à droite un peu plus bas : Carré de Mars, en représentation de la constellation d'Hercule, avec case centrale et diagonales, Saint-Genis-des-Fontaines. Ces carrés existent en fait depuis la plus haute antiquité mais sans qu'il soit possible de leur accorder cette actuelle numérotation des cases, du moins avant Gerbert d'Aurillac. Ils vont se distinguer entre eux par carrés d'ordre impair à case centrale et pair sans, par le numéro de la case centrale réelle (ou donc fictive), par les diagonales indiquant d'entrée sur le carré naturel la constante du carré, voire plus sur les carrés d'ordre impair, et bien sûr chacun pouvant avoir sa propre spécificité. Tous cependant induisent nécessairement la notion d'octogone et de symétrie. Si un thème de naissance consiste à mettre une indivi-dualité en une sorte d'équation, ici ce sont les carrés astrologiques qui peuvent mettre en scène comportements collectifs et archétypes (voir aussi § 7 Ter).
Image ci-dessus à gauche : l'étoile polaire actuelle, déterminée ici avec les ourses, avec un pas très lent : 1° d'arc pour 72 ans.
Image plus haut à droite : en héraldique le sable fait partie des émaux, est noir et à carrés.
Des carrés (ou rectangles) parmi les constellations (et leur quasi-direction respective) : Cocher (Taureau), Grande Ourse (Lion), Hercule (Scorpion), Pégase (Verseau). Petite Ourse (intérieure au Dragon).
Vidéo sur les ourses en lien : 🎬 (mythologie).
Challenge des carrés et autres quadrilatères : Mondrian.
(I = 1, V = 5, X = 10, L = 50, C = 100, D = 500 et M = 1000),
et toujours avoir à l'esprit à la foi(s) Pythagore (*) et Fibonacci (*).
Emissions de formes et Théorie des Signatures également présentes
Pour l'astrologue médiéval, de même que pour le métaphysicien d'alors le chiffre n'indiquait pas qu'une quantité mais signifiait aussi une qualité à laquelle il participait, la forme géométrique était indissociable d'une dimension symbolique, qualitative.
Faire le point entre Soleil et Lune et Soli-Lunaire, où sont recherchés les nombres entiers :
Année solaire 1 tour : 365 jours
Année lunaire 13 tours de 28 jours = 364 jours (en réalité 27,32 x 13 = 355,16, différence 9), mais 28 est un entier divisible par 4, contrairement à 27,32 (en Inde serait retenu 27, divisible par 3).
Différence : 1 jour (ou 10 dans le second cas).
Soleil + Lune : 29,5 jours d'une Nouvelle Lune à l'autre (remarquer NL, comme LN inversé), et 29,5 x 12 = 354, des chiffres isiaques (pythagore), en réalité avec les décimales : 12 × 29,5306 = 354,3672 jours.
Différence avec l'année solaire pure de 365 jours : 11 jours d'intercalation, à pouvoir justifier d'un treizième signe de 11 jours dans un contexte de 12 autres de 29,5 jours, ceci de façon inégalitaire.
Cependant que ce treizième signe va se retrouver au centre du zodiaque où les 12 signes l'entourant seront de 30° pour 1/12 de 360 (sexagésimal), où l'on ajoute 5 (V) jours épagomènes pour 365 jours, avec des mois qui feront 30,31,et 28 ou 29 jours.
Fibonacci : 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144, 233, 377, 610, 987, 1 597, 2 584, 4 181, …
- 5°) Rouages des astres à Valeur V romain de palindrome, ciblé 5 sur 5 vers un développement métaphorique triangulaire isiaque & aurigène quand l'équilatéral est sorti de son cercle.
Il s'agit ici du carré de Mars à 25 cases et du fameux palindrome afférent à celui-ci dont on retrouve trace jusqu'à Pompéi. L'ordonnancement à partir de la constante indiquée par les diagonales au naturel (65) et toujours avec la case centrale 13, est ici effectué pour obtenir un losange de nombres impairs avec les nombres pairs dans les coins du carré (à en évoquer un as de carreau !).
Sur le palindrome, et en résonnance avec le 13 central du carré, on notera surtout le N central (consonnance aiNe, de forme en V, comme le 5 romain) et le mot formé en bas : ROTAS, roue, rouages, soulignant l'importance des cycles astraux et en premier lieu celui du soleil qui rythme les saisons dans une société agraire. Bardons de V l'ère ?
Le carré de 25 cases peut intégrer facilement des triangles à spécificités géométriques (l'isiaque et l'aurigène) : voir page Pythagore.
Plus haut à droite le V romain (5) qui peut être présenté comme prédestiné à un "y" pour insinuer la réunion de deux éléments (tels la Saône et le Rhône à Lyon), outre le fait qu'un V peut représenter une barre transversale d'un N avec sa disposition symétrique pour un N inversé, et autant que le N peut se diviser en un V inversé (Lambda) suivi d'un I : ∧I.
A droite : quand 13 et 12 sont liés au 5 graalesque, en même temps : 13 + 12 = 25.
Ci-dessous : Quand 25 cases se retrouvent en cercle à 24 + 1, ce dernier (adoubé à double portion) avec accès au centre (V de pentagramme). Egalement un vidéo à propos du papyrus disponible ici. - Interlude de 5°) V = 4 + 1 d'une quintessence lunaire ou pas, quatrain à Chiner dans l'air dû tant, c'est un fait : 4 x 90°= 360 = (4 + 1) x 72° ou encore 360° = 4 x 72° + 4 x 18°
Il arrive aussi que certaines civilisations comptent 5 saisons (Chine) et d'autres 3 (Egypte ancienne : 1) Akhet (Akhit) ou Hekhet « Inondation », 2) Peret (Perit) « Émergence (des terres) », 3) Chémou (Shemou) « Chaleur »).
Le bestiaire chinois est composé de cinq animaux mythiques (image à droite), que l'on ne retrouve pas tous sur leur zodiaque marso-jupitérien.
Tortue noire ou bleue d'Eau (Nord), Dragon vert de Bois (Est), Phénix rouge de Feu (Sud), Tigre blanc de Métal (Ouest), Serpent jaune de Terre (Centre et intersaisons - à se déployer en X).
Cependant que la tortue pourrait bien concerner aussi l'occident, voir § 13 Ter.
L'astrologie chinoise teint compte essentiellement des transits de Mars (biennal, Yin-Yang) et de ceux de Jupiter : 12 ans (un signe par an), un nombre commun avec l'Occident où cela concerne la division de l'année en mois avec un signe par mois ou 12 luni-solaires de 29,5 arrangés solaire à 365. Noter aussi 5 agents chinois (Eau, Bois, Feu, Métal, Terre), à mettre en relation éventuellement avec le pentagramme de Vénus, contre 4 éléments en occident (dont l'Air de l'ère), en gras dans le texte.
Mais en Occident 4 & 1 correspondent au quatrain D & A dans un abécédaire, et déjà rencontrés avec Les Pléiades, les axes Draconitique et Anomalistique, et la triade Deneb - Véga - Altaïr, du triangle d'été, outre AlDébaran (du Taureau), et une case 41 lunaire (de quintessence) à découvrir par la suite (§ 7 Ter). B-ain de four-mi-S où le geai se déchaîne en quinte de tout à l'ego d'un quatrain ?
- 5 Bis°) Cinquième signe : Le Lion, héritier d'une constellation au référentiel d'écliptique
Ci-dessous à gauche : chimère étrusque d'Arezzo, Lion, Capri-corne et Dragon, l'idée résumée de la précession.
(Voir également en bas de cette page l'archive N°1).
Car le signe du Lion spécialement notifié en astrologie pour représenter le feu et l'été est aussi le premier cité par la notion de précession par l'étoile Régulus de la constellation éponyme au plus près de l'écliptique (image à droite).
Mais cette constellation est située au-dessus de l'écliptique, elle constitue le lien entre l'écliptique et les impérisables, voire les circumpolaires plus au nord.
Le signe du Lion avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge du Lion : l'accord IDA.
- Transition de 5° à 6°) Pas-sage la plu-par-t du tant opérationnel et pas si paradoxal que ça en ce Piètre Monde riant in-ver-sé PLUS éPARs "Nec PLUribuS imPAR" : la devise de Louis XIV
Addition : 2 + 3 = 5, Multiplication 2 x 3 = 6 , et + sur x = octogone
(Théorème d'HéLèNe Deux Trois - Version I ?).
Que 5 + 6 = 11 & 5 x 6 = 30, c'est au total Quatr-ain concentré de L'une ou l'autre formule triée octogonale, et avec 65 la constante de Mars.
Mais Somme et Produit, initiales SP tels Singulier et Pluriel, Secondaire et Primaire (couleurs), SP comme dans SePtenaire et SerPentaire (mais aussi Esope).
Challenge de Mondrian : carré, rectangle et tri-angle.
Image à droite : en relation avec la légende Zeus, Callisto, Artémis, Hera, Arcas : Septem Triones et les 2 ourses, cases rôles.
Ci-dessous le lien privilégié de 2 & 3 avec 8 & 9, via 5 & 6 au centre ?
Et sur deux colonnes seulement car la première ne Sera bonne.
C'est que les axes du "+" deviendront diagonales en y étant a-vert-ies.
Première colonne à gauche : 7 + 1 = 8, + 4 = 12 comme un "ordre des choses" (somme de 3+4+5).
4 ayant la spécificité d'être à la fois Produit (2x2) et Somme (2+2) à évoquer l'octogone, mais également alliance de 1 et 3 (constellation du Scorpion).
- 6°) Mythique sixième signe que celui de la VIerge à l'épi leVé, allégorie des récoltes à la dimension V, prémices productivistes et sacralisation du "ça crée" pour qui se piqua au jeu ci-blé de la per-Spica-citéAddition : 2 + 3 = 5, Multiplication 2 x 3 = 6 , et + sur x = octogone
(Théorème d'HéLèNe Deux Trois - Version I ?).
Que 5 + 6 = 11 & 5 x 6 = 30, c'est au total Quatr-ain concentré de L'une ou l'autre formule triée octogonale, et avec 65 la constante de Mars.
Mais Somme et Produit, initiales SP tels Singulier et Pluriel, Secondaire et Primaire (couleurs), SP comme dans SePtenaire et SerPentaire (mais aussi Esope).
Challenge de Mondrian : carré, rectangle et tri-angle.
Image à droite : en relation avec la légende Zeus, Callisto, Artémis, Hera, Arcas : Septem Triones et les 2 ourses, cases rôles.
Ci-dessous le lien privilégié de 2 & 3 avec 8 & 9, via 5 & 6 au centre ?
Et sur deux colonnes seulement car la première ne Sera bonne.
C'est que les axes du "+" deviendront diagonales en y étant a-vert-ies.
Première colonne à gauche : 7 + 1 = 8, + 4 = 12 comme un "ordre des choses" (somme de 3+4+5).
4 ayant la spécificité d'être à la fois Produit (2x2) et Somme (2+2) à évoquer l'octogone, mais également alliance de 1 et 3 (constellation du Scorpion).
Au paléolithique s'opérait avec l'astrologie une démarche intello-spirituelle en harmonie avec les données empiriques observées apte à engendrer le passage du stade initial "chasseurs-cueilleurs" nomades à une société agraire et pastorale sédentarisée, dans la perspective d'une maîtrise de l'espace et du temps.
C'est la période où la domestication de la faune (élevage) et de la flore commence, dont une valorisation-sélection des graminées qui a pu accélérer le processus avec cet espoir de bonnes récoltes vers la fin de l'été, période dévolue au signe de la Vierge et avant cela à la constellation éponyme. Au mésolithique on ne se contente plus de cueillir, on souhaite gérer les cadences et les cas-denses des semis et les récoltes avec plus de Pérennité et de Sérénité (albae sunt iam ad messem), prémices du concept de productivité. Cela supposait une organisation sociétale et familiale à la clé.
SPica Virginis est l'étoile principale de la constellation de la Vierge dont l'attribut est un épi de blé, et précédant l'équinoxe d'automne, là où les métaphores des signes du Singulier s'apprêtent à passer au Pluriel dès le signe suivant, et ainsi pour tous les signes de la moitié haute (sud) présents sur le cercle zodiacal.
Cette période des récoltes au néolithique se devait d'être la plus étendue possible pour intégrer empiriquement le phénomène de précession des équinoxes avant même d'en avoir trouvé la gestion-solution effective par un décalage assumé d'écart signe-constellations (vu § 2). C'est ainsi que la constellation de la Vierge est la plus grande du cercle zodiacal sidéral (de l'ordre de 45 à 48°) parce qu'il fallait tenir compte culturellement de la réalité de ce phénomène lent (1° pour 72 ans) mais primordial à appréhender parce que vital pour la crédibilité d'une société agraire dans sa gestion pérenne du temps : Il fallait kiffer le temps qu'il fait (saisons) et qui passe, et ceci à partir de repères spaciaux adéquats et surtout à jour.
Dans le contexte pertinent d'un rituel global optimisant envisagé depuis la plus haute antiquité de la fertilité-prospérité de la terre nourricière comme de la fécondité des femmes, c'est au travers de la relation différenciée Soleil-Lune bien observable et au Masculin-Féminin assimilable, érigée alors en paradigme du Rebis, que l'humain pouvait donc se caler mentalement en se référant à une réalité biologique imposée par sa propre sexualité, au titre élémentaire du concept de création autant qu'à celui plus élaboré du mystère de la Création ou quand le "ça crée" devient le sacré comme "on s'aime" peut devenir "on sème". Noter la phonologie du mot "semaine" : sème aine, autant que son nombre entier à l'année : 52, symétrique réversible de 25 (tout comme mes est le réversible de sem, dans messem).
Ci-dessous le tableau de la Vierge Alchimique de Reims. La Vierge à l'enfant est-elle une métaphore de Callisto et Arcas ? Voir page C & A.
Le signe de la Vierge avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge de la Vierge : l'épicéa.
- 6 bis°) De six étroit en syMétrie à n'Oeuf, axiale hésitation entre deux formes d'M
Le 9 est de symétrie centrale au 6, et la nuit serait le symétrique du jour : 6 numéro d'ordre du Soleil et 9 numéro d'ordre de la Lune.
Les deux M des sigles de la Vierge et du Scorpion (initiales VS qui est déjà un mot parlant à part entière) : une asymétrie ou un indice à envisager autour du dernier jambage ? Pourtant un rapprochement à effectuer entre le 6 (6° signe : Vierge) et le 8 (8° signe : ScorPion) : deux chiffres figurant en bas du carré ordonnancé de Saturne, également ayant trait au nombre d'or (1,618034) et à l'axe nodal (18,6 ans). Entre les deux le signe (ascète ?) de la Balance.
Une hypoténuse de 10 propose deux côtés de 6 et 8. (36 + 64 = 100, par le nombre d'or et les carrés du Soleil et de Mercure...et la consonnance 100).
- Quand 6 s'intercale in fine sur le flanc entre 2 carrés de Mars (Long 6, larg 5, haut 11) :
1² + 2² + 3² + 4² + 5² = 1/6 x 5(5+1) x (2x5 + 1)
Ci-dessous : quand un triangle isocèle avec + 1 sur un côté devient alors triangle rectangle quand le carré du plus petit côté est égal à la somme des deux autres qui ont une unité de différence (c'est le cas avec la suite 3,4,5 de référence isiaque 3² = 4 + 5) : Voir aussi la page "Et in arcadia ego".
Il peut être curieux de diviser les heures en 60 minutes et les jours en 24 heures, pourquoi pas un multiple de 10 ou 12 ? En bref, la réponse est parce que les inventeurs du temps n'ont pas opéré dans un système décimal (base-10) ou duodécimal (base-12), mais dans un système sexagesimal (base-60). Pour les anciens innovateurs sumériens qui ont d'abord divisé les mouvements du ciel en intervalles comptables, 60 était le nombre parfait. Le nombre 60 peut être divisé par 1, 2, 3, 4, 5, 6, 10, 12, 15, 20 et 30 parts égales. De plus, les astronomes anciens pensaient qu'il y avait 360 jours dans une année, un chiffre où 60 correspond parfaitement six fois. L'Empire sumérien a été bref, mais pendant plus de 5 000 ans, le monde est resté attaché à sa délimitation du temps et sans doute jusqu'à aujourd'hui, ils continuent à nous enseigner.
13 sidéral (13 x 28 = 364) et 12 synodique (12 x 29,5 = 354), au centre : 6 & 5, comme 65 (= 5 x 13).
2 & 5 = Septenaire
1 & 2 : Soleil + Mercure + Vénus (triade groupée)
1 & 3 : Lune, Mars, Jupiter, Saturne.
5² = 25 (2+5=7), 12² = 144, 13² = 169, dont 2 x 4 (=8) et 6 & 9. Outre que 12 x 13 = 156 ou 6 x (25+1)
Cependant que 6 x 2 = 12 dont 5 trilithes en fer à cheval à Stonehenge (Saturne 2, Jupiter 2, Mars 2, Vénus 2, Mercure 2) et Soleil + Lune : Heel Stone - OBJECTION : et d'effectuer une critique la plus impartiale possible de l'astrologie !?
Felix qui potuit rerum cognoscere causas...
Quelques vidéos à propos de l'astrologie (partisans et détracteurs) :
🎬(1), 🎬(1 bis) 🎬(2), 🎬(2 bis), 🎬(3), 🎬(3 bis), 🎬(4), 🎬(5),🎬(6), 🎬(7),
Autres documents : 🎁(1). Le système solaire en direct, c'est 🎁(2).
"L'absence de doute, c'est le confort dans la servitude." Boris Cyrulnik
Ci-contre à gauche la fameuse fable, mais le Corbeau (corps beau ?) est une constellation (proche de celle de la Vierge et de l'Hydre), également constellation : le Renard (et l'Oie, init. OR) alias (Vulpecula), tardive (XVII°), et le fromage une allusion au cercle de précession.
- 7°) Septième signe : la Balance ou le pas-sage du singulier au collectif, le hui(t) clos de plateaux où Vert assomme II + V d'égale litée-ratures (à IV & VI) en AD-équate heure d'un fun en bulles grégaires trop piquant quand l'ascète isthme étroit de séduction deVenu sien contr-aint, et qu'il a fal-Lu s'y faire à l'ONce SM d'un Saturne & Mercure
Le signe de la Balance marque la croissance de la durée de la nuit accédant à une dominance sur celle du jour, et en cela l'accès au collectif, au pluriel suggéré par la partie supérieure du zodiaque (voir aussi § 12) : Va Bene entre Vierge (6) et Balance VS Scorpion (8), 1,618 du nombre d'or (où l'on retrouverait 1 & 1 comme un allusion au 11).
(à suivre...)
Le signe de la Balance avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge de la Balance : entre 6 et 8 (dont chiffres du nombre d'or et doubles de 3 et 4).
- 7 Bis°) Le zodiaque occidental de référence est celui égyptien d'Hathor à DendérahLe signe de la Balance marque la croissance de la durée de la nuit accédant à une dominance sur celle du jour, et en cela l'accès au collectif, au pluriel suggéré par la partie supérieure du zodiaque (voir aussi § 12) : Va Bene entre Vierge (6) et Balance VS Scorpion (8), 1,618 du nombre d'or (où l'on retrouverait 1 & 1 comme un allusion au 11).
(à suivre...)
Le signe de la Balance avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge de la Balance : entre 6 et 8 (dont chiffres du nombre d'or et doubles de 3 et 4).
Septenaire : le Soleil, la Lune et les 5 autres astres transitent initialement sur la bande zodiacale des 12 constellations d'origine dont la référence fonda-mentale est l'écliptique ou la course apparente du soleil.
Les constellations les plus au centre du cercle ainsi formé et donc plus au nord sont dites "impérisables" parce que visibles toute la nuit. C'est le cas de la Grande Ourse, de Cassiopée, de la Lyre, trois des circumpolaires bien visibles au nord les soirs d'été autour de la constellation du Dragon (Fée Mélusine).
Paradoxe : la course du Soleil n'est repérable que de nuit (i.e. quand il n'y figure pas), c'est donc la Pleine Lune qui va remplir cette fonction en "symétrique", le Soleil étant situé dans le signe d'en face sur le zodiaque pendant cette période. La Pleine Lune devenant alors la représentation inverse du Soleil, dans une exposition gibbeuse perceptible de 2 à 3 jours, soit à se caler sur 2,5 jours en moyenne sur la valeur d'un signe : 2,5 x 12 = 30, à introduire le système sexagésimal 30 x 12 = 360° (+ 5 épagomènes pour aller à 365 j). Il convient à ce stade d'évoquer quelques chiffres : 28 x 13 = 364 (-1 de 365), 29,5 x 12 = 354 (isiaque de Pythagore et -11 de 365 ou l'intercalation). - 7 Ter°) Sept-en-aire & carrés astrologiques d'ordre 3 à 9, plage médiévale sans éradiquer l'impéris-sable de l'An Mil
Les carrés astrologiques aperçus au § 4 Ter ont été développés vers l'An Mil, notamment en indiquant en plus du numéro d'ordre (issu de la vitesse apparente) : le numéro de leur case centrale éventuelle (qui correspond à la moitié de n²+1) et le montant de la constante (obtenu directement par les diagonales sur le carré dans l'ordre naturel des numéros, et qui plus est sur chacune des deux barres de croix grecque dans les carrés d'ordre impair). Il s'agit là initialement d'un développement en dérivation de ROTAS (roue, rouage, cycle) aperçu au § 5 (palindrome).
Chaque nombre obtenu ainsi (numéro d'ordre, numéro de case centrale, montant de la constante) est sujet à extrapolation. Ainsi par ex. Vénus de case centrale à numérotation 25 évoque d'entrée le septenaire à 2+5 autant que le nombre de cases (25) du carré de Mars. On remarquera également le 111 de la constante du Soleil qui avec ses 3 x 1 évoque ainsi...les 3 cycles lunaires !
- Interlude 7 à 10) i.e. : 2 + 5 = 7 et 2 x 5 = 10
- Taureau 2° signe (dont Pléiades 7) et Lion 5° signe (dont cœur Régulus 1), avec 2 + 3 = V (dont 3 = G x 2 + K ?).
- De Taureau à Lion, sur l'écliptique : Castor (Case tort ou tord) et Cancer, une constellation en forme de K.
- C'est aussi que 3 + 4 = 7, face au 5 (V romain) chez Pythagore.
Ci-dessous, tout en bas : Apamea, mosaïque.
2° et 5° signes : il ne faut pas oublier que dans le ciel la constellation du Taureau possède aussi deux cornes, une de chaque côté de l'écliptique (solaire par définition), et sur son épaule figure la constellation des Pléiades (dont i,a,d).
Le Taureau a "rendez-vous" potentiel avec le Lion, dont l'étoile Régulus est le référentiel d'écliptique, mais doit franchir la constellation des Gémeaux, eux aussi concernés par des étoiles d'écliptiques à dimension particulière (type sexuée) et franchir aussi la constellation du Cancer (et signe de la métaphore maternelle), en forme de K, contenant étoile d'écliptique également. Ce Taureau qui évoque tant un croissant de Lune du fait de ses cornes (et repris ainsi en Egypte antique). Taureau (+ Pléiades), + Gémeaux, + Cancer, + Lion : tous les ingrédients célestes pour l'équation d'un rite de fécondité ancestral inscrit sur l'écliptique. Et si l'homme remplaçait le Lion dans les arènes pour célébrer ce mythe ? Le Lion (de Némée) et le Taureau (de Crète) sont les seuls "survivants" dans le zodiaque actuel des 12 travaux d'Héraclès-Hercule d'une antiquité plus ancienne...
- Taureau 2° signe (dont Pléiades 7) et Lion 5° signe (dont cœur Régulus 1), avec 2 + 3 = V (dont 3 = G x 2 + K ?).
- De Taureau à Lion, sur l'écliptique : Castor (Case tort ou tord) et Cancer, une constellation en forme de K.
- C'est aussi que 3 + 4 = 7, face au 5 (V romain) chez Pythagore.
Ci-dessous, tout en bas : Apamea, mosaïque.
2° et 5° signes : il ne faut pas oublier que dans le ciel la constellation du Taureau possède aussi deux cornes, une de chaque côté de l'écliptique (solaire par définition), et sur son épaule figure la constellation des Pléiades (dont i,a,d).
Le Taureau a "rendez-vous" potentiel avec le Lion, dont l'étoile Régulus est le référentiel d'écliptique, mais doit franchir la constellation des Gémeaux, eux aussi concernés par des étoiles d'écliptiques à dimension particulière (type sexuée) et franchir aussi la constellation du Cancer (et signe de la métaphore maternelle), en forme de K, contenant étoile d'écliptique également. Ce Taureau qui évoque tant un croissant de Lune du fait de ses cornes (et repris ainsi en Egypte antique). Taureau (+ Pléiades), + Gémeaux, + Cancer, + Lion : tous les ingrédients célestes pour l'équation d'un rite de fécondité ancestral inscrit sur l'écliptique. Et si l'homme remplaçait le Lion dans les arènes pour célébrer ce mythe ? Le Lion (de Némée) et le Taureau (de Crète) sont les seuls "survivants" dans le zodiaque actuel des 12 travaux d'Héraclès-Hercule d'une antiquité plus ancienne...
- 8°) Que le K du C de Mercure dise huit à l'analemme et en soi sente quatre saisons qui étalées au sol se tissent al-OR-s en méridienne ou CAdrant au mur y mènent à y voir plus en corps parmi les zélés fans du lemniscate à l'infini
Et Scorpion (calembour "ce Corps Pion" ou Score Pion) : 8° signe, tel 8 à l'assomme d'un V romain + 3 comme LN.
Le 8 évoque la forme du sablier, et le 8 à l'horizontale est aussi le lemniscate : symbole de l'infini. L'analemme à la base de la création du chiffre 8 ? Qui est aussi le nombre de pattes du crabe, de l'araignée et le nombre de tentacules d'une pieuvre ou bras d'un calamar (cas l'amarre). L'arcane VIII au Tarot (la Justice) est une spécificité française, comme le XI (la Force).
Le chiffre 8 a une signification particulière dans toutes les cultures. Il est généralement associé au karma et à la renaissance (en tant que nombre angélique), dans le christianisme, il est associé à la résurrection. Pour les Chinois, c'est un chiffre porte-bonheur et pour les Hindous, c'est le nombre de l'infini. Plus bas dernière image : le pentagramme de Vénus en 8 ans (entouré des 22 boucles de Mercure dans le même temps).
Et Scorpion (calembour "ce Corps Pion" ou Score Pion) : 8° signe, tel 8 à l'assomme d'un V romain + 3 comme LN.
Le 8 évoque la forme du sablier, et le 8 à l'horizontale est aussi le lemniscate : symbole de l'infini. L'analemme à la base de la création du chiffre 8 ? Qui est aussi le nombre de pattes du crabe, de l'araignée et le nombre de tentacules d'une pieuvre ou bras d'un calamar (cas l'amarre). L'arcane VIII au Tarot (la Justice) est une spécificité française, comme le XI (la Force).
Le chiffre 8 a une signification particulière dans toutes les cultures. Il est généralement associé au karma et à la renaissance (en tant que nombre angélique), dans le christianisme, il est associé à la résurrection. Pour les Chinois, c'est un chiffre porte-bonheur et pour les Hindous, c'est le nombre de l'infini. Plus bas dernière image : le pentagramme de Vénus en 8 ans (entouré des 22 boucles de Mercure dans le même temps).
- Interlude de 8°) Ça tord les idées reçues d'un octogone à 8 clos d'Air et d'Eau (O) que l'on Voye ailes autour d'un N central très à N'œuf quand les 8 cases asservies sur 25 laissent et lèsent d'autres qu'on sonne ascèses en di-sette : c'est toujours une histoire d'unique case en plus ou en moins
Tracassant 3-4-5 pythagorycien : quand le 5 est absent, faut-il que le 8 s'efface ? C'est que 3 x 9 = 27 et 4 x 7 = 28 (total 55, soit LV romain). L'octogone permet de caler solstices et équinoxes avec les signes fixes dits maîtres de saisons.
Tracassant 3-4-5 pythagorycien : quand le 5 est absent, faut-il que le 8 s'efface ? C'est que 3 x 9 = 27 et 4 x 7 = 28 (total 55, soit LV romain). L'octogone permet de caler solstices et équinoxes avec les signes fixes dits maîtres de saisons.
- 8 Bis°) C'est qu'incertain N'œuf (9) Fit bonne assise à l'octogone, comme à l'inVestiture d'un genré 1 vs 3 d'LN : 3 cycles lunaires face à 1 seul solaire
Ci-dessous à droite tel un simple clavier numérique en ordre naturel des chiffres, c'est aussi le carré témoin ou naturel de Saturne, d'ordre 3 (3²) et le plus simple et basique de tous les carrés planétaires. Bien noter le V romain (5) en case (rôle) centrale, le 5 étant le médian de 1 à 9. A gauche 8 tentacules surmontés d'une case rôle au centre, une matrice ? = 9.
Il existe deux sortes de carrés dits planétaires : d'ordre pair (4-Jupiter, 6-Soleil, 8-Mercure), d'ordre impair (3-Saturne, 5-Mars, 7-Vénus, 9-Lune), cet ordre (3,4,5,6,7,8,9) est celui de la vitesse apparente des astres de la plus lente à la plus rapide, vu de la Terre. Les carrés d'ordre impair ont une case centrale et leur constante est donnée directement sur le carré naturel ou témoin par la somme des diagonales ainsi que par la croix cardinale passant par le centre ou case centrale.
Les carrés pairs n'ayant pas de case centrale, leur constante est indiquée uniquement par les diagonales.
Case centrale et principe de genre ? Pas seulement, le carré naturel le plus simple (images à droite et ci-dessous) indique 1x45° horaire au masculin et 3x45° antihoraire au féminin, de quoi composer le mytique nombre 13, noter l'aspect isiaque de 3x45° mais aussi l'écart initial entre 1 et 2 à 45°, ce qui donne en fait 5x45° d'écart total (= 225°, 2 & 25, 22 & V) ou d'un 3 à 8 initial (voir schéma image), et surtout 225 = 15², la constante au carré de Saturne, outre que 113 + 112 = 225 = 15² comme 13 + 12 = 25 = 5², triangulation (Pyth.) en gras.
La devise citée en vert en bas de l'image ci-dessous en haut (en 3,8,5 lettres, des chiffres de la séquence de Fibonacci) est attribuée à Louis XIV, dit le Roi Soleil, elle contient + (plus) et x (par), deux sigles à superposer pour un octogone à point central de croisements.
Noter aussi dans les deux colonnes de droite sur le carré initial au naturel : 2-3 (L-N), 56 (Aubrey) et 65 (Mars) ainsi que 8 pour 2³ et 9 pour 3².
Ci-dessous à droite tel un simple clavier numérique en ordre naturel des chiffres, c'est aussi le carré témoin ou naturel de Saturne, d'ordre 3 (3²) et le plus simple et basique de tous les carrés planétaires. Bien noter le V romain (5) en case (rôle) centrale, le 5 étant le médian de 1 à 9. A gauche 8 tentacules surmontés d'une case rôle au centre, une matrice ? = 9.
Il existe deux sortes de carrés dits planétaires : d'ordre pair (4-Jupiter, 6-Soleil, 8-Mercure), d'ordre impair (3-Saturne, 5-Mars, 7-Vénus, 9-Lune), cet ordre (3,4,5,6,7,8,9) est celui de la vitesse apparente des astres de la plus lente à la plus rapide, vu de la Terre. Les carrés d'ordre impair ont une case centrale et leur constante est donnée directement sur le carré naturel ou témoin par la somme des diagonales ainsi que par la croix cardinale passant par le centre ou case centrale.
Les carrés pairs n'ayant pas de case centrale, leur constante est indiquée uniquement par les diagonales.
Case centrale et principe de genre ? Pas seulement, le carré naturel le plus simple (images à droite et ci-dessous) indique 1x45° horaire au masculin et 3x45° antihoraire au féminin, de quoi composer le mytique nombre 13, noter l'aspect isiaque de 3x45° mais aussi l'écart initial entre 1 et 2 à 45°, ce qui donne en fait 5x45° d'écart total (= 225°, 2 & 25, 22 & V) ou d'un 3 à 8 initial (voir schéma image), et surtout 225 = 15², la constante au carré de Saturne, outre que 113 + 112 = 225 = 15² comme 13 + 12 = 25 = 5², triangulation (Pyth.) en gras.
La devise citée en vert en bas de l'image ci-dessous en haut (en 3,8,5 lettres, des chiffres de la séquence de Fibonacci) est attribuée à Louis XIV, dit le Roi Soleil, elle contient + (plus) et x (par), deux sigles à superposer pour un octogone à point central de croisements.
Noter aussi dans les deux colonnes de droite sur le carré initial au naturel : 2-3 (L-N), 56 (Aubrey) et 65 (Mars) ainsi que 8 pour 2³ et 9 pour 3².
- Interlude des 8° à 11°) Ce fut très show de l'actualisation en L'An Mil : de la précession à l'âpre cession comme un apprêt pour l'après des régionaux de l'étape en-vers le sol-stice d'hiver
Concerne Scorpion, Sagittaire, Capricorne, Verseau.
Nell'anno 1020, WiLieLmus ha potuto presentare al pubblico il suo primo grande lavoro :
- 8 Ter°) Scorpion 8°signe, dont calembours ce corps pion et score pion, le "tombeur" de l'Aigle de Saint-JeanConcerne Scorpion, Sagittaire, Capricorne, Verseau.
Nell'anno 1020, WiLieLmus ha potuto presentare al pubblico il suo primo grande lavoro :
Le Tétramorphe, figure cosmique et chrétienne, et les quatre éléments :
Tétramorphe, Apocalypse de Jean (4, 7-8)
– Le premier être vivant ressemble à un lion,
– Le deuxième à un jeune taureau.
– Le troisième a un visage semblable à celui d’un être humain,
– Le quatrième ressemble à un aigle qui vole.
Le Lion de Marc, le Taureau de Luc, le Verseau de Matthieu, L'aigle de Jean... qui vers l'An Mil ne vole plus, devenu obsolète et "remplacé" à la fois par un nouveau "jalon" zodiacal : le Scorpion (voir carte du ciel au paragraphe suivant), mais aussi par le Sagittaire-Serpentaire en coalescence du Cygne et de l'Aigle avec le "souvenir efficace" du début de l'ère des Poissons et prolongation, celui-ci étant chargé de prendre la relève sur l'écliptique et de justifier l'intérieur du cercle zodiacal (voir aussi §9 et § 11 Ter).
L'Aigle et le Scorpion, le bec = un dard, deux serres = deux pinces. Aigle de PatmoS, atmosphère PS comme ScorPion et SerPentaire. D'autre part, la constellation du Scorpion (en 1 et 3 de cauda à caput) se prête bien à évoquer la serre d'un aigle (revoir fig. de gauche § 4 Bis, et voir aussi l'interlude médiéval 8 à 9 qui suivra).
Image tout en bas : lemniscate aux Avenières.
Le signe du Scorpion avec Astrotheme, lien cliquable. Challenge du Scorpion : sexe et conséquences.
- Interlude Numérique de 8° à 9°) De Scorpion à Sagittaire : deux S, pouvant créer des liens trou-blants, d'autant que 89 est le K 11° de la suite de Fibonacci (hors le zéro), ou 9 & 8 en Disette Ascète contraInt ?
Les deux seules puissances d'entiers consécutives sont 8 et 9, qui valent respectivement 2³ et 3². Cube et Carré, en 4 et 5 lettres où les radicaux prennent en exposants la partie adverse. (Théorème d'HéLèNe Deux Trois - Version II ?)
Ci-dessous 2 lettres et 3 demi-cercles pour une note. C'est qu'à 2 c'est potentiel 3 (à droite).
Les deux seules puissances d'entiers consécutives sont 8 et 9, qui valent respectivement 2³ et 3². Cube et Carré, en 4 et 5 lettres où les radicaux prennent en exposants la partie adverse. (Théorème d'HéLèNe Deux Trois - Version II ?)
Ci-dessous 2 lettres et 3 demi-cercles pour une note. C'est qu'à 2 c'est potentiel 3 (à droite).
- Interlude Médiéval de 8 à 9°) Basilic en base idyllique de Scorpion à Sagittaire en représentation lyrique au cœur de la meule
Allure Prince si pâle de COQ ! (Tôt le champ du zodiaque fort mage est en forme de O)
Et accessoirement une allure d'Aigle et de Serpent (AS) qui en font un coq en pattes d'aigle et aqueux.
Ci-dessous tout en bas à Lyre 8 & 9 rassemblés dans un rectangle à diagonale à outrance sur fond de gémellité tête-bêche.
Allure Prince si pâle de COQ ! (Tôt le champ du zodiaque fort mage est en forme de O)
Et accessoirement une allure d'Aigle et de Serpent (AS) qui en font un coq en pattes d'aigle et aqueux.
Ci-dessous tout en bas à Lyre 8 & 9 rassemblés dans un rectangle à diagonale à outrance sur fond de gémellité tête-bêche.
- Interlude Stellaire de 8 à 9°) Orion, schéma directeur et fondement essence-ciel pour le pas-sage du 8 clos à 9
Orion, comme un 8 ou un sablier, noter la diagonale Rigel-Bételgeuse, alignée vers les Gémeaux, l'autre diagonale Saiph-Bellatrix alignée vers le Taureau, le baudrier (ou ceinture) composé de Alnitak, Alnilam et Mintaka (plus petite) qui rappellent les pyramides de Gizeh, Meissa en haut, et accessoirement l'amas de l'étui d'épée. Théorème étroit d'LN 2-3 ? : Les deux seules puissances d'entiers consécutifs sont 8 et 9 (qui valent respectivement 2³ et 3²). Hydre de Lerne (2° des travaux d'Hercule) : Le Pseudo-Apollodore écrit à son sujet : "Elle était d'une grandeur démesurée ; elle avait neuf têtes, dont huit étaient mortelles, et la neuvième immortelle". Ci-dessous : 8 directions AERées pour chacun mais plus de possibilités pour L'une. * Voir page Rênes-LeXTao et page 17 Janvier.
- Interlude Tarot-Rebis de 8 à 9°) Soleil et Lune, tollé d'étiolés 2 à 3, étoilés avec leurs exposants en récit-pro de navig-ationOrion, comme un 8 ou un sablier, noter la diagonale Rigel-Bételgeuse, alignée vers les Gémeaux, l'autre diagonale Saiph-Bellatrix alignée vers le Taureau, le baudrier (ou ceinture) composé de Alnitak, Alnilam et Mintaka (plus petite) qui rappellent les pyramides de Gizeh, Meissa en haut, et accessoirement l'amas de l'étui d'épée. Théorème étroit d'LN 2-3 ? : Les deux seules puissances d'entiers consécutifs sont 8 et 9 (qui valent respectivement 2³ et 3²). Hydre de Lerne (2° des travaux d'Hercule) : Le Pseudo-Apollodore écrit à son sujet : "Elle était d'une grandeur démesurée ; elle avait neuf têtes, dont huit étaient mortelles, et la neuvième immortelle". Ci-dessous : 8 directions AERées pour chacun mais plus de possibilités pour L'une. * Voir page Rênes-LeXTao et page 17 Janvier.
- 9°) Sagittaire et s'agite ère grisée de Black and White : Sagittarius-Serpentarius, l'An Mil c'éTait hier moins qu'à Deux Mains
Thé (TENET ?) et Café (K fait ?) : La constellation du Sagittaire a la forme d'une Théière, celle du Serpentaire (Ophiuchus + Serpens) a la forme d'une CAfetière (voir image plus haut dans § Int. 8 à 11).
Sagittarius-Serpentarius est un échassier-rapace, mangeur de serpents, parfois dénommé secrétaire de par ses plumes servant autrefois à l'écriture (calembour : secret-taire).
C'est au centre du linteau à Saint-Genis des Fontaines que l'on trouve la trace la plus tangible de cette mutation, où l'Aigle et le Cygne devenus obsolètes présentent le Serpentaire, placé au-dessus du Scorpion. Tout ceci du fait de la précession (avancement du curseur désormais au début de la constellation du Sagittaire en l'An Mil).
L'Aigle a eu pour fonction essentielle de combler par shuntage le vide de l'écliptique entre les constellations du Capricorne et du Sagittaire (petite constellation pour ce dernier) en l'intégrant dans la course du curseur de précession pendant un millier d'années.
Le signe du Sagittaire avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge du Sagittaire : c'était hier qu'a fait deux mains.
L'éphémère est substrat du tant qui passe à géométrie variable ! Et à l'occasion le neuf peut être N'œuf cosmologique pour le neuvième signe.
- 9° Bis) Un'œuf cosmologique avec le SerPentaire, en gémellité de contrasteLa porte d'entrée du SerPentaire se trouve entre Scorpion et Sagittaire, une entrée pour mémoire vers l'intérieur du zodiaque, où se situe précisément le Serpentaire.
C'est aussi que Régulus du Lion et DorsuM du Capricorne sont étoiles de référence pour l'écliptique et à relier les deux on passe par la constellation du dragon et les circumpolaires impérissables (étoiles visibles toute la nuit).
Une gémellité de constrate consistant en deux constellations : Cygne (clair) et Aigle (fonçé).
A gauche le "curseur" du mât de la précession, où l'aigle a rempli une mission jusque vers l'An Mil entre les constellations du Capricorne et du Sagittaire : celle d'occuper par shuntage un vide stellaire sur l'écliptique.
Le nouveau package officialisé à partir de l'An Mil pour cause de précession est : Sagittaire + Serpentaire (Serpens + Ophiuchus) + Scorpion, en remplacement de l'ancien triangle d'été constitué du Cygne, de l'Aigle et de la Lyre, mais sans oublier ces derniers.
- 9 Ter°) Sans doute ne jamais oublier que 9 est à l'assomme de 8 + 1, anagramme n'œuf = on + feu, n'œuf comme neuf moi(s) = 3/4 d'année complète
Sur l'échiquier la Dame ou Reine peut se déplacer sur 7 cases maximum et dans tous les sens (sur un ensemble de 8 maxi), et le Roi sur 1 seule (sur un ensemble de 2), également dans tous les sens (8 directions).
En fonction de cette norme comportementale disposée sur le jeu d'échecs il n'y aurait donc pas de conclusion hâtive sur le principe de genre à déclarer que l'ensemble en synergie sexuée 1 et 7 c'est 8 traduite en synodique astro comme produisant le n'œuf de fécondation (81 carré de la Lune), et de la sorte ce même 1 au masculin (et de bâbord) se retrouve face au 3 féminin (tribord), avec l'alliance des deux "protagonistes" à travers la conjecture de Syracuse.
- Interlude, méthodologie du 9 cylindres en étoile pour 7 astres et 2 axes en condition nécessaire et suffisante à une perception intuitive de critères astrologiques ordrés dans les 9 signes théoriques à sélectionner pour un thème natal
Dans l'ordre indiqué : les 2 luminaires (Soleil & Lune), les 2 telluriques "intérieures" (Mercure et Vénus), la tellurique extérieure (Mars), les 2 gazeuses lointaines (Jupiter & Saturne) et enfin les 2 points dits fictifs (Nœud Nord et Lune Noire) concernant respectivement l'axe nodal et le grand axe (revoir § 2). Neuf éléments et à chacun son signe-cylindre = un moteur astro neuf cylindres radial (neuf théorique puisque des éléments peuvent avoir un signe-cylindre commun).
Voir page https://yves-66-astro.blogspot.com/p/9-cylindres-en-etoile.html
- 10°) Le classé X en portions de carrés avec option plus qu'une potion pare en constante de diagonales, tel un mandalaVoir page https://yves-66-astro.blogspot.com/p/9-cylindres-en-etoile.html
Le thème natal à l'ancienne en 13 cases : Comme un développement de l'octogone (dont la référence est le carré de Saturne), avec un grand carré (x) où l'on dessine un losange (+), puis à l'intérieur du losange un nouveau carré (x) dont le prolongement des diagonales non dessinées rejoint les coins du grand et premier carré.
C'est ainsi que l'on obtient un octogone contenant les signes cardinaux et mutables, mais pointés de fait entre eux deux par les signes fixes de la saison pour passer à douze, la case 13 étant celle centrale comme dans le carré de Mars (revoir § 5).
A noter à gauche que chaque demi-sous-diagonale (sur 4 cases) permet d'évoquer le carré de Jupiter (16 cases et multiple de 64).
Ci-dessous : à Quéribus - 10 Bis°) Le Capricorne aux caprices di-thyr-am-biques d'une NOble reine alambiquée d'abondance et d'égide : Amalthée d'un cas fait d'oser naïade à Cappella et d'un Cornu de Nec-tar et D'Ambroisie
DorsuM l'étoile du dos de la constellation du Capricorne est située sur l'écliptique, outre qu'il faille peut-être y voir aussi un Dos aux mur (D'or sum ?).
Ci-contre à gauche, un quatrain de Nostradamus qui indique bien en référence à D.M. (DorsuM) que les codes ecclésiatico-dynastiques de l'Occident sont fondés essentiellement sur le fait de la précession, dont ignorance par le plus grand nombre.
C'est un quatrain qui trouvera sa résolution avec la Révolution de 1789.
Noter également la syllabe DO de Dorsum, façon note de musique éponyme.
C'est aussi que l'Arcadie était le pays des chèvres.
Une hypoténuse de 10 propose deux côtés de 6 et 8. (36 + 64 = 100, par le nombre d'or et les carrés du Soleil et de Mercure...et la consonnance 100).
Le signe du Capricorne avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge du Capricorne : sa forme et ses cornes.
A suivre...
- Interlude Saturnien de 10 à 11°) Quand ça tourne en arbitre des élégances pour changer d'ère à toutes fins de boucler l'année platonicienne en ouroboros, ou encore qu'il faille occulter 10 jours de temps un jour.
(images cliquables pour agrandir)
- 11°) Eloge de l'INteRcalatIon astro via la GémeLLité mercurielle, I & I = II = 2 romain, de zèLe ONze départ prONom indéfini, qui du bal est au Val de 13 les 1 & 3 aPrèS remballe(images cliquables pour agrandir)
ON comme les initiales de Naturel & Ordonnancement.
O comme un œuf et N comme deux 1 tête-bêche, dans le ciel nocturne : Cygne et Aigle (initiales CA) tels des jumeaux avaires tout en contraste.
Coalescence du Cygne et de l'Aigle au travers du grisant noir et blanc Sagittarius-serpentarius (échassier-rapace) qui devient le représentant alchimique du Tao (6 et 9, blanc et noir) en mémoire de ses deux prédécesseurs dans l'ère (Cygne blanc, Aigle noir). Celui-ci fait apparaître trois constellations : Sagittaire sur l'écliptique, Serpens et Ophiuchus au-dessous et Scorpion en limite d'ère sur l'écliptique (voir carte du ciel à gauche).
Rappel : L'arcane XI (la Force) au Tarot est une spécificité française, comme l'arcane VIII (la Justice), c'est l'inverse dans les autres pays.
Ci-dessous : le vert en verve de vair (vaginal power), porte d'entrée et de sortie du SerPentaire entre deux S (Scorpion et Sagittaire), ce 13° signe issu de l'intercalation astro et ne pouvant figurer sur le cercle zodiacal tropique ou saisonnier. - 11 Bis°) Onzième lettre : le K (de Karma ?), ou le CAs du Cygne et de l'Aigle, ou le CAs des CAncer et CApricorne en méridienne, et 11° signe d'un verso à 6+5 en parade à DOxa
Ci-dessous les carrés des nombres d'ordre astrologique (3 à 9) déjà abordés aux § 4 Ter et 7 Bis, et les nombres "rectangulaires" associés, avec de fait un bonus qui ressort dans la partie droite pour les 3,5,8,13 de la séquence de Fibonacci, à retrouver en bas à droite LN 2-3, autant que sur le schéma du carré à gauche (deux diagonales + une jonction). A droite en haut : CAstor et Pollux d'ali-gnement explicite Yin-Yang sur une montre dalinienne. Ci-contre à gauche une autre façon (gémellaire tête-bêche) de Lyre 11 comme une constellation. En bas à droite et sur le carré à constante de Saturne, ligne haute : 4² + 9² + 2² = 101 et ligne basse 8² + 1² + 6² = 101 (voir pour la ligne centrale ? 9+25+49=34+49=50+33=83, 8+3=11) avec allusion au prONom indéfini en deux "1" tête bêche du N rompu en moitié de barre oblique et transversale ainsi qu'à la note DO pour évoquer 3 en 2 (M-F) et en bas la formule connue d'Al-Khwârizmî (IX° siècle), correspondant opportunément ici à l'intercalation astrologique, avec évocation du serpentaire comme signe complémentaire, le 13° (par substitution avec rang-placement hors écliptique).
- 11 Ter°) Le Verseau ren-versa-t-il à tort l'arraisonné enVerS et cONtre toute at-tente comme un b(r)ouiLLon de 11 H en poids sonné ?
C'est au V-Air sCeau essence-ciel de l'hi-Ver que l'é-troi-t de la ma-Tière fait mine Un (revoir l'image de droite haute et hôte du § 4 Bis).
Le Verseau (Aquarius), le porteur d'eau trouve son origine dans les crues du Nil (et pas dans l'écru du nihil). Calembours Vert-Seau et Vair Sceau.
Le sigle indique deux ondulations parallèles de vagues aquatiques, alors même que le signe n'est pas d'eau mais d'air, lié aux épées du tarot et aux piques des cartes modernes.
Comment ne pas faire le rapprochement entre l'expression VS (versus) et VerSeau... à 3 contre 1 ?
Et de revoir un des § 4 sur les couleurs (3V).
Ci-dessous : Cloche à 2 L telle un seau renversé façon lambda, tambour quasiment avec sigle du verseau (revoir couleur bleue (air) du § 4 Bis, image en haut à droite), NB en bas : 3-2 = 1, & 6-5 = 1, 6 + 5 = 11.
Verseau serait donc vair sceau, et ce 11° signe au-rait un espace où vert entre eux deux ? (Cf. § 4 bis)
Le signe du Verseau avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge du Verseau : son air.
C'est au V-Air sCeau essence-ciel de l'hi-Ver que l'é-troi-t de la ma-Tière fait mine Un (revoir l'image de droite haute et hôte du § 4 Bis).
Le Verseau (Aquarius), le porteur d'eau trouve son origine dans les crues du Nil (et pas dans l'écru du nihil). Calembours Vert-Seau et Vair Sceau.
Le sigle indique deux ondulations parallèles de vagues aquatiques, alors même que le signe n'est pas d'eau mais d'air, lié aux épées du tarot et aux piques des cartes modernes.
Comment ne pas faire le rapprochement entre l'expression VS (versus) et VerSeau... à 3 contre 1 ?
Et de revoir un des § 4 sur les couleurs (3V).
Ci-dessous : Cloche à 2 L telle un seau renversé façon lambda, tambour quasiment avec sigle du verseau (revoir couleur bleue (air) du § 4 Bis, image en haut à droite), NB en bas : 3-2 = 1, & 6-5 = 1, 6 + 5 = 11.
Verseau serait donc vair sceau, et ce 11° signe au-rait un espace où vert entre eux deux ? (Cf. § 4 bis)
Le signe du Verseau avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge du Verseau : son air.
- Interlude de 11 à 12) Pythagore isiaque d'un tracassant 3,4,5 autant que 12 + 11 = 23 (LN) et qu'un L soit aussi un triangle en cavaLe, la triade 2,3,5 Fit bonne assise au 4 angulaire mis à l'écart.
« passant després quatre dits per damunt de l’escut daurat » - Jupiter 4, Mars 5, et Taureau 2°, Lion 5°...
« passant després quatre dits per damunt de l’escut daurat » - Jupiter 4, Mars 5, et Taureau 2°, Lion 5°...
- 12°) De six à douze en douce pour en contenir un treizième en double, ce sont les signes du zodiaque et autant de métaphores du Singulier au Pluriel, 1² + 2² = 5 ou V, contenant un contenu :
En bas les six premiers signes (en ocre) : métaphores au singulier - jour dominant, individualisme
En haut (bleu) : les mêmes métaphores mises et misées au pluriel - nuit dominante, collectivité.
(A droite : signe, anagramme singe)
- Bélier (Phase JD 1° - JC 4°) : Intrication pulsionnelle
- Taureau (JD 2° - JC 5°) : Incarnation, chair, concret
- Gémeaux (JD 3° - JC 6°) : Découverte immédiate
- Cancer (Phase JD 4° - NC 1°) : Figure Maternelle
- Lion (JD 5° - NC 2°) : Figure paternelle, repères
- Vierge (JD 6° - NC 3°) : Logique, raison, limites
- Balance (Phase ND 1° - NC 4°) : Pulsion grégaire
- Scorpion (ND 2° - NC 5°) : Sexualité, génitalité
- Sagittaire (ND 3° - NC 6°) : Ailleurs (espace et temps)
- Capricorne (Phase ND 4° - JC 1°) : Société
- Verseau (ND 5° - JC 2°) : Idéalisme, cérébralité
- Poissons (ND 6° - JC 3°) : Irrationnel, fusionnel
Il est intéressant de relier les trois derniers à la trilogie de Pascal. D'autant que ceux-ci ont d'autres spécificités "h-i-ver-nales" en triade déjà évoquées sur le schéma de droite du § 4 Bis. Ci-dessous zodiaque du Capitole à Toulouse :
- 12 Bis°) Les douze attraits du zodiaque ont inspiré trois abbés, outre antériorité H
Image à droite : Tréhorenteuc, Bélier en haut à gauche et sens antihoraire (Taureau à suivre en haut à droite). Voir Page 12 bis également.
Image de gauche : 3 cycles lunaires à Bourges.
Ci-dessous : Ne pas noyer trop top ni taupe les Poissons dans un vert seau.
- 12 Ter°) 12° signe, celui des PoissonsImage à droite : Tréhorenteuc, Bélier en haut à gauche et sens antihoraire (Taureau à suivre en haut à droite). Voir Page 12 bis également.
Image de gauche : 3 cycles lunaires à Bourges.
Ci-dessous : Ne pas noyer trop top ni taupe les Poissons dans un vert seau.
Image à gauche : Poissons zodiaque Chartres - Le lien entre les deux poissons serait celui entre l'Ancien Testament et le Nouveau Testament, les deux étant liés l'un à l'autre, mais le nouveau remplaçant l'ancien - le poisson mort qui flotte le ventre en l'air.
Le signe des Poissons avec Astrotheme, lien cliquable.
Challenge des Poissons : deux possibilités sous le carré de PégaSe.
- 12 Quater°) L'antériorité d'une dodécade Héraclès - Hercule
12 c'est le nombre de signes du zodiaque, reprenant le nom et l'ordre des constellation d'origine avant écart entre les deux (signes égaux et constellations inégales) mais c'est aussi le nombre des travaux d'Hercule. Il existerait donc un rapprochement à effectuer (surtout 2° & 5° signes du zodiaque actuel).
Dans « Les Travaux d’Hercule ». Alice A. Bailey exposait l’ordre d’épreuves que voici :
- 1. Bélier) : Capture des cavales mangeuses d’hommes - 2. Taureau) : Capture du taureau de Crète - 3. Gémeaux) : Cueillette des Pommes d’Or des Hespérides - 4. Cancer) : Capture de la Biche de Cérynée - 5. Lion) : Massacre du Lion de Némée - 6. Vierge) : Prise de la Ceinture d’Hippolyte - 7. Balance) : Capture du Sanglier d’Erymanthe - 8. Scorpion) : Destruction de l’Hydre de Lerne - 9. Sagittaire) : Extermination des Oiseaux de Stymphale - 10. Capricorne) : Destruction de Cerbère, Gardien de l’Hadès - 11. Verseau) : Nettoyage des Écuries d’Augias - 12. Poissons) : Capture des Bœufs roux de Géryon.
Cette correspondance entre signes du zodiaque et travaux d'Héraclès est variable suivant les auteurs.
Image à droite Tréhorenteuc : la porte est en dedans = la portée en deux dans (ou le treizième signe en double).
N.B.: Image ci-dessous, c'est le 3ième serpent rencontré, après celui (chinois-central) du § Interlude de 5, et celui du § Serpentaire de 8 à 11.
12 c'est le nombre de signes du zodiaque, reprenant le nom et l'ordre des constellation d'origine avant écart entre les deux (signes égaux et constellations inégales) mais c'est aussi le nombre des travaux d'Hercule. Il existerait donc un rapprochement à effectuer (surtout 2° & 5° signes du zodiaque actuel).
Dans « Les Travaux d’Hercule ». Alice A. Bailey exposait l’ordre d’épreuves que voici :
- 1. Bélier) : Capture des cavales mangeuses d’hommes - 2. Taureau) : Capture du taureau de Crète - 3. Gémeaux) : Cueillette des Pommes d’Or des Hespérides - 4. Cancer) : Capture de la Biche de Cérynée - 5. Lion) : Massacre du Lion de Némée - 6. Vierge) : Prise de la Ceinture d’Hippolyte - 7. Balance) : Capture du Sanglier d’Erymanthe - 8. Scorpion) : Destruction de l’Hydre de Lerne - 9. Sagittaire) : Extermination des Oiseaux de Stymphale - 10. Capricorne) : Destruction de Cerbère, Gardien de l’Hadès - 11. Verseau) : Nettoyage des Écuries d’Augias - 12. Poissons) : Capture des Bœufs roux de Géryon.
Cette correspondance entre signes du zodiaque et travaux d'Héraclès est variable suivant les auteurs.
Image à droite Tréhorenteuc : la porte est en dedans = la portée en deux dans (ou le treizième signe en double).
N.B.: Image ci-dessous, c'est le 3ième serpent rencontré, après celui (chinois-central) du § Interlude de 5, et celui du § Serpentaire de 8 à 11.
- Interlude de 12 à 13) Quand le référen-tiel synodique 12 se charge du sidéral 13 de façon isiaque via le V graalesque, c'est que 5² = 12 + 13 ou isocèle moins un, c'est aussi que 13 est diagonale d'un rectangle de 12 x 5, qui se fourvoye en douce sur la diagonale d'un 13 x 5 à L(i)re en nombre entier, carrément n'euf de quinte essence
- 13°) Avec 1 et 3, au passage entre 8 et 9 : Ophiuchus-Serpens à V-entre zodiacal et SfumatO avec ScorpiO-n en mains, icy a-VI-sé de ne pas avoir tout faux
13 x 28 = 364,
S'agissant là du cycle féminin lunaire (28 -divisible par 4) pour 27,32 lunaire sidéral exactement), manque 1 jour pour aller à 365, mais au centre de 364 un de plus dans les dizaines que pour l'isiaque de Pythagore à 354, ce qui fait ressortir 6 & 5, pour 65 à 1 de plus que 64 (8x8 et échiquier).
Ce 8 qui se dessine sur la constellation d'Orion, qui plus est avec un baudrier (ceinture) à 3 étoiles, adéquate pour une évocation des trois cycles lunaires (l'ensemble inspirant le mat au Tarot), mais un 8 fait de droites qui rappelle la constellation de la Lyre. * Voir page Salses
- 13 Bis°) Treizième signe, intérieur au zodiaque et en gémellité de symétrie : 6 & 9, Soleil/Lune, Jour/Nuit, Yin/Yang du Tao (A de Air et O de Eau, tels R et O de OR, Treize OR), AmalThée hier et Cas fait de case rôle à deux mains
- 13 Ter°) Tortueux système où 13 = 4 + 5 + 4 (ou 5 + 8 de Mars et Mercure) en dorsal et 9 en ventral, carapace et CAs rapace
- 14°) Demi-cycle sidéral lunaire en cheminement des principaux nombres à rappeler
- 15°) Constante de Saturne à l'assomme de 6 et 9
Les Pléiades et l'épelé I-A-D, le Diable : Dia et Blé, D et B comme DeneB.
A gauche carré et sceau de Saturne à Lyre en diagonale montante et à Suite numérique en diagonale descendante.
Les Pléiades et l'épelé I-A-D, le Diable : Dia et Blé, D et B comme DeneB.
A gauche carré et sceau de Saturne à Lyre en diagonale montante et à Suite numérique en diagonale descendante.
- 16°) As-cèse et Vert-ueux carré de Jup-i-ter où ça tord l'ordre naturel des n'ombres aux sols-tices !?
- 17°) N'ombre de l'Etoile au Tarot, étiolé octogonal à la barre de navig-ation tel 1+7 = 8 qui la plu-par-t du tant axé à neuf autant que moulu entre 5 et 13, en une lyrique concurrence as-cète au 11, gémellaire inversé de 2³ + 3² = 17
Mais c'est aussi que (déjà aperçu) : 2 + 5 = 7 et 2 x 5 = 10
17² = 289, 28-9, comme en Février, et 17³ = 4913, 49-13 pour carré de Vénus et la case centrale de Mars.
Ci-dessous : VAIR, phonétique verre, métonymie de la relation contenant-contenu, graalesque
- 17 Bis°) Objection 17 : l'arche d'allianceMais c'est aussi que (déjà aperçu) : 2 + 5 = 7 et 2 x 5 = 10
17² = 289, 28-9, comme en Février, et 17³ = 4913, 49-13 pour carré de Vénus et la case centrale de Mars.
Longueur x largeur x hauteur (proportions) = 5 x 3 x 3, diagonale tridimentionnelle :
3² + 5 ² + 3² = 9 + 25 = 34, + 9 = 43, soit 2 x 17 + 3²
- 18°) N'ombre de la Lune au Tarot (18 = 13 & 5), à lier au Crabe, sigle du CAncer quand l'écru c'est assez
Un crabe a huit pattes pour rappeler l'octogone plus deux pinces pour faire dix comme X ou deux diagonales, tandis que le homard (arcane 18) a deux pinces différentes : une pour tenir et l'autre pour prendre et broyer, rappelant en cela les deux zodiaques : signes et constellations ?
Le crabe a une carapace (cas-rapace), un peu comme la tortue. Et la pieuvre (par neuf ?) a huit tentacules, comme autant de pattes du crabe.
La Reine aux échecs se déplace en ligne toutes directions et jusqu'à 8 cases.
- 19°) N'ombre du Soleil au Tarot, allié au Lion de Némée ?
- Interlude Luni-Solaire 18-19) Avec câpres écarts de Kaprekar en des nécessités résiduelles parlantes au fond d'un V à deux pentes symétriques visant Mira-ge
- 20°) Devin ou de vain pour la Chatte au brillant, Lyre outre à tomber celle de SchrÖdinger en l'ire à longer,
ce levain du XX romain aux diagonales montantes et descendantes fait losange au centre
- 21°) 21 et 12 font salon comme 1 et 2 font selon et foncent long sans froncer ni s'enfoncer clairement hors âge d'éclair hier dans les clairières- 22°) Orion noue Amatrice d'amas triste à damer le pion super pausé ?
- 23°) Hélène 2-3, rockeuse au constant teint de clé 25 qui certes Sera bonne de Scores Pions restants sur deux colonnes, et ça s'arrose d'un foisonnement tous azimuts
Le saros est une période de 223 mois synodiques ou lunaisons (18 ans et 11 jours) qui peut être utilisée pour prédire les éclipses de Lune et de Soleil d'ombre portée similaire.
223 S ≈ 239 A ≈ 242 D (dans le même jour)
L'exeligmos = 3 saros, ou 669 mois synodiques, soit 54 ans et 33 jours (dont 114 éclipses).
Au terme d'un saros, éclipses décalées de 120° vers l'ouest avec 8 heures de temps, réduit à 13° au terme d'un exeligmos.
C'est aussi que 25 = 32 et autant de 8 au donjon de Chambord et que 6 = 2/3 de 9.
A l'exagération : 23 paires de chromosomes chez l'humain, ça vous parle ?
Le saros est une période de 223 mois synodiques ou lunaisons (18 ans et 11 jours) qui peut être utilisée pour prédire les éclipses de Lune et de Soleil d'ombre portée similaire.
223 S ≈ 239 A ≈ 242 D (dans le même jour)
L'exeligmos = 3 saros, ou 669 mois synodiques, soit 54 ans et 33 jours (dont 114 éclipses).
Au terme d'un saros, éclipses décalées de 120° vers l'ouest avec 8 heures de temps, réduit à 13° au terme d'un exeligmos.
C'est aussi que 25 = 32 et autant de 8 au donjon de Chambord et que 6 = 2/3 de 9.
A l'exagération : 23 paires de chromosomes chez l'humain, ça vous parle ?
- 23 Bis°) Hélène entrainée par la foule au détroit
Hélène et Pollux : les deux immortels du mythe de Léda, certes, mais Hélène l'impérissable ès-qualité de femme. Au tarot l'Arcane II (2) est la Papesse et l'Arcane III (3) l'Impératrice.
HéLèNe contient outre un H rappelant Héraclès, Hercule, voire Hermès, les deux L et N de Lune Noire et Nouvelle Lune, mais également le "e" sous trois formes, évoquant en cela les trois cycles féminins.
Hélène et Pollux : les deux immortels du mythe de Léda, certes, mais Hélène l'impérissable ès-qualité de femme. Au tarot l'Arcane II (2) est la Papesse et l'Arcane III (3) l'Impératrice.
HéLèNe contient outre un H rappelant Héraclès, Hercule, voire Hermès, les deux L et N de Lune Noire et Nouvelle Lune, mais également le "e" sous trois formes, évoquant en cela les trois cycles féminins.
- Interlude LN 2-3) Quand 2 colonnes d'Hercule poireautent derrière une première qui ne recule pas.
Ceci pour des allusions à certains éléments :
- Les 2 colonnes d'Hercule peuvent-elles êtres considérées comme les deux axes karmiques ? Et leur écart tel l'ayanamsa ?
- Noter le calembour avec Hercule : ère recule, oui, sur le zodiaque. La constellation d'Hercule est située entre Serpentaire (Serpens-Ophiuchus) et Dragon, à la verticale de l'écliptique.
- 23 Ter°) Constellation du Dauphin et DOs-fin, la note DO en 2 lettres et 3 demi-cerclesCeci pour des allusions à certains éléments :
- Les 2 colonnes d'Hercule peuvent-elles êtres considérées comme les deux axes karmiques ? Et leur écart tel l'ayanamsa ?
- Noter le calembour avec Hercule : ère recule, oui, sur le zodiaque. La constellation d'Hercule est située entre Serpentaire (Serpens-Ophiuchus) et Dragon, à la verticale de l'écliptique.
Le triangle d'été étant constitué du Cygne, de l'Aigle et de la Lyre (initiales LAC), la constellation du Dauphin permet de passer à un losange.
Doble = Do blé ?
- 24°) 3x8 ou 4x6, de Pythagore (3,4,5) au Nombre d'Or (1,618034), et 2 & 4 dans 4,2,1 ou la suite géométrique de premier terme 1 et de raison 2 pour un quatrain de Lune ou l'autre quintessence
21= 2
22= 4, comme 2 + 2
23= 8, numéro d'ordre de Mercure
24= 16, nombre de cases du carré de Jupiter
25= 32, inverse de 23 la référence d'LN
26= 64, nombre de cases du carré de Mercure
27= 128, dont 1 et 28
28= 256, dont 25 et 56
29= 512
210= 1024
211= 2048
212= 4096
213= 8192 dont 81
214= 16384 dont 16 et 320+64 (16,32,64)
De plus, à l'évidence 4,2,1 est inclusif de l'évocation d'un arbre généalogique.
C'est aussi que 2 + 2 = 4 = 2 x 2.
- 25°) Elles sont 25 cases, ils étaient 25 chevaliers.
A droite : ordre (de chevalerie) du Porc-Epic (1394), devenu ensuite l'ordre de Saint-Michel.
Noter les mots "or" et "épi", et les écarts correspondant aux roques du jeu d'échecs (2 ou 3 cases).
C'est que hormis le carré de Mars et palindrome, 2 et 5 concernent bien l'astrologie (Mars est bisannuel (2) et Vénus forme un pentagramme (5) sur 8 ans) :
- 29,5 jours est la durée du cycle luni-solaire (calendrier)
- 2 + 5 = luminaires (2) et planètes (5).
- 2 x 5 = 10 = X romain et allusion aux diagonales.
- 25 inverse de 52, nombre de semaines annuelles (pour 364 jours, soit 52 x 7, ou 13 x 28 en passant par les chiffres de Fibonacci), recul de 1 chaque année (jours de la semaine) et 2 les années bisextiles.
C'est aussi que 29 (2 puissance n'œuf) = 512 (image à dr.).
- 2 et 5, deux chiffres inclus dans la formule du nombre d'or : (√5 + 1) /2.
Rappel : La LuNe transite entre 2 et 3 jours dans un signe, suivant périgée ou apogée, soit une moyenne de 2,5 jours.
- 25 = 13 + 12, s'agissant des 13 cycles purement lunaires, et des 12 signes de l'écliptique, le treizième signe étant à l'intérieur du zodiaque.
- 2 & 5 = 7, Sept comme dans Septenaire et Serpentaire (ce dernier ayant aussi attrait du 11).
C'est ainsi que 25 est clé d'Hélène 2-3 (clé qu'offre 32) et que 25 constitue avec 2 & 5 une référence astrologique (voir également image ci-dessus adroite, Taureau 2° signe et Lion 5° signe + antériorité Crète et Némée et accessoirement 3 L). Ci-dessous : Apamea, mosaïque.
- Interlude des 25 (ans) de Leonardo : il disparaît du paysage florentin entre 1476 et 1478, pendant 2 ans autour de ses 25 ans.
- 26°) Entre un carré et un cube 5²=25, 3³=27, aux exposants 2 et 3 façon LN 2-3
- Les 26.000 (ans) de l'année platonicienne
- 260 est la constante du carré de Mercure, et 4 x la constante du carré de Mars (65).
- 26 est le double du mythique 13, et la moitié de 52, nombre des semaines en 1 an.
- 26 est aussi bien connu pour une première raison : c'est le nombre de lettres de notre alphabet à 20 consonnes + 6 voyelles (mot qui contient 2 L), la seconde plus obscure parce que moins connue est que c'est le seul nombre compris juste entre un carré (celui de 5) et un cube (celui de 3), en effet : 5² = 25, intervalle 26, et 3³ = 27, et ceci par Les exposaNts 2 & 3, rappelant LN 2-3.
- 26 est le médian entre 23 et 29, rappelant les 369 de constante du carré de la Lune.
- 26 = 64, nombre de cases du carré de Mercure (échiquier). - 2 x 6 = 12 comme les signes du zodiaque, et 2 + 6 = 8 (l'analemme).
Les nombres 8 et 9 connaissent aussi la disposition "2 & 3" : un cube (2³) pour le premier et un carré (3²) pour le second, et ce sont des chiffres entiers, mais rien entre les deux si ce ne serait la moité de 17 et donc non plus un nombre entier, mais certes une référence à l'étoile au Tarot. - 27°) 2 & 7 n'Oeuf et Sidéral à 27,32 jours, montée et descente de la Lune dans le ciel d'un tropique à l'autre, hormis la modulation nodale
- 28°) = 4 + (3x2³) Ou quand un cycle purement lunaire correspond si bizarrement à une ceinture d'astéroïde par Titius-Bode
Nouvelle disposition désormais héliocentrique admise au XVIII° siècle, estimation par distance au soleil :
- Mercure : 4
- Vénus : 4 + 3 = 7
- Terre : 4 + (3x21) = 4 + 6 = 10 (ensemble Terre & Lune)
- Mars : 4 + (3x2²) = 4 + 12 = 16
- Astéroïdes : 4 + (3x2³) = 4 + (3x8) = 28
- Jupiter : 4 + (3x24) = 4 + (3x16) = 4 + 48 = 52
- Saturne : 4 + (3x25) = 4 + (3x32) = 4 + 96 = 100
Image en bas à droite : 28 bandes sous la ceinture dont une (la première à gauche) plus grande d'1/3 pour allusion à février (3x28 & 1x29).
Et 28 = 4 x 7, comme 4 + 7 = 11 d'intercalation, même disposition des jours sur un calendrier.
28° c'est également l'écart maximal entre le Soleil et Mercure sur le cercle zodiacal.
C'est aussi que 28 + 11 = 39 (dont 3² = 9, comme n'oeuf) et nombre de semaines afférentes à la gestation chez l'humain.
- 29°) Dragon(s) la Saint-Michel
Accordé ON : O 15° lettre et N 14° lettre, Total : 29 !
Ci-dessous le cas du T du K en inversé, toujours avec sa barre horizontale en 3x8 et sa barre verticale en 2x5, ce sont des chiffres de la séquence de Fibonacci.
29 c'est la somme de 25 + 4, soit 5² + 2² (façon isiaque), le Lion étant au carré (90°) du Taureau.
Et 2 + 9 = 11, autant que 2 x 9 = 18, la Lune au tarot.
Mais c'est aussi que 29 peut se dessiner en 29 (2 puissance n'œuf) = 512, déjà aperçu au §25.
Rappel : 23=8, 26=64, 29=512, pour la "série" lunaire 369.
- Intermède synodique à 29,5Accordé ON : O 15° lettre et N 14° lettre, Total : 29 !
Ci-dessous le cas du T du K en inversé, toujours avec sa barre horizontale en 3x8 et sa barre verticale en 2x5, ce sont des chiffres de la séquence de Fibonacci.
29 c'est la somme de 25 + 4, soit 5² + 2² (façon isiaque), le Lion étant au carré (90°) du Taureau.
Et 2 + 9 = 11, autant que 2 x 9 = 18, la Lune au tarot.
Mais c'est aussi que 29 peut se dessiner en 29 (2 puissance n'œuf) = 512, déjà aperçu au §25.
Rappel : 23=8, 26=64, 29=512, pour la "série" lunaire 369.
Une "lunaison" du calendrier = 29,5 jours (en moyenne : 29 jours 12 heures 44 minutes et 2,8 secondes), il s'agit-là d'un luni-solaire (entre deux Nouvelles Lunes), éclairage par le soleil.
La Lune tourne autour de la Terre en un peu plus de 27 jours (27 j 7 h 43 min 11,5 s), mais pendant cette révolution, la Terre avance d'environ 1/12e de tour sur son orbite autour du Soleil. Or comme la révolution de la Terre et de la Lune sont dans le même sens, cela se traduit par le fait que pour revenir à une même phase, la Lune doit faire sa révolution (27 j, et donc même position relativement à la Terre) plus 2 jours. Ce qui en fait 29 (29 j 12 h 44 min 2,8 s, et donc même position relativement à l'axe Terre-Soleil).
La durée de lunaison indiquée ci-dessus est une moyenne. La durée des lunaisons varie en effet au cours d'une année (de l'ordre de ±6 h) et même d'une année à l'autre. - 30°) TRENTE = TENTER TENET + èRe
- 32°) 25 avec Taureau et Lion sur 52 semaines (sème aine ?)
- 33°) Constante du carré Subirachs : TRENTE-TROIS sur les dix lignes, mais...
A gauche : le meilleur moyen d'obtenir 33 par 3 et 3 en symétrie serait-il de fendre un 8 de haut en bas ? Ce qui produit aussi 313.
A droite, sont restés en place (du carré naturel) : 1,4,10,13, total 28. Ont disparu 12 et 16 (total 28) & en double 14 et 10, total 24 (=3x8).
En haut 6 chiffres : 3x1 et 3x4, en bas 2-3 (comme LN) au centre d'une somme 13+15 = 28. Ne jamais oublier que 2+8 = X romain.
Au-dessus du 15 : une constante 3 de Kaprekar (495), et une somme verticale des chiffres à 24, comme la deuxième ligne horizontale. Noter que les chiffres de la constante 4 de Kaprekar (6174) se situent en haut à entourer les deux 14. Hormis les deux lignes citées pour 24 (et qui ont en commun le 9), les autres ont toutes pour total en chiffres (et non en numéros) : 15, en référence à la constante de Saturne. 2,4,1,5, comme une somme de 12 mais à éviter le 3. Sans doute ne faut-il donc jamais oublier que 24 + 15 = 39, autant que 6 = 2/3 de 9.
Les deux verticales centrales contiennent, en haut le nombre de la case centrale de la Lune (14+14+7+6= 41), et en bas le nombre de la case centrale de Vénus (10+10+2+3 =25). Enfin, les 6 et 9 forment une invitation "équatoriale" au dessin du K à 1,5 vs 2,5 dans la proportion 3 vs 5.
Bonus option 11 : à supposer que 1 et 1 font 2, la première colonne verticale passe (aussi) à 24.
- FIN des §
- - Archives de la Page Accueil :
- 1) Carte du ciel des soirs d'été (dans la partie basse), et diamètre Régulus-Dorsum :
- 2) Quand l'astrologie est devenue astronomie (deuxième moitié du XVII° siècle) :
- - Les arabesques du Soleil et de la Lune (29,5 j x 12 = 354)
- La table ronde du château de Montbrun à Dournazac
Au centre du linteau à Saint-Genis-Des-Fontaines : en rouge circumpolaires et par extension les impérissables, en orange Serpentaire au-dessus du Scorpion, en bleu triangle d'été, en vert le 11 d'intercalation entre Scorpion et Sagittaire. vers 1508-10, huile sur bois, musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon. Bugarach : https://www.youtube.com/watch?v=mlNjAkKs8Uk